Vim n’est autre que vi improved, l’éditeur vi «amélioré».
Vim n’étant pas installé chez toi, vi fera l’affaire pour éditer sources.list.
Tu arrivais à l’ouvrir à l’aide de vi. Persiste donc avec vi.
[code]
vi /etc/apt/sources.list [/code]
su et droits de root.
Quand on installe une debian classique, une debian des familles, le compte root est activé avec son mot de passe.
Il est possible d’installer debian sans activer le compte root. En ce cas, l’installation n’est pas orthodoxe, installation «spéciale» (à la ubuntu dirions-nous).
Être attentif aux explications qui s’affichent durant l’installation. Garder en mémoire les comptes créés et leurs mots de passe. Ceux des utilisateurs et celui de root.
Le compte root est celui du superadministrateur du système. Pour prendre les droits de root, on use de la commande [mono]su[/mono].
Contrairement à l’étymologie qui se voudrait mnémotechnique souvent répétée, à tort, su ne se rapporte pas à [strike]superuser[/strike] mais à switchuser. Par défaut, l’utilisateur visé par la commande [mono]su[/mono] est root.
Un mot de passe protège l’accès aux droits de root.
[mono]su[/mono] puis touche Entrée débouche sur la demande du mot de passe de root. On compose le mot de passe puis touche Entrée. Le mot de passe ne s’affiche pas lors de sa composition au clavier
pour en préserver le secret.
Vérifier que tu as les droits de root.
Son prompt, son invite est #.
Son id est 0. Commande [mono]id[/mono]. 0, zéro, personne ne passe avant root. Il n’a de compte à rendre à personne. Il est l’autorité incontestée qui mène sa barque comme il l’entend pour le meilleur … et pour le pire.
Commande : whoami
root
Présentement, ton prompt est #. Ça veut dire que tu as déjà pris les droits de root.
Fais appel à ta proche mémoire pour savoir comment tu t’y es pris.
su ? Terminal root ? sudo ?