Securite du peripherique

Bonjour,
sur la même machine, des clés USB différentes apparaissent avec des options de sorties différentes.
“eject” est toujours possible mais “démonter” ou “retirer en toute sécurité” dépend de la clé.
Chaque marque doit donc avoir ses instructions; Peux-t-on les localiser sur la clé?..humainement lisibles? modifiables?

Inutile de joindre vos réponses aux services de la Prévention Routière ;O>)

hahaha

Quel est le rapport entre le titre du sujet et le corps du message ?

Bonjour,

Je voudrais comprendre les messages qui annoncent des risques lorsque l’on retire une clé, un disque, un périphérique USB.
Risques sur les copies transférées?
Mauvaises connaissances de “mount/umount” ?
Lorsque l’on a des retours ( avec par ex. “wipefs”) indiquant une erreur à 0x000005 comment savoir si cela concerne le support physique (Clé…)
ou la copie/gravure des documents transférés?
Je change complètement de disque ou je re-télécharge/ re-grave /re-copie mes données?

Bref, le périphérique n’est pas l’endroit le plus sûr …comme l’indiquent les différents services d’Etat concernés ;O>)

Les modifications d’un système de fichiers monté ne sont pas toujours enregistrées sur le support de stockage immédiatement, à cause des différents caches mis en oeuvre pour optimiser les accès disque. Le démontage du système de fichiers s’assure que toutes les écritures en attente sont réalisées avant de rendre la main et de pouvoir déconnecter le périphérique. Si on ne le fait pas, les risques vont de la perte des dernières données enregistrées à la corruption des méta-données du système de fichiers (la journalisation est censée limiter ce risque). Cela n’a rien à voir avec un risque d’endommager physiquement le périphérique de stockage lui-même.

Tu aurais un exemple concret ?

Bonjour,

il est difficile de juger du niveau d’abstraction des langages informatiques et/ou mathématiques.
Déjà le frottement du saphir dans les sillons d’un disque vinyl était un peu magique mais il permettait de faire une analogie avec la précision des rayons sur un CD.
Plus de finesse,un aspect mécanique de frottements et l’évocation de plusieurs instruments de musique…
Je présume que l’on a déjà la nécessité de “méta-données” pour remplacer le bras du pick-up et pouvoir enregistrer sons et images , différents formats .
Vinyles et CD ont des limites physiques visibles…mais que dire d’une clé USB et des mémoires sur l’ordinateur (en barettes ou non )?
C’est là qu’intervient la journalisation?
Je trouve fantastique que des impulsions électriques soient codées pour nous permettre de communiquer, enregistrer.
J’ai la tentation un peu romantique certainement de vouloir parler à la machine le plus humainement possible…surtout pour un anglo-saxon :slight_smile:
Je manipule donc plutôt la ligne de commande , qui m’a quelquefois permis des résultats non pris en charge par des applications. (d’où l’intérêt des mises à jour et des informaticiens.)
Tu me demandes un cas concret:

Lors de la réception d’un XXXXX.iso , en ayant vérifié selon la norme la plus fiable en vigueur l’identique de la réception, le gravage effectué à une vitesse lente , toujours à la recherche du plus fiable possible …mais déjà le terme “gravage” m’apparaît comme un abus de langage.
Je ne saurai jamais si poussière palpable ou incident micro-électrique va occasionner une faille qui m’empêche de finaliser ma tache et je reste avec un message du style:

“Une erreur à 0x000005 est intervenue” assortie de quelques recommandations polies.

D’une certaine façon, c’est une limite de la machine qui reste rassurante, à défaut d’être intelligente.

Bien à vous.

Je voudrais pas paraitre amer mais il y a beaucoup de digressions dans tes réponses (pour résumer j’ai rien compris :wink: ). Si tu peux faire (beaucoup) plus court et centré sur ton problème on pourra mieux cerner et donc t’aider

pas clair en effet, il veut parler de ça peut-être??

ça fonctionne impec :grinning:

Bonsoir,

désolé pour les digressions qui ne sont que le reflet de mes difficultés de représentation/compréhension.
Si j’ai utilisé des images musicales, c’est parce-que les couches d’écritures des programmes en mémoire me semblent se superposer comme sur une partition.
Si une rayure de vinyle/CD/ restait matériellement visible, localisable comme d’ailleurs une altération de bande magnétique ou de négatif photo…comment faire avec les bits, blocks …??

Comment savoir si ma clé USB est définitivement corrompue ? Je trouverais pratique qu’en isolant/ignorant la partie défectueuse, je puisse utiliser le reste.
(un peu comme sur un disque rayé, je peux quand même écouter les morceaux non altérés)

Il y a effectivement un lien avec la copie d’écran qu’envoie GrandToubab:

En général je confirme la vision de Gparted avec “lsblk” et heureusement ;O> ) car sur une machine avec Ubuntu 16 j’ai systématiquement l’annonce d’un montage initial en /media/usb0… qui n’est pas gênant avec des données/fichiers classiques.

Pour la clé gravée avec un XXXXXX.iso, l’explorateur de fichier affiche le /media/usb0 ET l’xxxxx.iso;
Quand je veux démonter usb0 l’opération n’est pas permise (un dossier EFI s’affiche) et je ne peux pas éjecter l’XXXXX.iso
qui m’indique que /dev/sdb2 est monté.

Pascal a bien expliqué le temps nécessaire à la journalisation lors du démontage. Pour des données simples"ça fonctionne impec.",il n’y a pas ces 2 étages.

Sur la clé en XXXXXX.iso , peut-on récupérer de la place?

Monter un autre étage (sdb3 ?)

Pour l’instant je me contente de laisser la clé sur l’ordi. jusqu’à l’extinction avant de la retirer.

Bonjour,

je reviens avec 2 liens qui répondent à mon sujet…

Je devrais être capable de le reformuler moins confusément la prochaine fois ;>)

------->https://wiki.debian.org/fr/USB

et -------->https://www.debian.org/releases/stable/i386/ch04s03.html.fr

Bien à vous.