Voyage hostile hors des frontières de debian

La matinée commença dans la bonne humeur.
La mise à jour de certaines machines de notre réseau avec la dernière version stable était au programme et j’en étais ravi à l’avance.
Plusieurs desktop étaient prévus dont xfce pour certaines machines un peu plus anciennes.
La mise à jour du pxe se passe en quelques minutes, l’installation se passe aussi bien.

Ensuite, je regarde dehors et je vois des nuages noirs se profiler à l’horizon.
J’aurai du me douter que cela n’annonçait rien de bon, car d’un coup, paf !! La journée à tourné au cauchemar.
Le gestionnaire de fichier, en l’occurrence thunar, bug complètement, freeze 30 seconde avant de démarrer, ne montre pas certains hdd, plante lamentablement lorsque l’on tente d’explorer le réseau local.
:angry-banghead: :angry-banghead: :angry-banghead:

J’ai cherché un bon moment, seul puis dans le monde de debian mais sans vraiment trouver.
Un peu à court d’idées, j’ai décidé chercher ailleurs, mal m’en a pris.
Car en effet, contre toutes attentes, j’ai trouvé énormément solutions…
Les pires provenant d’ubuntu, cette communauté d’apprentis sorciers malheureusement trop connue.
Oubliez la configuration trash de xinit, le trifouillage de thunar-volman, la désactivation pure et simple de gvfs ou l’ouverture aux forceps de son policykit.
( Je passe les meilleures, pas par manque de place mais car il vaut mieux les taire à jamais. )
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En fait, si vous avez des serveurs samba sur votre réseau ne cherchez plus, c’est probablement de la que vient le problème.
L’edition de la configuration de samba sur les clients incriminés à été salvatrice…
Il m’a suffit de compléter ces deux paramètres avec les valeurs correspondantes au réseau en question pour que la magie s’opère et que tout rentre dans l’ordre.

workgroup = wins server =
Quand au pourquoi du comment, je ne veux pas le savoir avant quelques jours.
Mais je tenais vraiment à partager cette journée de folie.

Morale de l’histoire, il vaut mieux rester chez soi et chercher que traîner dans des endroits peu recommandables pour gagner du temps.
On ne m’y reprendra pas de si tôt à voyager hors de nos frontières.