Ben mon camarade, tu vas être taxé de droitiste avec ces pensées.
Y’a pas à dire, en vieillissant, certains font comme le vin, ils se bonifient
Au passage, c’est 75 % et non 70 qu’il a avancé (j’ai suivi en direct)
Ricardo est bien plus gauchiste que Hollande:
[quote=“ricardo”]Je ne sais pas si ce que je vais écrire va encore me valoir le statut de poujadiste mais que pensez-vs d’une règle qui, ds un premier tps, limiterait les salaires ds une proportion de 1 à 10 ?
Je parle de salaires car pour les autres revenus, c’est plus difficilement contrôlable.
Le smic étant, pour faire simple, à 1500 €, le mieux payé de l’entreprise, en principe le pdg, se verrait octroyer 15000€ maximum.
Bien sûr, bannies les stock options.
D’autre part, pour réduire progressivement les écarts de salaires, tte augmentation du smic se verrait répercutée sur les autres salaires en valeur ABSOLUE et non plus en pourcentage.
Smicard augmenté de 100€ = salaire à 1600€
Pdg = salaire à 15100€.
L’augmentation du pouvoir d’achat serait ainsi la m^ pour ts, c’est comme ça que je vois le mot écrit au milieu du fronton des mairies.
Tjrs en pensant à ce mot, au demeurant formidable, je lancerai plus tard :
– l’âge auquel on peut prétendre à une pension de retraire ou le nombre d’années de cotisation et non pas d’ANNUITÉS nécessaire pour ce faire
– le montant de ladite pension, par rapport au dernier salaire/traitement/etc.[/quote]
[quote=“junichiro”]Ricardo est bien plus gauchiste que Hollande:
[quote=“ricardo”]Je ne sais pas si ce que je vais écrire va encore me valoir le statut de poujadiste mais que pensez-vs d’une règle qui, ds un premier tps, limiterait les salaires ds une proportion de 1 à 10 ?
Je parle de salaires car pour les autres revenus, c’est plus difficilement contrôlable.
Le smic étant, pour faire simple, à 1500 €, le mieux payé de l’entreprise, en principe le pdg, se verrait octroyer 15000€ maximum.
Bien sûr, bannies les stock options.
D’autre part, pour réduire progressivement les écarts de salaires, tte augmentation du smic se verrait répercutée sur les autres salaires en valeur ABSOLUE et non plus en pourcentage.
Smicard augmenté de 100€ = salaire à 1600€
Pdg = salaire à 15100€.
L’augmentation du pouvoir d’achat serait ainsi la m^ pour ts, c’est comme ça que je vois le mot écrit au milieu du fronton des mairies.
Tjrs en pensant à ce mot, au demeurant formidable, je lancerai plus tard :
– l’âge auquel on peut prétendre à une pension de retraire ou le nombre d’années de cotisation et non pas d’ANNUITÉS nécessaire pour ce faire
– le montant de ladite pension, par rapport au dernier salaire/traitement/etc.[/quote][/quote]
Mais je n’ai pas changé d’avis.
Je sais que c’est de l’utopie pure et simple.
J’ajouterai même un règle : égalité dans tous les domaines et spécialement dans les calculs des retraites et dans les supplément de salaires/traitements pour les gens travaillant dans les départements où la vie est plus chère.
Il est anormal, comme c’est le cas actuellement à la Réunion, qu’une seule partie de la population ait un revenu supérieur au revenu équivalent des “métros”, alors que l’autre partie (les smicards) ont de quoi crever de faim avec le même “smic”.
Contredisez-moi si je me trompe.
Au risque de me répéter sur cette histoire de dette, les traités européens ont abandonné le controle de la banque centrale par les gouvernements:
Role de la banque centrale: celle ci peut créer la monnaie, la monnaie en circulation doit correspondre à l’économie du pays, sinon cela engendre de l’inflation. La Banque Centrale controle donc l’inflation.
Pourquoi cet abandon (en 1998 essentiellement) et conséquences: L’état pouvait par cette méthode rembourser facilement les emprunts (faire tourner la planche à billet) ce qui incitait à l’inflation. Le traité de Maastricht a abandonné cette prérogative en rendant la BCE indépendante. La constituion européenne aurait donné a l’assemblée européenne la possibilité de revenir sur ce point ou du moins de l’assouplir, avec ce refus, l’europe est coincée par les traités (les fameuses parties 3 et 4 de la constitution) et ne peut plus rien modifier.
Note: L’inflation appauvrit tout le monde certes mais proportionnellement à leur forturne
Intérêt pour les banques: Désormais, la seule création monétaire se fait par les banques privées au moyen d’emprunts (A emprunte à B 100€ est les met en circulation, tandis que B vend les traites qu’il a de A soit de nouveau 100€ en circulation, bilan: 200€ en circulation pour 100€ au départ. Inconvénient, si A n’est plus crédible, les 100€ s’envolent en fuméee, cf les différentes crises) ou en empruntant à la BCE (à un taux ridicule, pour le mettre en circulation à un taux énorme!!)
La vision de la dette d’un état comme celle d’un ménage et la nécessité de gérer le budget d’un état en père de famille est une aberration. Je vous engage à vous renseigner sur l’exemple argentin.
Pour le reste je suis étonné d’entendre «Ouais, il faut taxer les riches» puis quand quelqu’un propose de taxer les revenus de plus de 1000000€ à 75% «ouais c’est une idiotie». C’est un début, il faut noter qu’USA, pendant la crise de 29, les USA ont prelevé jusqu’à 80% des revenus des plus riches.
Et même que Mélenchon.
[quote=“ricardo”]Je ne sais pas si ce que je vais écrire va encore me valoir le statut de poujadiste mais que pensez-vs d’une règle qui, ds un premier tps, limiterait les salaires ds une proportion de 1 à 10 ?
Je parle de salaires car pour les autres revenus, c’est plus difficilement contrôlable.
Le smic étant, pour faire simple, à 1500 €, le mieux payé de l’entreprise, en principe le pdg, se verrait octroyer 15000€ maximum…/
[/quote]
C’est très exactement la mesure que préconise le FdG depuis des mois, à ceci près que Méluche limite l’écart de 1 à 20.
Comme il est impossible de fixer ou de limiter les hauts revenus d’une entreprise privée par la loi, la seule solution reste la création d’une tranche supérieure d’impôt à taux confiscatoire. La raison d’être d’une telle tranche n’est pas essentiellement de rapporter de l’argent à l’état, mais bien de faire de la dissuasion.
En 1932, quand Roosevelt arrive au pouvoir, le taux de l’impôt fédéral sur le revenu applicable aux plus riches était de 25 % aux États Unis. Il décide de le porter immédiatement à 63%, puis 79% en 1936, et 91% en 1941, niveau qui s’appliquera jusqu’en 1964. En 1941, le seuil du taux de 91% s’applique aux revenus supérieurs à 200000 dollars de l’époque, soit 1 million de dollars d’aujourd’hui ou 770000 euros, (environ 40 fois le SMIC).
Que je sache, Roosevelt n’a jamais été communiste, et sa politique fiscale n’a pas tué le capitalisme aux USA.
[quote=“teych”]…Comme il est impossible de fixer ou de limiter les hauts revenus d’une entreprise privée par la loi, la seule solution reste la création d’une tranche supérieure d’impôt à taux confiscatoire. La raison d’être d’une telle tranche n’est pas essentiellement de rapporter de l’argent à l’état, mais bien de faire de la dissuasion.
En 1932, quand Roosevelt arrive au pouvoir, le taux de l’imp[/quote]
Non, car là, le pognon va dans les caisses de l’État et on ne peut plus contrôler ce qu’il en fait (pas toujours bien et souvent mal).
Tandis que si ce qui est retiré des plus gros salaires d’une entreprise reste DANS l’entreprise, l’argent peut être, soit réinvesti, soit partagé entre les autres salariés.
Et rappelez-vous, en 1515, lors de la fameuse bataille de Marignan, …
Pourquoi pas remonter à Cesar
[quote=“ricardo”]
J’ajouterai même un règle : égalité dans tous les domaines et spécialement dans les calculs des retraites et dans les supplément de salaires/traitements pour les gens travaillant dans les départements où la vie est plus chère.
Il est anormal, comme c’est le cas actuellement à la Réunion, qu’une seule partie de la population ait un revenu supérieur au revenu équivalent des “métros”, alors que l’autre partie (les smicards) ont de quoi crever de faim avec le même “smic”.
Contredisez-moi si je me trompe.[/quote]
En ce qui concerne la Guadeloupe, réponse déjà donnée:
[quote=“Junichirô”][quote=“ricardo”]
Tu peux demander ta mutation pour rentrer maintenant car les paradis fiscaux et les doubles retraites pour les fonctionnaires ds les Dom/Tom, c’est terminé. [ici, smiley diable qui ne veut plus fonctionner chez moi après “upgradation” ]
Va falloir te suffire de ta petite retraite de fonctionnaire à smic x 3. [re smileys][/quote]
Paradis fiscal? Double retraite? En Guadeloupe, ça n’existe pas. Par contre on a une majoration de traitement de 40% qui saute pour le calcul de la retraite.[/quote]
PS: on remarque que contrairement à ce qui a été dit dans un autre fil la fonctionne “recherche” fonctionne pas mal!
[quote]Paradis fiscal? Double retraite? En Guadeloupe, ça n’existe pas. Par contre on a une majoration de traitement de 40% qui saute pour le calcul de la retraite.[/quote]Les smicards de Guadeloupe ont aussi un smic augmenté de 40 % ?
Tu sais très bien que non! Puisque tu as participé au fil dont j’ai tiré la réponse et que la majoration s’applique aux fonctionnaires et éventuellement d’autres professions assimilées.
Il existe des majorations aussi dans certaines branches par accords ou convention collectifs.
[quote=“junichiro”]Tu sais très bien que non! Puisque tu as participé au fil dont j’ai tiré la réponse et que la majoration s’applique aux fonctionnaires et éventuellement d’autres professions assimilées.
Il existe des majorations aussi dans certaines branches par accords ou convention collectifs.[/quote]
“Tous ensemble, tous ensemble, tous…”
Plus vieux que çà :
Interdiction pour la Banque de France de financer le budget de l’Etat en 1973, sous Pompidou donc.
Etait-ce une Loi ou un Décret, il suffirait de chercher.
(Cette décision a ensuite été aggravée sous Giscard et tout autant sous Mitterrand avec notamment la confusion possible des activitées financières et de dépôt pour toutes les banques françaises).
De là, obligation pour l’Etat d’emprunter aux banques privées, et enclenchement du cycle qui nous mène à une dette de 1500 milliards d’euros,surtout alimentée par des intérêts versés aux banquiers !
Autre notion à se rappeler, la dette du pays était de 800 milliards de francs à l’arrivée (1993)de sa Suffisance Edouard lors de la 1ère cohabitation, et de 1300 milliards toujours de francs à son départ (1995), augmentation essentiellement créée par une bidouille savante sur les valeurs de TVA reversée par les entreprises.
En gros la dette a été multipliée par dix depuis 1995 et par deux depuis la gouvernance libre du l’UMP et consorts en 2002.
Pour aller plus loin sur le pourquoi et le comment de ces choix politico-économiques aberrant, lire “Circus politicus” des Christophe Deloire et Dubois chez Albin Michel
[quote=“ricardo”]
“Tous ensemble, tous ensemble, tous…” [/quote]
Exactement! D’où les 40 jours et plus de grève de 2009 pour obtenir notamment 200€ de plus pour les salariés dont le salaire était inférieur à 1,4 smic, etc…
On peut par contre contester, et ce n’est certainement pas fini, les modalités de l’accord et son application. Voir l’accord Bino: http://ugtg.org/IMG/pdf/accord_bino.pdf
L’article V (clause de convertibilité) est exclue de l’arrêté d’extension.
Au passage la loi de finance de décembre 2011 proroge d’un an l’article de la Loi qui encadre l’application (exonération de cotisation patronale et salariale autre que CSG et CRDS). Ou l’art de refiler le bébé au prochain gouvernement.
@ eggregor :
Et il n’y aurait pas un truc simple, du genre :
Estimation RÉELLE et non utopique de la croissance sur l’année à venir.
Calcul des rentrées d’argent en fonction de cette estimation.
Partage de cette rentrée d’argent entre les différents ministères et autres sources de dépenses de l’État, sans un centime de plus.
Ça n’épongerait pas la dette mais au moins, ça ne l’augmenterait pas.
Allez, soyons un peu plus utopistes :
Prise en compte des rentrées d’argent réelles de l’année ÉCOULÉE.
La suite, comme plus haut.
S’il y a croissance, on éponge la dette à hauteur des rentrées supplémentaires liées à cette croissance.
Trop simpliste ?
ptet mais en suivant ce chemin, dans cinq ans, la France prête de l’argent à la Chine
@ Juni :
Ce n’est pas une mauvaise action mais mieux aurait été de réclamer au moins 30 % de plus au smicards de Guadeloupe (et autres DOM où les écarts sont semblables). Ç a l’inconvénient de produire plus de “smicards” mais ça n’enlève rien à ceux qui sont déjà à ce niveau.
Je sais, les gens n’aiment pas être “smicards” mais si on réfléchit un minimum, qu’est-ce qui est mieux : être smicard à 1350 € ou “au dessus” du smic à 1200 € ???
[quote=“ricardo”]
@ Juni :
Ce n’est pas une mauvaise action mais mieux aurait été de réclamer au moins 30 % de plus au smicards de Guadeloupe (et autres DOM où les écarts sont semblables). Ç a l’inconvénient de produire plus de “smicards” mais ça n’enlève rien à ceux qui sont déjà à ce niveau.
Je sais, les gens n’aiment pas être “smicards” mais si on réfléchit un minimum, qu’est-ce qui est mieux : être smicard à 1350 € ou “au dessus” du smic à 1200 € ???[/quote]
Ben oui! Mais c’est ce qui a été obtenu. La revendication initiale était 200€ net! Ce qui est loin du résultat obtenu car pour le moment il s’agit d’un bonus exonéré (pour faire simple l’équivalent d’un intéressement sans condition) et non un salaire créant des droits. Par exemple en matière de retraite,etc…
[quote=“ricardo”]/Non, car là, le pognon va dans les caisses de l’État et on ne peut plus contrôler ce qu’il en fait (pas toujours bien et souvent mal).
Tandis que si ce qui est retiré des plus gros salaires d’une entreprise reste DANS l’entreprise, l’argent peut être, soit réinvesti, soit partagé entre les autres salariés.[/quote]
Tu rigoles j’espère, on controle mieux ce que fait l’état que ce que fait une entreprise, pour être exact, l’entreprise fait ce qu’elle veut de l’argent et n’a de comptes à rendre qu’à ses actionnaires, l’état a des comptes à rendre à la cours des comptes et au parlement.
Le hic c’est que le service de la dette bouffe l’équivalent de l’impôt sur le revenu, et que les prévisions budgétaires sont bidonnées par de pseudo-experts énarques des différents ministères.
D’accord pour déclarer indispensable la réduction du nombre de ministres à 17 millions d’euros le bestiau ( quand on sait les crétins qui sont ministres d’ailleurs il y a de quoi gerber son quatre heures, 17 patates pour Morano et Lefebvre, c’est surréaliste), et d’accord pour ne pas dépenser ce qu’on n’a pas.
Mais l’urgence n’est-elle pas de couper court au système d’emprunts d’état sur les banques privées ?
C’est ce que disent depuis longtemps Jacques Généreux et Mélenchon.
Cela signifierait reprendre le pouvoir qu’on nous a volé en catimini année après année pour organiser le pillage systématique des richesses nationales et surtout amputer petit à petit notre protection sociale.
C’est tellement machiavélique que ce ne peut être le fruit d’une succession de hasards, il y a un plan, il faut remonter aux sources et lire par exemple “histoire secrète du patronat de 1945 à nos jours”, pour en aborder la première esquisse.
Mais comme l’Etat doit emprunter près d’un milliard par jour pour honorer ne serait-ce que les salaires des fonctionnaires, çà implique que la BCE prête directement aux États (interdit par le Traité de Lisbonne, traité entériné par une grande tricherie selon la volonté de Narcisse-le-très-pieu), sur ordre sans doute du vrai pouvoir européen que l’on connaît si mal, et notre président en fin de vie restait catégorique hier sur RTL : un référendum et même deux sur l’immigration et le chômage (beurk) mais NIET sur une remise en cause du Traité.
J’observe pour ma part un progrès depuis un an-dix-huit mois, de vrais économistes viennent dire ce qu’ils savent sur toutes les antennes, ce qui était impossible il y a peu, et les journalistes hormis les bourrins comme l’irrésistible Seux le matin sur France-Inter, commencent à comprendre que les gouvernants sont soit incompétents, soit malhonnêtes, et on voit bien qu’un président candidat qui recommence à mentir sur les chiffres ne passe plus.
Le premier acte consiste donc à changer d’équipe, et des choses suivront forcément.
Bon j’arrête là, je retourne dans ma cuisine.
[quote=“eggregor”]
Cela signifierait reprendre le pouvoir qu’on nous a volé en catimini année après année pour organiser le pillage systématique des richesses nationales et surtout amputer petit à petit notre protection sociale.[/quote]Mais c’est exactement ça, bientot, pour être concurenciel avec les pays emergents, nous aurons les mêmes salaires, c’est déja le cas des grecs, bientot l’espagne, l’italie…Bon je sais c’est pessimiste, mais est-ce totalement faux ?
[quote]C’est tellement machiavélique que ce ne peut être le fruit d’une succession de hasards, il y a un plan, il faut remonter aux sources et lire par exemple “histoire secrète du patronat de 1945 à nos jours”, pour en aborder la première esquisse.[/quote] C’est de qui ça ?
@fran.b : Je trouve interressant cette remarque que tu fais sur le système américain de taxation des gros revenus, tu peux conseiller de la doc la dessus ?
@ tetrix
Sous la direction de Benoist Colomba et David Servenay, plusieurs auteurs, Editions La Découverte.2009.
Il serait souhaitable d’éviter de donner 80% des voix à un candidat simplement parce que l’on ne veut pas donner sa voix à un autre et non pas parce que l’on veut voter pour lui.
Donc, votons selon notre coeur au premier tour et au deuxième tour, votons la même chose au deuxième tour qu’au premier tour.
Et ajoutons sur notre bulletin :
“Pour : Garder trois candidats au deuxème tour !”
En attendant notre bulletin sera nul, mais peut être que la prochaine fois,
grâce à la règle "Garder trois candidats au deuxième tour", nous pourrons plus facilement voter selon nos convictions.
De toute façon même avec un score de plus de 50% dans le système actuel, le gagnant est loin d’être majoritaire absolu.
[quote=“nmrk.n”]Il serait souhaitable d’éviter de donner 80% des voix à un candidat simplement parce que l’on ne veut pas donner sa voix à un autre et non pas parce que l’on veut voter pour lui.
Donc, votons selon notre coeur au premier tour et au deuxième tour, votons la même chose au deuxième tour qu’au premier tour.
Et ajoutons sur notre bulletin :
“Pour : Garder trois candidats au deuxème tour !”
En attendant notre bulletin sera nul, mais peut être que la prochaine fois,
grâce à la règle "Garder trois candidats au deuxième tour", nous pourrons plus facilement voter selon nos convictions.
De toute façon même avec un score de plus de 50% dans le système actuel, le gagnant est loin d’être majoritaire absolu.[/quote]
En voilà une idée qu’elle est bonne … et utopique