Jeux payants!

salut à tous!

figurez-vous que j’ai fait tourner ce soir ubuntu 11.10 dans virtualbox,et stupeur,dans leur logithèque les jeux apparaissent au premier plan et ils sont PAYANTS!!! J’y savais pas ça!

je veux pas lancer la pierre à nos copains de Ubuntu, mais est-ce qu’ils ne sont pas en train d’entrouvrir une porte…de filer du mauvais coton.
donnez-moi votre avis, SVP.

MERCI, BONNE NUIT.

C’est pas Ubuntu mais pas Canonical qui oriente désormais.

Bonjour,

+1 (supprimé le pas devant Canonical).

@ steph06
Je suis moins curieux que toi, j’utilise Ubuntu depuis la 4.10 et depuis que la Logithèque a été ajoutée, je n’ai jamais cliqué sur le lien et donc jamais utilisé.
Presque toujours j’utilise apt-get ou aptitude (hé oui, les 2. Pas taper), rarement Synaptic.

A+

Si je me rappel bien c’est aussi Canonical qui à lancé les projets basé sur le nuage ( cloud )et c’est aussi eux qui ont proposé la vente de musiques et propose désormais des logiciels propriétaire et payant telle que photoshop.

Que penser de tout ça, ni chaud ni froid, je suis pas marié avec Canonical et je n’utilise pas Ubuntu.
Miantenant ce n’est pas la seule société à orienté des distributions et dire que Redhat n’apporte rien au monde GNU/Linux c’est un pas que je ne franchirai pas.

Il ne faut pas confondre promouvoir un service informatique (support, entretien d’un parc, suivi d’un logiciel) et promouvoir des logiciels non libres et payants. La première chose ne me gène pas et sert même le libre, la deuxième est déjà plus discutable (euphémisme).

Qu’est ce que vous avez contre le payant ?

C’est un concept orthogonal à la liberté logicielle, je ne vois pas de problème à ce qu’une distribution mettent en avant des logiciels payants (peut être même que je trouverais que c’est une bonne idée).

Pour Rad Hat ils ne vendent pas du logiciel mais du support, c’est encore quelque chose de différents.

Ensuite s’ils mettent en avant des logiciels propriétaires (comme Photoshop) oui c’est gênant.

Mais la question du paiement du logiciel est un problème important même pour le logiciel libre. Je ne verrais pas de problème dans le fait de payer Firefox pour qu’il ne soit plus sous la tutelle financière de google.

La nécessité de payer pour obtenir un logiciel libre est inconcevable par la simple définition du logiciel libre. Payer pour que quelqu’un te l’installe et te l’entretienne oui, payer pour le produit, non. Le principe du logiciel libre réside dans le fait que la valeur vient de ce que tu fais du logiciel et pas du logiciel lui même. C’est évident pour MySQL, les compilateurs, etc, mais beaucoup moins pour les jeux, c’est peut être pour ça qu’il y a peu de jeux libres mais pas mal de moteurs de jeux libres. Que Canonical mette en avant le service qu’il rend n’est pas gênant avec son soutien affiché pour le libre. Qu’il fasse la promotion de logiciels propriétaires est contradictoire avec ce soutien.

Attention je me suis sans doute mal exprimé, je voudrais pas que l’on me taxe d’extrémiste du libre et du gratuits.

Je chercher simplement à souligner que plusieurs distributions sont influencées, orientées, dirigées pars des sociétés ce qui n’est pas un mal.

Maintenant je n’ai rien contre rémunérer un développeur ou une fondation pour maintien, débogue, développement du dit logiciel libre, j’ai par contre plus de mal personnellement à acheter de la solution propriétaire car tous ce dont j’ai besoin ( j’ai de la chance et pas de besoins spécialisés ) se retrouve soit dans les dépôts/arbre de portage etc …
En résumé j’ai rien contre le fait de payer, j’ai néanmoins l’habitude d’éplucher les licences et favorisé les applications libre.

Définitivement open-source ne rime pas avec gratuits.

Faudra voir ce que l’avenir nous dira sur les choix de canonical, mais c’est vrai que toute peine mérite salaire.

le temps et un “facteur” précieux, ne le gaspillons pas!

Je suis fondamentalement contre cette idée. Le développement qui conduit à un logiciel a une valeur et c’est quelque chose qui a de la valeur. Tu peut rémunérer ce développement lors que ce travail est commandité ou lorsqu’il est terminé et que tu commence à t’en servir. Cela n’empêcher de permettre la redistribution gratuite ou non ni de fournir les sources aux utilisateurs. Pendant un temps pour télécharger OpenBSD au format ISO sur leur site il fallait payer l’ensemble du code et des logiciels étaient accessibles facilement sur leur site et on pouvait trouver l’ISO sur bittorrent mais si tu voulais télécharger l’ISO en HTTP ou FTP depuis leur site il fallait payer. Ça ne me dérange pas. Vois-le comme un don ou comme une manière de payer le développement et/ou la correction de bug, mais personnellement le fait de payer un logiciel pour ensuite le télécharger puis l’installer ne me semble pas aller à l’encontre du libre.

Un système à la « humble bundle » (même si eux ne font pas du LL) me plairais bien pour financer certains projets.

C’est probablement mon métier qui me fait voir les choses ainsi, relativement rare sont les logiciels qui peuvent marcher par :
[ul]
[li]le financement par un commenditaire[/li]
[li]le paiement d’un support, de formation et/ou d’installation[/li]
[li]le mécénat[/li][/ul]

Ça marche quand les entreprises rentre dans la course, quand c’est à destination de particuliers, non.

J’apprécierais avoir un abonnement chez Debian qu’il me prélève 20 à 30 €/mois et qu’ils s’occupent de financer les logiciels les plus utilisés (j’accepterais meme que mes données popcon soient liées à mon compte pour qu’ils choisissent à ma place).

MySQL vend des modules propriétaires c’est ainsi qu’il s’est financé initialement en tout cas. GCC et LLVM sont utilisés et développés par des entreprises qui trouvent moins chère de faire du développement elle-même plutôt que de sous-traité.

Je suis d’accord.

Je suis fondamentalement contre cette idée. Le développement qui conduit à un logiciel a une valeur et c’est quelque chose qui a de la valeur. Tu peut rémunérer ce développement lors que ce travail est commandité ou lorsqu’il est terminé et que tu commence à t’en servir. Cela n’empêcher de permettre la redistribution gratuite ou non ni de fournir les sources aux utilisateurs. [/quote]Les mots sont importants, j’ai dit la nécessité. Tu peux développer les deux et faire une offre payante fondée sur du libre. Mais ce que tu vends, c’est ton expertise et tes services, pas le logiciel seulement (ou bien c’est un appel au don). Sinon tu ne fais pas du libre, éventuellement de l’«open source» mais pas du libre. L’important est de ne pas mettre d’entrave dans l’obtention du code et des sources ni même dans l’exploitation. Ainsi paradoxalement, Scilab n’était pas libre parce qu’il était interdit de vendre scilab sans en informer l’INRIA. ClefAgreg ne serait pas libre si j’interdisais à quelqu’un de le vendre.