Une entrée Boot0000 avait bien été créée pour Debian, mais son numéro ne figure pas dans BootOrder. C’est peut-être pour cela qu’elle n’est pas affichée dans le menu de boot. Cela aurait pu être corrigé en modifiant la valeur de BootOrder avec efibootmgr.
Tu peux voir l’effet de la commande bcdedit dans l’entrée Boot0001.
Ce n’est pas ce que j’ai écrit.
Ce n’était pas ça, son problème. Son problème était que suite à l’installation de Debian en mode UEFI les variables de boot UEFI (en particulier BootOrder) n’ont pas été correctement initialisées, rendant l’amorçage de Debian impossible. Ensuite il a forcé l’installation de Debian en mode legacy, qui forcément n’était amorçable qu’en mode legacy. La commande bcdedit n’a fonctionné que parce que le chargeur GRUB UEFI de l’installation précédente était resté dans la partition EFI et que la nouvelle installation était suffisamment semblable (même numéro de partition contenant /boot) pour qu’il puisse la démarrer. Il a eu de la chance.
Edit : ça n’aurait pas marché avec Debian Stretch qui aurait installé une version de GRUB non signée pour le secure boot, qui n’installe qu’une image minimale dans la partition EFI et va chercher la plupart des modules dans la partition racine/boot qui auraient disparu suite à la réinstallation en mode legacy. Debian Buster installe la version de GRUB signée pour le secure boot qui installe une image beaucoup plus complète dans la partition EFI et n’a pas besoin des modules dans /boot. Donc il a eu doublement de la chance.
Par contre si tu as installé directement Debian en mode legacy, GRUB ne sera pas dans la partition EFI et la commande bcdedit ne marchera pas. Mais ça peut s’arranger sans réinstaller.
Tu vois, l’historique compte autant que les symptômes.