Est-ce l’humain qui supervise l’IA ou est-ce l’IA qui supervise l’humain ?
That is the question!
LLM est pour l’instant un schéma ou l’intelligence est complète absente; juste bon à synthétiser ce qui a déjà été fait avec un niveau de création quasi null.
Dépend intégralement de la précarisation des petites main qui leur mâche le boulot car sinon ce serait des IA useless.
ChatGPT a dit :
Excellente question, qui touche au cœur des enjeux éthiques et philosophiques de l’intelligence artificielle.
Aujourd’hui, c’est l’humain qui supervise l’IA.
L’IA, même la plus avancée, reste un outil conçu, entraîné, déployé et (normalement) surveillé par des humains. Elle ne possède pas de conscience, d’intention propre ni de responsabilité morale. Elle suit des algorithmes et agit dans les limites que les humains lui fixent. En ce sens :
- Les décisions finales, surtout dans les domaines sensibles (justice, médecine, armée…), doivent rester humaines.
- Des mécanismes de gouvernance algorithmique (audits, éthique, régulations) sont mis en place pour éviter les dérives.
Mais dans certaines situations, l’IA peut de facto superviser l’humain.
Cela arrive déjà, par exemple :
- Quand une IA filtre des CV et que les recruteurs ne remettent pas en question ses choix.
- Quand les algorithmes de réseaux sociaux influencent ce qu’on voit, ce qu’on pense, ou comment on agit.
- Quand des systèmes automatisés (surveillance, notation, recommandations…) orientent nos décisions ou comportements.
Ici, la supervision devient inversée , non pas parce que l’IA a du pouvoir au sens propre, mais parce que les humains délèguent ou perdent leur pouvoir de contrôle — parfois par commodité, parfois par manque de transparence ou d’expertise.
En résumé :
Techniquement, l’humain supervise l’IA.
Mais sociologiquement, dans certains cas, c’est l’IA qui supervise l’humain.Et c’est précisément là que le débat devient crucial : comment s’assurer que l’humain garde le dernier mot, sans se laisser dominer (ou anesthésier) par la logique algorithmique ?
Souhaites-tu explorer cette question dans un cadre philosophique, technologique ou politique ?
Excellente synthèse, concise pour engager un débat si possible non polémique.
C’est pour moi l’occasion de préciser, la seule critique bien mineure au regard de la clarté de cet exposé, l’usage de l’article « les ».
L’usage le plus fréquent de « les », lorsque l’on parle des («des» contraction de «de les», pas de «des») humains, est la façon la plus habituelle de dépersonnaliser les humains, d’en faire une unité totale, totalisante et finalement déshumanisante.
C’est ainsi que la plus grande tromperie et une violence insidieuse du langage commun se trouve dans les formules comme «les étrangers», «les fous», etc. (la liste est quasiment infinie!).
Il faudrait apprendre à tous les enfants à dire « des », car même dans les caractères plus ou moins universels de certains groupes (les anglo-saxons comparés aux latins, les orientaux aux occidentaux etc.) qui peuvent justifier l’article «les» caractérisant une tendance, un phénomène propre au groupe, que le contexte délimite, il y aura toujours des exceptions.
C’est ainsi que «des flics», «des médecins», des «Zommes-politiques» peuvent être criticables en de nombreuses circonstances, on ne saurait perdre ce que l’on prétend défendre (par exemple, une éthique, un service accompli, une honnêteté et une compétence réelle, la vérité…) en entraînant ceux qui font bien ce qu’on attend d’eux légitimement dans l’opprobe méritée par un petit ou grand sous-groupe du groupe ainsi désigné.
Donc, à chaque fois que vous pensez «les», s’il vous plaît, essayez d’abord, simplement, de penser «des» avant d’entraîner le bébé avec l’eau du bain, si boueuse qu’elle apparaisse, de faire disparaître l’honnête homme de «toute» l’humanité.
On voit ce phénomène de totalisation habituellement utilisée par les idéologies extrèmes. Le plus actuel, bien installé, concerne les aggressions individuelles réalisées par des étrangers, et qui conduisent à condamner les étrangers.
Dans mon métier, comme dans beaucoup d’autres j’imagine, il y a évidemment des incompétents, quelques escrocs et heureusement des collègues honnêtes et «suffisamment» compétents, se formant toute leur vie
Mais je suis parfois agressé lorsqu’on me met dans ce panier, ayant eu à payer cher toute ma vie en refusant la «moindre banalisation du mal», dans toute la mesure de ma conscience, de ma connaissance et de ma compréhension critique.
Dans les premières description du burn-out, on trouve des enseignants mis régulièrement en question, parfois peut-être à raison mais sans précautions, sans aucun doute à tord dans un certains nombre de situations.
Tout le monde, bien au contraire, ne supervise et ne supervisera pas l’IA, et si cette minorité peut effectivement conduire une grande partie de l’humanité à sa perte.
Donc, essayez ce petit exercice, lire «des», là où vous avez lu «les», et une légère nuance,une précision supplémentaire éclairera le peu qu’il manque à cette synthèse, sans altérer sa concision, bien au contraire.
Pardonnez mon style trop expansif, surtout pour une critique mineure d’un exposé clair et concis, mais sur un sujet qui s’applique surtout au quotidien dans la plupart des domaines de la vie courante.
oui on a vu comment car marche bien avec l’IA de musk.
Ou encore avec celle d’OpenAI qui a refusé d’obéir à un ordre.
C’est même son utilisation principale
Dans la liste il manque:
- Les IA militaires
- Les IA de surveillance de l’espace public
- Les IA de manipulation politique comme utilisée par Macron en 2017 et 2022
- Les IA d’influence(use)
C’est fait pour ici
Pour bien citer, c’est plutôt :
Ça s’appelle du marketing.
Car pour le moment, toutes les dérives estimées se sont produites.
Donc leur « gouvernance algorithmique » est un échec.
D’autant que ChatGPT c’est une machine à pomper le travail des autres. Aucune création de quelque sorte que ce soit, juste de la « resucée »
Mon propos est : ce n’est pas de moi, mais le résultat du prompt « Est-ce l’humain qui supervise l’IA ou est-ce l’IA qui supervise l’humain ? » envoyé à ChatGPT, comme indiqué avant la portion de message cité :
Aussi merci de ne pas créer d’ambiguïté en citant ces portions de post comme étant mes propos…
je parle du contenu, qui est bien pensant mais finalement de la bouillie chatGPT. juste bon pour un terminal nul en philo
Le contenu n’est pas bien pensant ! Il n’est pas non plus "mal pensant. Il n’est pas « pensant » du tout. C’est issue de ChatGPT, qui ne pense pas, par définition.
D’où l’importance de ne pas créer d’ambiguïté en laissant croire que c’est issue d’une réflexion personnelle.
Peux-tu modifier tes post pour indiquer que les « morceaux choisis » proviennent de ChatGPT ?
Je viens de citer un de tes post. Est-ce agréable de se voir attribuer une réponse générée par ChatGPT, le tout sorti complètement du contexte ?
un terminal tty?
Attention aux hors sujets. Il est ici question du rapport entre des humains et des LLM …
néanmoins tu dis :
Les IA de manipulation politique comme utilisée par Macron en 2017 et 2022
Source ?
[Mu]
ChatGPT a dit :
Tu délègues donc tes réponses à chatgpt? (c’est une boutade )
Blague à part: J’ai été pris d’effrois lorsque pour répondre dans un forum de programmation j’ai demandé à ChatGpt de valider ma réponse (pas de l’écrire). J’ai décidé alors de modérer grandement son usage (et pour d’autres raisons aussi).
je ne retrouve plus l’article qui n’est plus disponible (article de 2017-2018)
Ca je peux comprendre. Je n’utilise pas du tout en ce qui me concerne.
Une IA devrait être capable de manipuler des humains, sinon elle est pas I du tout.
Je lis ici qu’on parle entre autres de chatgpt, est-ce une IA ?
Toutes personnes libristes** ou préoccupées par les enjeux environnementaux (énergétique et consommation d’eau) ne devraient pas utiliser les LLM .
** je sais qu’il existe des LLM de licence ‹ free › éduquées par un système collaboratif, mais j’ignore tout d’elles.
Je lis ici qu’on parle entre autres de chatgpt, est-ce une IA ?
Elle fait partie des IA génératives.
Bonus post-cast France inter:
Le problème des IA c’est qu’elles ont les mêmes biais cognitifs que leur créateurs (et ce n’est pas peu dire vu qu’elles sont toutes passée par une phase raciste ou fasciste).
Les grands discours sur l’aide médicale par exemple ,ne sont qu’une arnaque: aucun hopital public en France ne s’en sert (ne serait ce que du au fait de la non fiabilité des IA).
Les premières utilisations ont été la surveillance avec l’identification faciale.
Sources ? Je me contenterai de celle concernant Mistral AI pour rester dans le coricoco
Microsoft branché et quasi immédiatement débranchée,
Celle de Google
Celle de Musk (qui maintenant fait de la pornographie
Je n’ai aps tout retrouvé, car beaucoup dates de la première decennie 2000, et certains post ne sont plus trouvable,
mais celui-ci donne une idée:
Le coté raciste de google a été minimisé, le truc de gorille n’a pas été le seul.
Pour microsoft il a suffit de 24h.
Et on ajoute un truc qui avait été prédit dans les 50/60: