Bonsoir,
désolé pour les digressions qui ne sont que le reflet de mes difficultés de représentation/compréhension.
Si j’ai utilisé des images musicales, c’est parce-que les couches d’écritures des programmes en mémoire me semblent se superposer comme sur une partition.
Si une rayure de vinyle/CD/ restait matériellement visible, localisable comme d’ailleurs une altération de bande magnétique ou de négatif photo…comment faire avec les bits, blocks …??
Comment savoir si ma clé USB est définitivement corrompue ? Je trouverais pratique qu’en isolant/ignorant la partie défectueuse, je puisse utiliser le reste.
(un peu comme sur un disque rayé, je peux quand même écouter les morceaux non altérés)
Il y a effectivement un lien avec la copie d’écran qu’envoie GrandToubab:
En général je confirme la vision de Gparted avec “lsblk” et heureusement ;O> ) car sur une machine avec Ubuntu 16 j’ai systématiquement l’annonce d’un montage initial en /media/usb0… qui n’est pas gênant avec des données/fichiers classiques.
Pour la clé gravée avec un XXXXXX.iso, l’explorateur de fichier affiche le /media/usb0 ET l’xxxxx.iso;
Quand je veux démonter usb0 l’opération n’est pas permise (un dossier EFI s’affiche) et je ne peux pas éjecter l’XXXXX.iso
qui m’indique que /dev/sdb2 est monté.
Pascal a bien expliqué le temps nécessaire à la journalisation lors du démontage. Pour des données simples"ça fonctionne impec.",il n’y a pas ces 2 étages.
Sur la clé en XXXXXX.iso , peut-on récupérer de la place?
Monter un autre étage (sdb3 ?)
Pour l’instant je me contente de laisser la clé sur l’ordi. jusqu’à l’extinction avant de la retirer.