Bonjour
Depuis quelque mois, j’ai remarqué que beaucoup de liens ne sont plus retournés par les moteurs de recherche, mais j’ai fini par retrouver ce lien après de très très longues recherches.
Ne voulant plus le perdre, je me suis dit qu’en le mettant ici,
il pourrait aussi être apprécié par d’autres personnes.
Source : Institute for the Study of the Neurologically Typical
DSN-IV (The Diagnostic and Statistical Manual of ‹ Normal › Disorders)
Un autre lien retrouvé qui n’a rien à voir avec celui du message précédent,
qui m’avait beaucoup manqué et qui plaira sans doute à ceux qui aiment lire.
Ah oui, les troubles du spectre neurotypique.
Ça touche énormément de monde, il me semble.
Oui, et c’est une véritable épidémie très grave qui fait des ravages, même (hélas) en France.
Heureusement, ça ne semble pas être héréditaire, comme par exemple l’insomnie
qui comme chacun sait est transmise aux parents par les bébés.
jeune papa? 
Non, mais j’ai déjà donné 
(2 mecs)
Mais ils dormaient très très bien, juste quelques nuits en pointillés à cause des dents, mais ça n’a jamais duré une semaine entière, donc on pouvait récupérer assez vite.
N’est-ce pas une expression qu’on utilise pour quelque chose de pénible ?
Je ne comprends pas spécialement la parentalité, quand j’écoute des parents, je ne sais jamais si c’est quelque chose de positif ou de négatif.
Je redoute toujours le moment où quelqu’un que je connais m’annonce qu’un enfant va arriver dans sa vie, je ne sais jamais quoi répondre. Quand je connais bien la personne, je me permets de demande si c’est quelque chose de positif pour savoir si je dois compatir à sa souffrance ou féliciter cette personne.
Et encore, je ne parle pas de la production de l’enfant lui-même…
En ce qui me concerne, le fait d’être devenu père a été (et est toujours) un vrai bonheur.
mais il y a des conséquences qui n’ont absolument rien à voir avec la parentalité biologique,
affective et relationnelle (avec mes enfants).
Dernièrement, j’ai croisé un couple que je n’avais pas revu depuis plus de 30 ans,
et lui me dit : « Mais tu as combien d’enfant toi ? »
Je lui ai répondu spontanément et en toute logique :
« Je ne sais pas, ce n’est pas à moi qu’il faut demander ça. »
En entendant ça, sa copine m’a fait un large sourire.