Ricardo, mauvaise nouvelle

Bon, j’avais un doute, j’ai cherché un peu, Ricardo image est mort en janvier 2024. Ses opinions politiques étaient ce qu’elles étaient et il était un chouïa franchouillard mais il avait beaucoup de bons cotés et il a vraiment beaucoup donné au forum debian.

2 J'aime

eh oui les anciens s’en vont doucement; ceux que j’avais appris à connaître sur l’ancien fr.org avec ggoodluck…et d’autres.
Il n’était pas franchouillard il avait simplement le goût de la langue française telle que moi aussi je l’avais apprise; mais tout ça appartient maintenant à un autre monde où n’a plus cours qu’un sabir incompréhensible et les valeurs qu’il exprimait sont aujourd’hui remplacées par la « cancel culture » et le « wokisme » .
Mon premier pseudo était marcastro pour ceux qui s’en souviennent.

1 J'aime

Au moins l’un des deux mot est discutable si ce n’est les deux.

Je n’ai pas connu Ricardo (en tant que pseudo), mes condoléances.

paix à un pingouin

Paix à son âme, c’était un ancien et un érudit du forum, il aidait beaucoup les membres.

Merci Ricardo !

Merci fran.b pour la nouvelle, aussi terrible soit-elle.
Je présente toutes mes condoléances à sa famille, Ricardo faisait preuve d’un investissement sans faille pour le forum.

@marcastro ou @anonyme2: content de savoir que tu es toujours présent sur le forum :slight_smile:

Je ne l’ai pas connu ailleurs qu’ici, et il était de ceux que j’ai apprécié autant par sa générosité à aider, que par la qualité de sa langue.
Il ne faut effectivement pas confondre l’amour de la langue avec la «franchouillardise» qui désigne une étroitesse d’esprit.
Aimer sa langue favoriserait plutôt l’ouverture d’esprit, me semble-t-il, l’ouverture aux autres, aux étranges étrangers… en développant les qualités d’analyse, les nuances, les subtilités, ainsi qu’un esprit critique, tant la langue française est si riche d’histoire et de subtilités.
La langue reflète l’esprit et, par exemple, permet d’aborder avantageusement les difficultés de la vie, comme les contradictions, les questions face aux préjugés.
À travers le style, on peut mieux connaître l’autre, à condition d’en maîtriser soi-même suffisamment les moyens.
Je me fais donc une idée de ce qu’il pouvait être, uniquement à travers ce qu’il m’a donné à lire, dans ce contexte de solidarité et de liberté qui m’ont guidé vers Linux.
Sans doute une compréhension de vieux, avec une éducation et des conditions de développement semblables (le papy-boom)
Merci d’avoir mené cette enquête et de nous avoir informé.

Ayant fait mes premiers pas de « debianiste » ici,
je conserve(rai) la mémoire, et la reconnaissance de son aide,
qui avec d’autres, m’aura permis atteindre la Liberté que j’expérimente au quotidien.

Merci Ricardo.