Point de montage unifié entre /DEV et /MEDIA

Bonjour,

j’ai une clé USB reconnue (avec fdisk -l )

Disque /dev/sdb : 7,5 GiB, 8054112256 octets, 15730688 secteurs
Unités : sectors of 1 * 512 = 512 octets
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disklabel type: dos
Disk identifier: 0x9c5a1b96

Périphérique Amorçage Start Fin Secteurs Size Id Type
/dev/sdb1 20480 15450111 15429632 7,4G b W95 FAT32

Je l’ai formatée/partitionnée avec gparted .
je la démonte, l’éjecte et quand je la réintroduis …>

Device /dev/sdb1 is already mounted at `/media/usb0’.

blkid
/dev/sda1: UUID=“8f47eac9-ac3d-43a2-9443-dfa24eb76f1a” TYPE=“ext2” PARTUUID=“000a9db4-01”
/dev/sda5: UUID=“YcG6II-I9De-p5IL-5UNY-eMZS-WXrA-cC77Tt” TYPE=“LVM2_member” PARTUUID=“000a9db4-05”
/dev/mapper/ubuntu–gnome–vg-root: UUID=“424cd1a6-5051-426a-9214-56e701cf882d” TYPE=“ext4”
/dev/sdb1: LABEL=“JESSIE-DEB” UUID=“5D56-E9DE” TYPE=“vfat” PARTUUID=“9c5a1b96-01”

(sur une Ubuntu 16.04 version MATE.)

Cela me pose problème pour travailler avec "multi-system"qui m’indique que le point de montage ne correspond pas au label!!

J’ai déjà utilisé “dd” et je suis prêt à toute solution en terminal.

Remerciements anticipés.

Bonjour
Tu n’es pas au bon endroit donc personne te répondra.
Poste sur https://www.debian-fr.org/c/support
Remarque on déplacera sans doute ton sujet.

C’est déplacé ;-).

Quelle est la question ?

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Bonjour,

il doit y avoir plusieurs questions:
----->théorique: avez-vous des liens pour m’aider à comprendre les modes de partitionnage dans un DD?
------>pratique: 1) Comment indiquer le “label” d’une partition?
Je suis fermement convaincu de la puissance d’une écriture en terminal mais j’ignore quelle commande utiliser.
2) Pour quelqu’un sans formation informatique de base, comment choisir dans des applications qui proposent un résultat comparable alors que leur méthodes sont différentes qu’elles ne peuvent donc pas alors reconnaître leurs résultats partiels et être utilisées de façon complémentaire par l’utilisateur?

Dans mon cas particulier, j’ai lancé le formatage par GPARTED avant de comprendre que celui proposé par MkUSB était différent et que MULTIsystem allait m’en imposer un autre.
Au départ j’avais formaté ma clé en EXT4 , format linuxien s’il en est…que j’avais reconnu sur mon vieux notebook HP ( Au départ sous SUZE).
Je voulais alors y copier mon XXXXXX.iso avant de la rendre bootable.

Je remarque que les 2 commandes (blkid-fdisk-l) sont d’accord pour identifier /dev/sdb1 en FAT32, je crois comprendre que le label du disque est (type?) DOS
mais pourquoi une application repère d’abord /media/usb0?

Ne puis-je formater en terminal directement à /media/usb0?
S’il y a plusieurs niveaux d’écritures, qui fait quoi? Quelles couches choisir, dans quel ordre?

Si c’est moi qui m’en “tiens une couche”…ne craignez pas de me le dire ;o)

Ça fait beaucoup d’un coup, et les mots employés ne sont pas très clairs car ils ne font pas partie du jargon informatique habituel ou bien ont plusieurs significations.

Mode de partitionnage : si tu veux parler des formats de table de partition, tu peux lire les articles sur le MBR et le format GPT dans Wikipédia. Il en existe d’autres, mais ces deux-là sont les plus courants sur PC.

“Label” d’une partition : trois significations possibles.

  • “Etiquette” (nom) attaché au contenu d’une partition, typiquement un système de fichiers. C’est le nom de volume qu’on voit dans l’explorateur de fichiers de Windows et dans certains équivalents sous Linux. C’est ce que la commande blkid affiche derrière LABEL=.

  • Nom attaché à une partition elle-même, défini dans la table de partition et non dans le contenu de la partition. Le format de table de partition GPT permet de définir ce nom, mais pas le format de table de partition MSDOS du MBR. C’est ce que la commande blkid affiche derrière PARTLABEL=.

  • “Disk label” (avec ou sans espace) est une expression parfois employée comme synonyme de table de partition ou d’autre format d’organisation d’un disque (disk label BSD ou Sun). On peut trouver cette expression dans certains programmes de gestion des partitions comme fdisk ou parted. Ainsi la commande mklabel de parted sert à créer une nouvelle table de partition vierge sur un disque (effaçant la précédente) et non à affecter une étiquette à une partition.

La question 2) est trop vague pour que je puisse y répondre.
Je ne connais ni MkUSB ni MULTIsystem.

Note qu’on n’a besoin d’aucun de ces programmes ni de Gparted pour copier une image ISO hybride d’installation de Debian sur une clé USB en la rendant bootable. La commande cp ou dd suffit.

fdisk n’identifie pas le type de système de fichiers contenu dans une partition. Il ne gère que l’identifiant de type qui est enregistré dans la table de partition, et qui peut n’avoir rien à voir avec le contenu réel de la partition. Linux ignore cet identifiant dans la plupart des cas.

Quand il affiche que le label du disque est de type “dos”, cela signifie que le disque a une table de partition au format MSDOS, le format traditionnel sur PC pour MSDOS, Windows et Linux.

Je ne sais pas ce que tu entends par “une application repère d’abord /media/usb0”. /media est le répertoire habituel dans lequel se trouvent les points de montage pour les systèmes de fichiers des supports amovibles comme les clés USB ; /media/usb0 peut être le point de montage d’une clé USB.

On ne peut pas formater un volume via son point de montage, il faut le faire via son nom de périphérique, ici /dev/sdb1 qui n’est pas la clé mais la partition qui est sur la clé. Ce n’est pas facile à expliquer. Un périphérique, par exemple une clé USB comme /dev/sdb ou sa partition /dev/sdb1, ce n’est qu’une suite d’octets, un peu comme un fichier mais de taille fixe. On peut écrire ce qu’on veut dedans comme on peut écrire ce qu’on veut dans un fichier quelconque. Souvent, on y met un système de fichiers. C’est une structure de données qui permet de monter le volume sur un répertoire appelé point de montage, ce qui fait interpréter son contenu dans ce répertoire comme une arborescence de fichiers et sous-répertoires. /dev/sdb1 et /media/usb0 sont alors deux vues différentes d’un même contenu, la première sous forme d’un tas d’octets bruts et la seconde sous forme d’une arborescence. Pour faire un parallèle, c’est comme un fichier ODT qu’on ouvrirait soit avec un éditeur hexadécimal qui affiche les octets bruts, soit avec LibreOffice qui affiche les paragraphes, tableaux, images… du document. La création du système de fichiers ne peut se faire via le point de montage mais directement sur le volume car son but est d’écrire les octets (appelés méta-données) qui vont permettre d’interpréter le contenu comme un système de fichiers et de le monter.

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Bonjour et bravo pour toutes ces précisions qui vont certainement dissiper le vague de mes questions…si j’assimile correctement les liens indiqués.
J’espère ne pas épuiser votre patience.

Comment expliquer que sur ma distribution Ubuntu 16.04 , SYNAPTIC me propose un MBR à installer…encore? …par dessus quoi?

-----> comment identifier le mode d’amorçage de mon ordi?Je suis prêt à copier les fichiers utilisés pour y réfléchir si des outils les rendent “humains” ;o>)

------>Je veux préparer une clé USB bootable avec la distribution Debian 64bits
stable 8.5 et pour ne pas être pris dans l’opacité de "MkUSB " ou "MULTIsystem"
si je me sers de “dd” avec:

#> dd if=le_nom_complet_du_fichier_iso of=/dev/sdX bs=1M; sync

(comme indiqué sur Wikipédia)

pourquoi une taille de block de 1M ?

------------> Si j’arrive à monter un disque dur sous WINDOWS10 de 500 Go
qui se présente:

*********\C:156Go libres sur 186Go et \D:279 Go

puis-je tout formater en EXT4 d’abord avant de mettre en place swap, home et tutti-quanti…

Le tout dans un ordi ASUS doté d’un CPU Intel Pentium N3710@1,60Ghz
avec 4096Mo de mémoire et un BIOS American Megatrend Version 2.0.2.

--------->Comment charger LE MBR qui pointe sur GRUB?

Il est compris dans l’ XXxxXXXXXXXXx.iso?

Bien à vous.

Comment ça, “Synaptic propose un MBR à installer” ? Lors de quelle action ? Que je sache Synaptic, comme apt-get ou aptitude, ne s’occupe que des paquets, pas du MBR.

Tu peux regarder dans /sys/firmware. Si un répertoire “efi” est présent, l’amorçage est EFI. Sinon, l’amorçage est peut-être BIOS, ou pas.
Si le chargeur est GRUB 2.x, appuyer sur la touche “c” lors de l’affichage du menu et taper la commande set pour afficher la “cible” (target) de GRUB, qui peut être i386-pc (BIOS), i386-efi (EFI 32 bits) ou x86_64-efi (EFI 64 bits).

Veux-tu installer un système Debian ou mettre l’installateur Debian sur la clé ?

Parce que la taille par défaut de 512 octets est trop petite et diminue la vitesse de transfert, et 1 Mio est une taille de bloc correcte par rapport à la taille de la RAM d’un PC pas antédiluvien. En pratique je n’observe pas d’augmentation de débit significative au delà de 4k.

D’abord, tu ne peux pas formatter en ext4 depuis Windows. Ensuite je ne vois pas l’intérêt de le faire avant de lancer l’installation puisque l’installateur Debian permet de le faire.

Je ne suis pas sûr de comprendre la question. Quel MBR, quel GRUB ? Littéralement, en faisant en sorte que le PC démarre en mode BIOS (puisque le programme d’amorce du MBR n’est pas utilisé en mode EFI) sur le disque qui contient ce MBR.

Je reprends dans l’ordre:

-------->Je consulte SYNAPTIC plus facilement qu’APTITUDE car il m’apparaît plus lisible .( Je sais bien qu’ils ne s’appuient pas sur les mêmes bases de données, mais j’y trouve des indications sur les paquets installés, obsolètes…bref, j’essaie de visualiser/confirmer mes manipulations du système [Nettoyage and so one…] )
et j’insiste: quand j’ouvre SYNAPTIC et demande “MBR” il affiche une version 1.1.11.5ubuntu1 sensée être la dernière version
et n’en mentionne aucune d’installée.

Petite explication appréciée pour un néophyte:

Le MBR est utilisé lors du démarrage des systèmes d’exploitation à partir
du disque dur. Il est exécuté en premier puis transfère le contrôle au
chargeur du système d’exploitation qui donne le contrôle au noyau.

--------->Voici le contenu de mon /sys/firmware:

daniel@DAN-RE:/sys/firmware$ ls -l
total 0
drwxr-xr-x 5 root root 0 sept. 5 08:01 acpi
drwxr-xr-x 3 root root 0 sept. 5 09:01 dmi
drwxr-xr-x 12 root root 0 sept. 5 09:01 memmap

Je vais essayer de communiquer avec GRUB au démarrage…A suivre?

C’est vrai que je crains de sortir un peu du sujet initial.

--------------->Pour être franc, j’ignorais qu’il y avais un installateur Debian.Je n’ai aucune idée de la meilleure place pour lui en sachant que je souhaite pouvoir présenter la clé USB sur des machines (Windows ou non…), qu’elle soit reconnue, amorçable, JESSIE lançable et éventuellement installable…un mode minimum suffirait mais permettrait de vérifier les compatibilités matérielles.
Ma référence étant une ancienne clé “puppy” qui m’avait bien rendu services ;O)

------------->Il me semble que je me heurte à des incompatibilités entre FAT et niveaux de lectures:

Voici pour la même clé ce qui apparaît dans le panneau latéral de l’explorateur de fichiers de ma distri:

Error mounting /dev/sdc1 at /media/daniel/emmabuntus_de: Command-line `mount -t “iso9660” -o “uhelper=udisks2,nodev,nosuid,uid=1000,gid=1000,iocharset=utf8,mode=0400,dmode=0500” “/dev/sdc1” “/media/daniel/emmabuntus_de”’ exited with non-zero exit status 32: mount: /dev/sdc1 is write-protected, mounting read-only
mount: wrong fs type, bad option, bad superblock on /dev/sdc1,
missing codepage or helper program, or other error

   In some cases useful info is found in syslog - try
   dmesg | tail or so.

Dans la fenêtre centrale qui me renvoie le même message,
elle est nommée:

computer:///UFD%202.0%20Silicon-Power8G.drive

Ai-je atteint les limites de cohérence de l’explorateur de fichiers?
Une aporie informatique?

J’ai tenté:
syslog -try
La commande « syslog » est introuvable, vouliez-vous dire :
La commande « syslogd » du paquet « inetutils-syslogd » (universe)
La commande « syslogd » du paquet « busybox-syslogd » (universe)
La commande « dsyslog » du paquet « dsyslog » (universe)
syslog : commande introuvable

Et:

daniel@DAN-RE:~$ dmesg |tail
[ 115.900418] perf interrupt took too long (2552 > 2500), lowering kernel.perf_event_max_sample_rate to 50000
[ 117.872949] ISOFS: Unable to identify CD-ROM format.
[ 370.112077] perf interrupt took too long (5066 > 5000), lowering kernel.perf_event_max_sample_rate to 25000
[ 843.324218] ISOFS: Unable to identify CD-ROM format.
[ 899.362733] ISOFS: Unable to identify CD-ROM format.
[ 1514.486132] perf interrupt took too long (10005 > 10000), lowering kernel.perf_event_max_sample_rate to 12500
[ 2178.639230] ISOFS: Unable to identify CD-ROM format.
[ 7039.936862] ISOFS: Unable to identify CD-ROM format.
[ 7185.315384] ISOFS: Unable to identify CD-ROM format.
[ 7437.376181] ISOFS: Unable to identify CD-ROM format.

Sur cette hypothèse:

Sans entrer dans les détails, des problèmes peuvent survenir du fait de l’usage de FAT32 car ce système de fichier ne gère ni les droits (lecture, écriture, exécution) ni les attributions (groupe, propriétaire). Pour contourner cette imperfection et s’assurer de pouvoir accéder à la clé en FAT32, il est donc parfois utile de la remonter avec l’option « umask=0 »:

sudo umount /dev/sdf1 && sudo mount -o umask=0 /dev/sdf1 /media/usbdisk/dev

À partir de trusty […ancienne mouture UBUNTU ]

sudo umount /dev/sdf1 && sudo mount -o umask=0 /dev/sdf1 /media/$USER/usbdisk

Voici mes initiatives:

daniel@DAN-RE:~$ sudo umount /dev/sdc
[sudo] Mot de passe de daniel :
umount: /dev/sdc: not mounted
daniel@DAN-RE:~$ sudo mount -o umask=0 /dev/sdc
mount: can’t find /dev/sdc in /etc/fstab
daniel@DAN-RE:~$ sudo mount -o umask=0 /dev/sdc /media/$USER/usbdisk
mount: mount point /media/daniel/usbdisk does not exist

et:

daniel@DAN-RE:/media$ ls -l
total 44
drwxr-x—+ 2 root root 4096 sept. 5 10:04 daniel
drwxr-x—+ 2 root root 4096 sept. 5 07:24 francoise
drwxr-x—+ 2 root root 4096 déc. 14 2015 root
lrwxrwxrwx 1 root root 4 déc. 12 2015 usb -> usb0
drwxr-xr-x 2 root root 4096 déc. 12 2015 usb0
drwxr-xr-x 2 root root 4096 déc. 12 2015 usb1
drwxr-xr-x 2 root root 4096 déc. 12 2015 usb2
drwxr-xr-x 2 root root 4096 déc. 12 2015 usb3
drwxr-xr-x 2 root root 4096 déc. 12 2015 usb4
drwxr-xr-x 2 root root 4096 déc. 12 2015 usb5
drwxr-xr-x 2 root root 4096 déc. 12 2015 usb6
drwxr-xr-x 2 root root 4096 déc. 12 2015 usb7
daniel@DAN-RE:/media$ cd daniel
daniel@DAN-RE:/media/daniel$ ls -l
total 0

Pourquoi la commande "mount " ne trouve pas /dev/sdc dans /etc/fstab alors que la commande:

sudo fdisk -l
localise:

Périphérique Amorçage Start Fin Secteurs Size Id Type
/dev/sda1 * 2048 499711 497664 243M 83 Linux
/dev/sda2 501758 488396799 487895042 232,7G 5 Étendue
/dev/sda5 501760 488396799 487895040 232,7G 8e LVM Linux

Disque /dev/sdc : 7,5 GiB, 8054112256 octets, 15730688 secteurs
Unités : sectors of 1 * 512 = 512 octets
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disklabel type: dos
Disk identifier: 0x000aa4d5

Périphérique Amorçage Start Fin Secteurs Size Id Type
/dev/sdc1 * 10240 15677439 15667200 7,5G b W95 FAT32

Disque /dev/mapper/ubuntu–gnome–vg-root : 230,9 GiB, 247921115136 octets, 484220928 secteurs
Unités : sectors of 1 * 512 = 512 octets
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes

Disque /dev/mapper/ubuntu–gnome–vg-swap_1 : 1,8 GiB, 1874853888 octets, 3661824 secteurs
Unités : sectors of 1 * 512 = 512 octets
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes

Pas de centre de commandement commun à “mount” et “fdisk”?

Bien à vous.

grosse confusion de ta part le mbr que tu listes dans synaptic est un paquet spécifique
Secteur de démarrage principal (MBR) pour les ordinateurs compatibles IBM-PC

que l’on retrouve aussi par

 apt list mbr
En train de lister... Fait
mbr/testing,stable 1.1.11-5+b1 amd64

Je n"ai jamais installé ce paquet sur mes PC Debian :grinning:
Le MBR dont il est question est une portion du disque dur qui contient des infos pour le boot

tu peux lister son contenu, exemple si ton disque de démarrage est sda

sudo hexdump -n 512 -C /dev/sda

Bonjour grandtoubab,

merci pour la commande "apt list " et l’aperçu du “hexdump”… encore un étage dont la langue me restera étrangère.
Dans l’architecture d’un PC, si l’on pouvait savoir par quelle traduction commencer , la tâche des enseignants serait facilitée.

Bonjour,

je présume que c’est le même MBR qui est proposé lors de l’installation de Jessie…et que je n’en ai pas + que toi l’utilité .

Peux-t-on dire que ce qui me déroute entre /dev/sd Xxx et la priorité du montage en /media/usb0 est lié au fait que toute création de partition logique entraîne la création d’une partition étendue sous-jacente non-formatable ? ?

Si je peux choisir le format de ma partition logique, c’est le systême d’exploitation qui va imposer un format pour la partition étendue ?

Quels sont les formats empilables? Y-a-il des critères de rapidité? de "solidité"ou fiabilité…en fonction des applications/services?

Quand je partitionne mon DD , la partition 1 de 536.9 MB est
proposée en fat32 avec une partition 2 de 495GB en ext4…

puis-je tout avoir en ext4?

Bien sûr, en partition 3 ( 4,2 GB) pas le choix avec le SWAP.

Que peuvent bien contenir les 2 partitions libres ( de 1MB) au début et à la fin du disque?

Mais l’installateur DEBIAN peut-il me proposer une partition en GPT avec EFI en suivant?

Bien à vous.

Ne pas confondre le MBR (en majuscules car acronyme de “Master Boot Record”) = secteur d’amorçage du disque, et “mbr” (en minuscules) = le nom du paquet qui contient la commande mbr-install permettant d’écrire un programme d’amorçage (presque) standard dans le MBR ou ailleurs. Dans aptitude ou synaptic, il s’agit du paquet mbr. Lors de l’installation de Debian, lorsqu’il est question de choisir l’emplacement où va être installé le chargeur d’amorçage, il s’agit du MBR, le secteur d’amorçage.

Non car cela n’a aucun rapport. Les partitions étendues sous-jacentes ne sont pas visibles, elles n’ont pas de nom de périphérique (sauf la première).

Une partition étendue n’a pas de format. Ce n’est qu’un conteneur pour d’autres partitions. Si tu ne veux pas te prendre la tête avec les partitions étendues, tu peux te limiter à 4 partitions sur un disque au format MSDOS ou mettre le disque au format GPT où les partition étendues n’existent pas.

Peut-être une partition système EFI.

Ce ne sont pas des partitions mais des espaces libres trop petits pour y loger une partition alignée sur des limites de 1 Mio.

Oui, mais GPT (format de table de partition) et EFI (mode d’amorçage) sont deux choses différentes.

Lors de la création d’une table de partition par l’installateur Debian, le format GPT est implicite si l’amorçage est en mode EFI ou le disque a une capacité supérieure à 2 Tio. Sinon, il faut chosir une installation en mode “expert” pour pouvoir choisir le format de table de partition.

L’installateur Debian ne proposera la création d’une partition système EFI (quel que soit le format de table de partition) que s’il a été amorcé en mode EFI. Le mode d’amorçage dépend du firmware (BIOS/UEFI) de la machine et de la compatibilité de l’installateur Debian (ex : l’installateur i386 32 bits n’est pas amorçable en mode EFI 64 bits et vice versa).

PS : ce fil part dans tous les sens, je ne vois toujours pas où tu veux en venir ni le rapport de ton dernier message avec le sujet initial.

Complètement.

Et avec quoi comptes-tu installer un système Debian ?

Tu fais référence à Debian live, qui est un système live (qui n’écrit rien sur la clé qui le contient, contrairement à un système normal) et permet éventuellement d’installer un système Debian normal sur un disque. C’est différent de l’installateur. Note que les images de Debian live Jessie ne sont pas amorçables en mode EFI.

On voit que le système tente de monter la clé comme un système de fichiers ISO 9660 (format utilisé par les CD-ROM et DVD-ROM) mais ce n’est pas le cas. Qu’est-elle censée contenir ? Si elle a été utilisée avec une image ISO puis reformatée en FAT, il reste peut-être l’en-tête ISO 9660 qu’il faut effacer. Voir la commande wipefs (dangereuse si on s’en sert mal).

Parce que /dev/sdc n’est pas dans le fichier /etc/fstab, tout simplement.
mount et fdisk n’ont rien à voir l’une avec l’autre.

Bonjour Pascal,

bravo pour la clarté et précision de tes réponses et surtout pour ta disponibilité à suivre le(s) fil(s) du néophyte.

Par rapport au sujet initial, je suis prêt à noter “résolu” car en je viens de trouver que c’est un des choix d’ Ubuntu de monter les périphériques en /dev/media.

Pour la (les) suite(s) je suis prêt à ouvrir d’autres sujets sur le forum.

Voici ma situation, sur un portable Asus où j’avais lançé une “Net install” je suis resté bloqué pour trouver un miroir et surtout ne pas savoir dans quel répertoire l’inscrire.
Je suis sorti avec une installation vraiment très minimale de root et j’ai eu du mal à faire reconnaître les différentes clé USB que j’ai présenté.
Il fallait trouver une option du BIOS lorsque la sécurité du boot est sortie.

J’ai provoqué une panique du noyau en tentant de placer une distribution Emmabuntus64 pourtant basée sur Jessie, puis
je me suis servi de “wipefs” pour effacer la signature xxxx.iso de la clé où j’ai gravé une “live Debian -Xfce”.

Lancement qui semble concluant sans avoir le confort ( souris reconnue, écran tactile reconnu, internet capté…français spoken…)d’ Emmabuntu.
Un facteur de liberté en plus puisque je ne me vois pas imposer l’utilisation de “Fluendo MP3”!!!
Quel remplacement possible avec Jessie?

De façon plus générale comment capter les pilotes nécessaires à mon matériel? La distribution m’a déjà demandé avec (un humour d’informaticien ;°>)
de présenter mon dvd ou CdROM.
J’ai aperçu dans le BIOS une option qui doit vouloir dire que je peux présenter mon USB comme CD (FDD??) voir Floppy…mais je veux bien solliciter le flair de Jessie au maximum.
J’ai trouvé les adresses de miroir à inscrire sans trop savoir comment , ni dans quel répertoire l’enregistrer.

Je vais d’abord tenter une partition d’expert en format GPT, mais si j’ai bien suivi, je dois sortir du "Debian-live " .
Je vais préparer une image standard de JessieXfce 64 et finaliser mes partitions.

Bien à vous.

C’est préférable parce que tes messages abordent trop de sujets différents, ce qui induit des réponses trop longues. A moins que les questions soient étroitement liées, une question -> un sujet.

Bloqué comment ? Il suffit de sélectionner dans la liste un miroir le plus proche possible, et l’installateur se débrouille tout seul pour écrire ce qu’il faut où il faut (dans le fichier /etc/apt/sources.list). Le contenu du miroir choisi doit être accessible, donc le réseau doit avoir été configuré correctement et être opérationnel.

Que veux-tu dire par “faire reconnaître” ? Si tu parles du montage automatique, un système minimal installé en netinstall sans miroir réseau n’a pas ce qu’il faut, il faut tout monter à la main avec la commande mount. Si tu parles de booter sur ces clés, c’est autre chose et cela dépend du firmware BIOS/UEFI de la machine et de la façon donc la clé a été préparée.

Il n’y a pas de façon générale. Cela dépend du type de périphérique. Idéalement, les pilotes sont déjà inclus. En plus des pilotes, parfois pour certains périphériques notamment des cartes réseau ethernet ou wifi ou les cartes graphiques, il faut installer des “firmwares” non libres pour que le pilote puisse faire fonctionner le périphérique. L’installateur officiel de Debian ne contient pas de firmwares non libres mais il existe des images non officielles les incluant.

Cela n’a strictement rien à voir avec la façon dont Debian détecte les clés USB. Le BIOS a différentes façons d’exploiter une clé USB, notamment en émulant une disquette (numérotation à partir de 00h) ou un disque dur (numérotation à partir de 80h) lors des accès disques via le BIOS. La plupart du temps, l’option auto qui laisse le BIOS choisir fonctionne plutôt bien pour l’amorçage. Les images d’installation ou live de Debian sont plutôt construites pour émuler un disque dur. A noter que seul le chargeur d’amorçage comme LILO ou GRUB utilise le BIOS pour accéder aux disques. Linux n’en a pas besoin, cela ne le concerne donc pas.