C’est un grand classique, un fait social établi. Le dernier “converti” est le plus zélé. Et, en ce qui nous concerne, il alimente la guéguerre… Probablement que certains ubuntistes anti-microsoft primaires deviennent ensuite des débianneux anti-ubunticiens enragés ! Ils ont peut-être l’impression de “monter en grade”… Quand ils se mettront à Gentoo, sûrement qu’ils regarderont Debian de haut…
Après, la critique en soit est légitime, et même démocratique. On a le droit de critiquer Ubuntu comme de critiquer Debian, mais il faut argumenter et fuir absolument les incantations genre “Ubuntu pas bien” (ou “Debian c’est pour la frime”) qui n’expliquent pas pourquoi.
Après, il est vrai que Mark S. a déclaré que, sous Ubuntu, chaque utilisation de la ligne de commande est un bug à corriger… Et ça, ça peut se critiquer allègrement. Après, au final, il faut avoir en tête que les deux existent (interfaces graph et ligne de commande), que le plus pratique n’est pas forcément la graph, après chacun fait comme il veut - tant que l’OS en laisse la possibilité ! Ubuntu peut s’administrer en “tout ligne de commande” me semble-t-il.
Perso, en passant de Ubuntu à Debian, étant resté sous Gnome, j’ai gardé les mêmes habitudes graph / ligne de commande. Le plus gros changement a été les mises à jour et le passage à Aptitude (un choix personnel) et l’assimilation du choix du sources.list, des préférences etc. C’est peut-être plus technique sur cet aspect-là, mais justement, c’est ce que je voulais (et ainsi en finir avec les cycles de 6 mois qui m’ont fatigués).