Quelle manipulation ?
Et pour l’amour de Dieu, on arrête avec les images qui ne contiennent que des informations textuelles de configuration.
On utilise un balisage spécifique, basé sur des lignes contenant seulement trois caractères backticks ALtGr+7
Ceci nous permettrait de voir que vous vous obstinez à utiliser une version obsolète des directives idmap
.
Pour winbind separator
il me semble plus simple de ne pas tomber dans le piège et d’écrire les comptes (SPN) sous la forme
compte@FRACOM.LOCAL ou compte selon le cas.
Dans les sorties, je vois que la machine Linux s’appellerait DEBVSND2 (en minuscules je suppose), mais dans domaine DNS Fracom.local et realm FRACOM.LOCAL
Pouvez-vous être cohérent dans les notations et configurer la partie domaine DNS dans l’Active Directory en fracom.local
.
Il me semblerait plus simple d’avoir la machine Linux debvsnd2.fracom.local en IP fixe (dans AD et sur deb… ).
Et de même, pourquoi avoir choisi ce nom ‘administrateur’ pour le compte AD, alors que vous avez vraisemblablement des noms un peu moins passe partout pour les utilisateurs Linux.
Il me semble plus simple de configurer dans l’AD un compte avec un nom identique que sous Linux et qui a le droit de joindre un système à l’AD, avec un mot de passe qui n’expire pas par exemple.
Si le compte s’appelle untel
, vous vous connectez au Linux (avec le mot de passe Linux ou clé SSH), vous lancez
kinit untel@FRACOM.LOCAL
et vous tapez le mot de passe Windows/AD
Un petit
klist
pour vérifier. La commande pour tester que vous pouvez joindre l’AD devient
sudo net ADS testjoin -k -U untel
et remplacer par join
pour faire entrer le système dans FRACOM.LOCAL (une seule fois !)
Dans une machine Windows, connectez vous avec l’identifiant untel
et tapez les commandes
klist
setspn untel
setspn debvsnd2
Bon courage.
Cordialement,
Regards,
Mit freundlichen Grüßen,
مع تحياتي الخالصة
F. Petitjean
« Je préfère le vin d’ici à l’au-delà »
Pierre Dac