sur le freerunner d’openmoko, projet open hardware, on peut mettre une debian sans problème (projet supporté par bearstech)
bearstech.com/shop
Cet appareil n’est plus fabriqué, mais on peux l’acheter d’occasion et faire un upgrade en GTA4 (nouvelle carte mère, nouveau proc …).
Plop,
pour ma part, un peu comme Ricardo, mais en passant tout de même par Gentoo juste avant Debian, c’est par là-même que je me suis formé.
Arrivé sur Debian, ça m’a paru à la fois plus simple, plus complet et beaucoup plus stable de par la politique de sécurité du projet Debian.
Après avoir supporté les joies de Portage, j’ai découvert l’extraordinaire APT, qui m’a définitivement convaincu et m’a demandé nouvelle formation.
De plus, la communauté y est plus active, ce qui aide en cas de pbm.
Depuis, je ne vis informatique que par Debian! 
Allez puisque tout le monde s’épanche sur le choix de Debian, je m’en vais de ma petite contribution !
J’ai découvert Linux en 1998, installé une RedHat 5.1 en 1999 sur mon K6-2 400Mhz (conservé environ 7 ans), passé sur Mandrake jusqu’à la 7.2 en 2001, tatouné quelques autres distributions pour m’arrêter sur la Debian Woody en fin 2002. Depuis, je colle du Debian partout où je peux, sur tous mes ordinateurs petits et grands, mon GSM est même sur Debian (Nokia N900). J’ai tout de suite adoré Debian par sa possibilité de la mettre à jour sans devoir tout réinstallé comme cela était le cas avec Mandrake. J’ai toujours trouvé une certaine stabilité dans les documentations. C’est-à-dire qu’une doc pour une application d’une Debian Stable est toujours valable pour au moins 3 ans 
(c’était le cas il y a longtemps, cela l’est moins maintenant)
Même pour mes élèves, je conseillerai plus facilement une LMDE (Linux Mint Debian Edition) à une -ubuntu (où - est X, L ou K). Pourquoi ? Car installer et configurer en 2 heures avec le réseau à notre disposition c’est un peu juste. Mais ne désespère pas car j’ai une version Debian bidouillé par mes soins et l’efficacité de Live-Build et je compte bien à la faire fonctionner pour mes chères têtes blondes … pardon blanches !!
LeDub qui, en 3 ans de “formation”, a enfin un élève qui se lance dans l’utilisation d’un terminal ! Youpi !!!
La question était : "Debian Power ?!"
La réponse est yes.
?buntu est le fils turbulent de la famille, son père étant astronaute il était pas souvent à la maison pour lui faire réviser le contrat social et les quatre libertés fondamentales du logiciel libre.
En plus à sa naissance il a vite démontré des goûts étranges : fan de la couleur orange seventies et des kernel generic aussi lourd qu’un éléphant élégant d’Afrique du Sud.
Ensuite vient le temps de la mutation post Tchernobyl :
- Lapin Limité
- Morue Molle
- Nounours Nunuche
- Otarie Orageuse
- Poussin Poussif
…
Chaque semestre voyant naître un autre mutant dont les fameux LTS (Long Tunnel Size) un peu plus civilisé que les autres.
Mais on l’aime bien notre Cousin Curieux et on se délecte de l’ambiance de leur forum ou un expert gnu/linux naît en quelques heures : “ouais windaube c’est nul!!!” LOL
Mais comme le dit une célèbre signature sur the best forum of the galaxy : “Ubuntu est un terme africain qui signifie : je n’ai pas su configurer ma debian” 
Debian a donc un cousin jaune et un cousin vert au gout de menthe
- vert: tout va bien, on peux y aller
- jaune: attention danger
J’vais mettre ma petite expérience ici.
J’ai découvert Linux il y a à peu près 5 ans. Un Dual boot avec Ubuntu, qui n’est pas resté très longtemps. Je n’avais pas trouvé de réel avantage par rapport à Windows, que des inconvénients. Je galérais vraiment à utiliser les lignes de commande, et l’interface graphique foutait parfois le bordel. (je me rappelle avoir une fois configuré le SSH de l’ubuntu, passé énormément de temps, puis je découvre une interface graphique qui permet de manager, je fais une petite modification, et boum, mon fichier de config était tout à recommencer).
J’ai détesté la communauté Ubuntu : beaucoup d’incompétents, qui te ressassent sans arrêt que windows c’est de la merde, qu’Ubuntu est beaucoup mieux, mais qu’à part des gadgets genre Compiz, ne savent rien utiliser correctement.
J’ai refait dernièrement une tentative avec une application web qui devait gérer netfilter. Pareil, elle a foutu le bordel plus qu’autre chose.
Maintenant, pour moi l’interface graphique sous linux, c’est terminé.
Linux me sert pour des serveurs personnels. J’ai un Samba (partage de disque dur, imprimante, gestion de l’extinction de mes serveurs Windows à distance,…), Sftp, OpenVPN.
J’en suis extrêmement content, dans le cadre de cette utilisation.
Pour ce qui est d’utiliser un linux en tant que client, je ne pense pas retenter un jour l’expérience.
De toute façon, soit tu administres ton PC graphiquement, soit en ligne de commande, les deux mélangés c’est souvent une très mauvaise idée.
Bonjour Patxy,
Je suis étonné concernant les points suivant de ton témoignage. Ca fait combien de temps
Sans dire que je suis meilleur que toi (je suis nul, c’est un fait!), je suis étonné que ton expérience avec Linux en tant que client t’ai autant dégouté…
Je suis sous Sid, avec un source.list au carré, tournant sous kde 4 (branche expérimentale), et même si je suis le genre de gros bourrin qui met à jour les paquets mêmes bogués, je suis plutôt épaté de la stabilité et optimisation du serveur graphique.
Certes en Sid on peut se retrouver bloqué quand certains paquets sont gelés, mais en stable tu n’aura pas (logiquement) ce genre de problème.
En tant que gestionnaire serveur, avec un dédié sous Debian, et développeur web je trouve que Debian (Linux?) est terrible en tant que client: que du confort et du temps de gagné !
Pis concernant la communauté Ubuntu, sans vouloir en dire du mal, c’est clair qu’elle vaut carrément pas la communauté Debian ! Merci à tout le monde !
Il existe des applications qui n’ont pas été compilées pour Linux. J’ai déjà fait des tests avec Wine qui ne s’étaient pas avérés concluants.
Pour ce qui est du développement, les outils que j’utilise, je les trouve suffisamment rapides et efficaces sous Windows, même si le serveur est sous Linux.
Autre point, je développe surtout en .Net : il est donc logique dans ce cas que je reste dans un environnement Microsoft.
Au final, c’est surtout une question de mentalité : mes serveurs, je me casse le cul pour qu’ils soient configurés de manière optimale. Je trouve Debian très intéressant dans ce cas : je n’installe que les paquets dont j’ai besoin, je suis relativement à l’aise avec sa sécurité (et encore, j’en apprends encore beaucoup tous les jours).
Pour ce qui est des clients, j’aime bien avoir 3 cliques à faire, et que tout fonctionne directement, sans que je n’aie à me prendre la tête.
Pour moi, utiliser Debian ne veut pas dire qu’il faut renier ce qui se fait ailleurs. Je prends ce qui m’intéresse sous linux, je tente d’aider quand mes connaissances me le permettent aussi. Mais dans certains cas, je préfère ce qui se fait de l’autre coté.
Chacun voit midi à sa porte et c’est bien comme ça.
Si tu ne rencontres pas de problèmes sous Windows et que tu ne sois pas obligé de réinstallé au minimum une fois tous les six mois, c’est que tu as raison.
Si, quand tu “cliques” pour ouvrir un site, tu n’as pas un autre site qui s’insère et que tu n’es pas obligé de recommencer, c’est parfait, reste sous Windows.
[quote=“patxy”]…
le serveur est sous Linux.
Autre point, je développe surtout en .Net : il est donc logique dans ce cas que je reste dans un environnement Microsoft.
…
[/quote]
La tu m’intéresses … .NET sur un serveur GNU/Linux ? Sans Mono ?
Le meilleur système, c’est celui qu’on maitrise.
Et puis si tout les clients quittes windows, je connais beaucoup de boites qui vont faire faillite!
Quoique, même sous debian, il y a bien qui vont continuer à faire des connerie,s et à courir ensuite chez le réparateur (surtout avec tout ces tutos qui fleurissent un peu partout expliquant comment configurer sudo avec des ALL partout …)…
Pouah, ca m’fait penser à un truc ignoble qu’un mec à déployé dans ma boite.
C’est un bousin du nom de IFOLDER.
Trois points:
- Projet de novell
- Dev en .net
- Propulsé par libapache2-mod-mono
Pas besoin d’en savoir plus pour comprendre que le serveur bug continuellement, et qu’il est impossible de corriger.
D’ailleurs, anecdote amusante, au dire du type:
[quote]
Si après une bonne configuration des scripts l’accès web ou la connexion avec un client iFolder passe en échec, ne pas chercher à débugguer, réinstaller ENTIEREMENT le serveur…[/quote]
Tout est dit …
Merci pour ta réponse Patxy,
Je ne comprenais pas ton point de vue, cette fois-ci je le comprends ! 
Pour ma part, quand j’ai fais mes choix de “stratégie de développement”, (je met le terme entre guillemets car je ne fais rien de professionnel) je me suis basé sur l’environnement de travail kde4 qui me permet de communiquer de manière transparente avec mon serveur dédié / ftp.
Du coup je gagne un temps fou sur des tâches rébarbatives !