Voila tout à l’heure je postais à partir de mon téléphone je vais maintenant m’exprimer plus librement.
Il y a 15 ans, les logiciels faisaient bien moins de choses :
[ul]
[li]pas ou peu de réseau[/li]
[li]pas de multimédia[/li]
[li]matériel simple[/li]
[li]modèle d’interaction simplistes[/li][/ul]
Augmenter la puissance de nos machine ne sert à rien si c’est pour faire exactement la même chose, aujourd’hui on veut avoir accès à 16 millions de couleurs, avoir pleins d’interactivité entre les logiciels, avoir du plug’n’play pour tout, avoir de la fiabilité à tout les niveaux,… et ça ça a un cout.
Pour ce qui est des langages, il est faux de croire que hors du C/Fortran/COBOL/Pascal/lisp point de salut (comment ont l’écris dans ces cas ?).
Les langages de (très) haut niveau permettent d’avoir de se focaliser sur le design ce qui est le point le plus crucial pour 80 % des performances (si on considère la règles des 80-20). Changer de langage ça peut représenter 10 ou 20 % de gain de performance une amélioration du design ça peut faire passer le programme d’une complexité linéaire à logarithmique (à chaque fois que l’on double la taille de l’entrée au lieu de doubler le temps d’exécution il prendra log(2) plus de temps.
Hors les excellents programmeurs sont très rare, très bas niveaux et qui ne sauront pas forcément faire les optimisation de plus haut niveau la machine optimiseras bien souvent mieux que toi. Au sujet de la qualité (ou non) des programmeurs, je souhaiterais rappeler aux éventuels élitistes que si l’informatique est là où elle est c’est surtout grâce à sa démocratisation, je suis d’accord pour dire que chacun doit toujours chercher à s’améliorer, mais je m’oppose aux donneurs de leçons qui méprisent les « mauvais programmeurs ».
La performance ce n’est pas tout, la portabilité, la maintenabilité, la robustesse, la fiabilité, la sécurité, etc sont des critères tout aussi importants que la performance et chacun de ses points peu faire perdre de la performance.