Autrement dit, ça ne concerne que le secteur du bâtiment 
Quand je lis ce topic, je ressens de l’admiration pour ceux qui ont fait/font des études longues.
Quand j’étais au collège, je comptais m’orienter vers un doctorat en physique des particules ou astrophysique, puis faire de la recherche.
Je me suis vite aperçu que j’avais du mal à supporter le milieu scolaire, et je m’en suis donc vite échappé, sans le bac (le comble, c’est que j’ai aidé un ami à obtenir le sien).
Aujourd’hui, je ne regrette pas du tout cette décision, j’ai travaillé avant mes 18 ans et j’ai fait beaucoup de choses intéressantes depuis. J’ai acquis la plupart de mes connaissances en autodidacte.
Mon boulot actuel n’est plus très enrichissant, mais c’est quelque part un choix (je pourrais avoir mieux en déménageant).
Néanmoins, je me demande quel effet cela fait de passer près de dix ans de sa vie à faire des études, à ne pas être forcément indépendant.
Autrement dit, ça ne concerne que le secteur du bâtiment :/[/quote]
Le roi de la blague…sad 
[quote=“Arthur”]Quand je lis ce topic, je ressens de l’admiration pour ceux qui ont fait/font des études longues.
Quand j’étais au collège, je comptais m’orienter vers un doctorat en physique des particules ou astrophysique, puis faire de la recherche.
Je me suis vite aperçu que j’avais du mal à supporter le milieu scolaire, et je m’en suis donc vite échappé, sans le bac (le comble, c’est que j’ai aidé un ami à obtenir le sien).
Aujourd’hui, je ne regrette pas du tout cette décision, j’ai travaillé avant mes 18 ans et j’ai fait beaucoup de choses intéressantes depuis. J’ai acquis la plupart de mes connaissances en autodidacte.
Mon boulot actuel n’est plus très enrichissant, mais c’est quelque part un choix (je pourrais avoir mieux en déménageant).
Néanmoins, je me demande quel effet cela fait de passer près de dix ans de sa vie à faire des études, à ne pas être forcément indépendant.[/quote]
Je pense qu’il y a du bon et du mauvais dans les deux cas, faire ou ne pas faire de longues études.
De nos jours, pour un jeune encore en scolarité, “ne pas faire”, c’est s’arrêter au bac, tandis que “faire”, c’est pousser, au moins, à +5.
L’avantage que retirera un “gros bagagé”, c’est la possiblilité de trouver plus facilement un emploi avec un salaire raisonnable, voire une plus grande sécurité de l’emploi.
En contrepartie, il aura moins de chances de diversités dans sa vie active.
Pour le “simple bachelier”, le début sera certainement moins facile, tant en recherche d’emploi, qu’en niveau de salaire.
Mais, cette pseudo précarité, lui permettra, s’il en a la volonté, de se pousser dans ses retranchements, afin d’arriver à un niveau plus acceptable.
Le fait de chercher à mieux faire, a l’avantage de la diversité des emplois ou des fonctions, et ça c’est une grande richesse au niveau du savoir.
Il ne pourra pas, lui, s’endormir sur ses lauriers, il sera forcé de les cultiver avant.
Autrement dit, ça ne concerne que le secteur du bâtiment :/[/quote]
Oups, le labsus…
Et moi, c’est l’inverse. Je suis parti pour faire des études plutôt longues, mais j’ai de l’admiration pour ceux qui s’arrêtent avant le bac, et font de leur métier une véritable passion. Je pense que les meilleurs sont ceux qui ont commencé à travailler tôt, mais se sont battus pour arriver à s’éclater dans leur boulot, et qui suivent leur vocation.
Je les admire, mais je ne les envie pas. Je suis très heureux de mon choix de longues études, et si c’était à refaire, je le referais. (Ma vision est peut-être faussée, puisque je ne suis encore rentré dans le monde du travail…) J’ai l’impression que ma vocation à moi est justement de faire de longues études pour pouvoir diriger des équipes. Pour que le monde soit parfait, il ne reste plus qu’à me trouver une équipe qui fait son boulot par vocation aussi 
Tu peux toujours rêver 
C’est aussi ce que je me suis dit… Malheureusement.
Raah, c’est dur d’être idéaliste.
[quote=“Dunatotatos”]C’est aussi ce que je me suis dit… Malheureusement.
Raah, c’est dur d’être idéaliste.[/quote]
Il y a un moyen de parvenir à ce que tu souhaiterais faire :
Employer des personnes, compétantes, bien sûr mais aussi et surtout, TRÈS intéressées financièrement à ton affaire.
Je ne parle pas d’une “mesurette” d’intéressement et concernant seulement une infime partie du personnel, J’entends un intéressement TRÈS substanciel de la TOTALITÉ des “collaborateurs”.
Pour ce coup, le mot si galvaudé de nos jours, de “collaborateur”, prendrait tout son sens.
Pour qu’une telle affaire marche, il faut que tout le monde apporte des thunes, pas forcément tout en espèces au départ, mais à terme, au moyen d’une partie de la rémunération.
Il faut aussi que les rémunérations (tout compris, même primes, etc.) soient très proches les unes des autres, à commencer par celle du patron, et que tout ça soit clair et à la vue de TOUS
Il ne s’agit pas là d’auto-gestion mais ça s’en rapproche un peu.
Il va de soit que les bénéfices, si bénéfices, il y a, soient intégralement répartis à égalité entre toutes les personnes de l’entreprise.
Je t’assure que si tu arrives à concrétiser une telle affaire, elle sera pérenne et fera des bénéfices. Je t’assure que tu n’auras que très peu, voire pas, d’absentéisme.
J’ai l’intention de créer mon entreprise, et c’est bien dans ce style de pensée que je voyais les choses. J’espère juste que personne n’en profitera pour chercher à foutre la merde là dedans.
Tu m’embauches ?
Tu peux toujours rêver [/quote]Pourquoi ?
Je pense que ça existe, seulement de telles équipes se passent très bien de chef …
Tu m’embauches ? [/quote]
Rooh !
Tu m’embauches ? [/quote]
Tu n’es pas obligé de me croire, mais je sais qu’on est pas mal (patron et ex-patron) à dire : Embaucher c’est le début des emmerdes …
Pour plusieurs raisons, déjà tu ne peux pas objectivement demander à qqun d’être autant investi que toi dans TON projet, les gens qui ont à ce point l’envie de s’investir (malgré toutes les belles paroles que tu auras en entretien d’embauche) le font pour eux, et créent leur boîte, ensuite compte les employés qui te diront mon patron est bien, je suis payé à ma juste valeur, et tu pourras faire ce que tu veux, la suspicion est toujours entre les relations patron/employés, et enfin embaucher c’est le pied dans l’étrier des caisses sociales, et des mises aux normes (en informatique c’est à peut près tranquille).
Bon, allez, courage !
Edit : la meilleure manière d’entreprendre, c’est entre associés, et trois minimum …
+1
Tout seul c’est vraiment dur, surtout qu’au début tu n’as pas d’employé pour faire ton boulot…ah la compta du dimanche matin !
Après trop d’associés c’est aussi un handicap.
Il y a des exemples d’entreprises appartenant à leurs salariés qui marchent bien, avec des directions tournantes.
La question que je me pose : pourquoi n’y en a-t-il pas plus ?
[quote=“antalgeek”]…
La question que je me pose : pourquoi n’y en a-t-il pas plus ?[/quote]
L’homme est un louuuuuuuuuuuuuuuuup pour l’homme… 
Et lycée de Versailles !
Il ne reste qu’à en trouver un dernier motivé dans ce cas 
(Je connais justement quelqu’un depuis assez longtemps pour que la confiance reigne entre nous deux dans les deux sens, qui par chance est motivé par les mêmes projets que moi.)
Tu as une idée de ce que tu veux faire ?
Tu n’es pas obligé de me croire, mais je sais qu’on est pas mal (patron et ex-patron) à dire : Embaucher c’est le début des emmerdes …
Pour plusieurs raisons, déjà tu ne peux pas objectivement demander à qqun d’être autant investi que toi dans TON projet, les gens qui ont à ce point l’envie de s’investir (malgré toutes les belles paroles que tu auras en entretien d’embauche) le font pour eux, et créent leur boîte, ensuite compte les employés qui te diront mon patron est bien, je suis payé à ma juste valeur, et tu pourras faire ce que tu veux, la suspicion est toujours entre les relations patron/employés, et enfin embaucher c’est le pied dans l’étrier des caisses sociales, et des mises aux normes (en informatique c’est à peut près tranquille).
Bon, allez, courage !
Edit : la meilleure manière d’entreprendre, c’est entre associés, et trois minimum …[/quote]
Faut pas non plus prendre les stagiaires pour des employés. Par exemple je cherche à effectuer une alternance l’an prochain (master seconde année en informatique). Il y a une TPE qui m’a proposer un poste, cette TPE c’est deux personnes et aucun d’eux n’est informaticien. Bref si je travail pour eux je n’apprendrais rien en informatique, je potasserais tout seul de la doc sur internet.
C’est pas le but de l’alternance ni du stage. Faut pas prendre les étudiants comme des employés pour pas chère (pas que d’un point de vu financier).
Entendons-nous bien je ne dis pas que tu as tord loin de là. Je dis juste que ce n’est pas une raison pour essayer de remplacer les employés par des stagiaires.