Pourquoi ?
Cela fait plus de 10ans que j’utilise Linux sur différents supports (ppc; intel et AMD; 32 et 64 bits ), avec ext2/3/4, reiserfs, xfs (xfs presqu’exclusivement depuis que j’utilise LVM ), et sauf les partitions racine “/” et “/boot” (par simplicité en cas de problème matériel ), je n’ai jamais vu la différence ( je suis de ceux qui fragmentent beaucoup ( trop ? ) l’installation.
exemple actuel, ( “mount” ) mais j’ai déjà fait pire 
/dev/sdc1 on / type ext4 (rw,noatime,errors=remount-ro)
/dev/sdc2 on /boot type ext4 (rw,noatime)
/dev/mapper/VG_tout-home on /home type xfs (rw,noatime)
/dev/mapper/VG_tout-usr on /usr type xfs (rw,noatime)
/dev/mapper/VG_tout-usr_local on /usr/local type xfs (rw,noatime)
/dev/mapper/VG_tout-var on /var type xfs (rw,noatime)
tmpfs on /tmp type tmpfs (rw,size=4096m) ## C'est une expérience
J’ai eu un jour un crash-disque sur un disque bien rempli ( pendant la canicule, un ami avait décidé de me transférer une centaine de DivX (dont je n’avais que faire ), et avec un cd-live ( Knoppix, je crois ) j’ai pu récupérer toutes mes données y compris de configuration, sauf une part de ces Divx )
Donc, pourquoi Triangle écrit-il qu’il vaut mieux éviter d’utiliser les partitions étendues ?, (en dehors de la swap et des exigences spécifiques de MSwin: MBR sur la 1ère partition - marquée et unique- du 1er disque, et de préférence à la 1ère heure du matin, installé un 1er janvier de pleine lune sans éclipse [depuis le bug de l’an 2000] )
PS au fait, à quoi ça sert windows, quand on a une super Debian 