abandonware-france.org/ltf_a … php?id=691
abandonware-france.org/ltf_a … hp?id=1287
abandonware-france.org/ltf_a … php?id=707
je n’ai jamais réussi à y rejouer sous linux
si vous y arrivez dites le 
Bon les disquettes c’est moyen quand même, la flemme de remettre un lecteur en service… 
Du coup…
Puis :
- télécharger une version CD, si c’est un ISO il faut aussi extraire les fichiers
- lancer ScummVM, ajouter un jeu etc
Ça maaaarche ! ![]()
Le plus ancien jeu dont je me souvienne s’appelait Amélie Minuit mais à part ça… je n’ai aucune idée de ce qu’est un point’n’click. Ça commence mal ! ![]()
Quant à comprendre ce qu’il faut faire entre le site Abandonware et le paquet scummvm… Pfff, j’suis un cas désespéré. Ou alors, j’ai trop joué à RATP : Paie ton abonnement et Rentre Avec Tes Pieds et mon neurone est parti bouder à la cave.
Discworld, Monkey Island, Day of the Tentacle, Leisure Suit Larry, … tout ça c’est des point’n’click (pointer et cliquer, les jeux d’aventure d’antan quoi). 
Sur Abandonware tu as un lien pour télécharger le jeu.
Ensuite tu as le choix entre plusieurs formats, le mieux est de prendre la version CD
Tu décompresses l’archive pour obtenir un .iso
Tu montes le .iso en loopback, tu copies le contenu quelque part sur ton disque
Tu lances ScummVM (menu K -> Jeux) puis tu cliques sur “Add game” et tu vas chercher le dossier où tu as copié le contenu de l’ISO
Une fois que c’est fait : Start game 
Pour le lien de téléchargement et le choix de la version CD, ça devrait aller et pour décompresser l’archive aussi. Après, j’arrive en zone inexplorée.
Quelque chose comme mount -o loop -t iso9660 fichier.iso /mnt/iso ? Et est-ce qu’il y a une bonne méthode ou un bon endroit pour ranger le contenu ?
Oui quelque chose dans ce goût là. (pour une raison inconnue je suis incapable de mémoriser cette commande, à chaque fois je la cherche sur internet
)
Pas que je sache. J’ai juste mis ça dans un dossier Jeux/ScummVM/Discworld1 et basta.
On dirait que j’ai tout ce qu’il me faut, maintenant. 
J’attaque la falaise dès que ma punition du jour aura pris fin : chercher un fichier perdu je ne sais où avec le machin d’un Windows 7. Un truc plus mal foutu que cet outil de recherche, ça existe ? ![]()

Désolé pas pu m’empêcher. ![]()
Pfff.
J’ai retrouvé mon fichier mais si je reste plus longtemps à proximité d’un ordinateur, je ne sais pas si je vais pouvoir résister à l’envie de le jeter par la fenêtre. Je jouerai à Discworld une autre fois. 
Quand j’aborde en zone inexplorée, c’est toujours un peu compliqué mais bon, ça fonctionne. A moi, Discworld ! Sauf que ça cause en grand-breton (version française, mon oeil !) et que je ne vais sans doute pas comprendre plus de la moitié de tout ce que ces bavards racontent. Dommage.
Il me reste juste un souci, du genre majeur : je n’ai rien trouvé pour sauvegarder la partie en cours. Y’a moyen ou pas ?
F1 
Quant à la version Française, aucune piste à te donner car j’ai pris le jeu spécifiquement en anglais justement pour pouvoir bénéficier de l’absence de traduction. ![]()
F1…peccable ! 
Pour la version française, j’ai trouvé un mieux : activer l’affichage des sous-titres dans les paramètres de ScummVM. C’est nettement plus drôle quand je comprends tout même si j’avais déjà pu constater de visu que les coups pieds de Rincevent sont toujours plus efficaces que sa magie.
Merci. ![]()
Juste par curiosité : sous-titres français ou anglais du coup ? (non parce que quand même, Pratchett est difficilement traduisible… y’a trop de jeux de mots à la con qui ne donnent rien en français)
Normalement tout se passe encore mieux quand il s’enfuit sans se retourner (important pour l’aérodynamique)… 
La version française, c’est speak english + sous-titres en français. On peut choisir d’avoir les deux ou seulement les sous-titres, sans les voix mais je garde les deux, seulement pour les mots que je ne connais pas ou bien quand ils parlent trop vite.
Pour les bouquins en version originale, ce n’est même pas la peine que j’essaie. Par contre, tu devrais en prendre un traduit, pour comparer. Certains livres ont manifestement “l’air traduit” mais quand c’est Patrick Couton qui s’y colle, je n’ai pas cette impression.
Je t’avoue que j’ai lu Pratchett intégralement en anglais, donc j’ai pas vraiment conscience de ce que ça peut donner en français.
Mais quand tu lis des trucs genre « life is a beach » (littéralement : « la vie est une plage » en référence à l’expression anglo-saxonne « life is a bitch / la vie est une salope ») juste après le naufrage de j’sais plus qui (si j’ai bonne mémoire, dans Small Gods / Les Petits Dieux), qui se retrouve coincé entre un désert plus qu’hostile et la mer tout aussi hostile, et où la seule chance de survie apparente est justement de suivre la plage (qui pourtant n’est pas vraiment accueillante non plus)… bah… comment veux-tu traduire ce jeu de mots en français de manière aussi pertinente et concise, tout en exprimant aussi parfaitement la frustration du personnage et son absence de choix, sans oublier le côté humoristique ? Arriver à exprimer tout ça de manière aussi claire avec seulement quatre mots, je trouve ça totalement incroyable !
C’est juste un exemple hein, il y en a plein d’autres tout au long de son œuvre mais le côté intraduisible de celui-là m’avait particulièrement marqué. 
C’est pour ce genre de petites perles que je préfère toujours, dans la mesure de mes moyens, lire/voir les choses en VO. 
Et avec Pratchett c’est d’autant plus important, car sa maîtrise de la langue anglaise lui permet de faire des choses assez extraordinaires. Mais je pense que la concision “naturelle” de l’anglais, ainsi que cette souplesse qui permet de transformer facilement n’importe quel mot dans une forme grammaticale différente (ils mélangent allègrement noms, adverbes, adjectifs, verbes, …) joue pour beaucoup dans ce côté “surprenant” de l’écriture de Pratchett. Comme la langue française est beaucoup plus rigide au point de vue grammatical, même si l’idée d’origine finit par être transmise on y perd forcément, ne serait-ce qu’en concision (et donc en pertinence).
La version originale ne se remplace évidemment pas mais je ne sais vraiment pas où je pourrais trouver le temps de me remettre sérieusement à l’anglais. 
Pour les avoir lus aussi bien en Shakespearien qu’en Moliérien, je peux assurer que Partick Couton est plus qu’un simple traducteur !
Évidemment les jeux de mots et références historico-culturelles ne sont pas traduits à l’identique, mais on a clairement affaire ici à la crème de la traduction.
Ouf ! Sauvée ! 
Et merci. Je vais pouvoir éviter de culpabiliser parce que je ne refais pas trois d’études juste pour comparer la version originale et la traduction d’un seul et même livre. Ou pour traduire (transposer, plutôt) “ça ne casse pas trois pattes à un canard” ou n’importe laquelle des expressions imagées que j’utilise souvent.
Si tu ne l’as pas lu, je te conseille “De bons présages”, de Terry Pratchett et Neil Gaiman (Titre original : “Good omens”).
Bon vous avez l’air unanimes sur la qualité des traductions de Patrick Couton, au temps pour moi. Du coup ça vaudrait effectivement le coup de comparer.
À ma décharge faut dire que les traductions de bouquins sont souvent pas terribles mais on ne s’en aperçoit généralement que lorsqu’on compare avec la VO, justement. Ça m’a fait le coup avec plusieurs bouquins, ce qui fait que maintenant je me méfie “par défaut”… 