Désignation du candidat de gauche

[quote=“Num’s”]Les différences “notables” sont pour moi dérisoires… et si ils étaient vraiment “socialistes” les différences visibles seraient énormes… c’est vrai qu’il n’y a aucun sans-abri non pris en charge dans les ville “de gôche”, il n’y a aucun problème pour “les gens du voyage” de trouver un endroit pour y vivre (et quand ils trouvent, bien-heureux si ils ne sont pas soit à coté d’une déchetterie, d’une voie ferrée ou d’une autoroute, vers même deux ou trois de ces possibilités “en même temps”…), la liste est longue…
[/quote]La liste des problèmes aussi et la liste des différences également, tu prends un détail, je prends la totalité…[quote]
Pour le niveau scolaire, je t’assure, je ne me base pas sur “ma scolarité”, mais bien sur ce que j’entends de la part de prof “de fac”… ça fait peur… des futurs “professeurs des écoles” qui ne sont pas capables d’aligner trois mots sans faire six fautes!!! et l’an prochain, ils vont apprendre aux gamins à lire et à écrire!!! :imp: (ce n’est qu’un exemple… pour moi le plus frappant…)
[/quote]Je suis prof dans le supérieur et je juge des futurs professeurs. Je connais ce problème et je sais également que le nombre d’étudiants a considérablement augmenté. Je te suggère de lire «100 Fiches pour comprendre le système educatif Français» qui donne un bon aperçu des évolutions, des contraintes et des objectifs de l’éducation nationale. Il y avait 1,2 million d’étudiants en 1980, il y en avait 2,1 en 1990 (cf ce que j’ai dit) et 2,4 millions maintenant. Le même phénomène s’applique, tu vois en faculté des gens qui n’y auraient jamais été il y a 10-15 ans (Rassure toi, on s’attend à une stabilisation). Le phénomène que tu décris sur les professeurs des écoles est du principalement à la désaffection de ce métier (qui est passé de la catégorie «cadre supérieur» à «cadre moyen» pour l’INSEE dans les années 1990 par exemple).

[quote]
Pour répondre vraiment à tes remarques: non, sur le terrain, les socialistes ne sont pas “tout rose”… ils font des choses inadmissibles pour des personnes qui se disent “à gauche”… (je connais pas la vie politique parisienne… du coup, pour les villes cités je ne peux pas dire… mais je chercherai quand j’aurais un moment…)[/quote]
Ok, mais note qu’il y a une différence entre «c’est mieux que de l’autre coté» et «c’est bien», ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit.

kna: le problème de Sarkozy est que en plus, une droite se reconnaît en lui et n’attendait que ça.

zenblagger: irrationnelle parce que non réfléchie justement. Ça n’empêche pas que rationnellement j’aurais sans doute voter pareil mais ça m’aurait fait plus mal :slightly_smiling:

Là le pbm était d’être rationnellement heureux de voter Ségolène. Ne pas voter Sarkozy était beaucoup plus simple, sur tous les plans…

Anéfé, « irrationnel » était le mot que j’aurais dû enlever en reprenant ta phrase…

[quote=“fran.b”]
. Le phénomène que tu décris sur les professeurs des écoles est du principalement à la désaffection de ce métier (qui est passé de la catégorie «cadre supérieur» à «cadre moyen» pour l’INSEE dans les années 1990 par exemple). [/quote]
Et je trouve ça assez logique, car si un instit est un cadre supérieur, que sont des profs du supérieur, comme toi ?
Faut quand même pas exagérer, J’ai beaucoup de respect pour les instits et je les admire pour la plupart d’entre-eux mais, même si on les a affublé du nom de “professeur”, comme on a appelé “technicien de surface” une femme de ménage, on ne leur demande pas la lune.
Ils étaient en catégorie B, on les a monté en catégorie A, dans les mêmes années 90 que tu cites.
En a-t-on fait autant pour d’autres personnels de la fonction publique, pourtant pas moins méritants :question:
Je mesure mes mots car on va encore m’accuser d’anti enseignants.

[quote=“fran.b”]zenblagger: Je reconnais qu’il faut une foi irrationnelle pour voter Ségolène mais je l’ai fait (sans réfléchir, sinon ça aurait été douloureux)

Cet exemple est rude :slightly_smiling:[/quote]
Moi aussi j’ai voté pour elle au second tour, faute de mieux…
À croire que la gauche a fait exprès de la mettre (trop sur d’elle suite au régional) pour marquer un grand coup dans l’histoire (première femme de France). Certes ça aurait été sympa, mais y’aurait fallut un minimum de crédibilité !

source : blog.fanch-bd.com licence CC-by-nc-nd

[quote=“ricardo”][quote=“fran.b”]
. Le phénomène que tu décris sur les professeurs des écoles est du principalement à la désaffection de ce métier (qui est passé de la catégorie «cadre supérieur» à «cadre moyen» pour l’INSEE dans les années 1990 par exemple). [/quote]
Et je trouve ça assez logique, car si un instit est un cadre supérieur, que sont des profs du supérieur, comme toi ?
Faut quand même pas exagérer, J’ai beaucoup de respect pour les instits et je les admire pour la plupart d’entre-eux mais, même si on les a affublé du nom de “professeur”, comme on a appelé “technicien de surface” une femme de ménage, on ne leur demande pas la lune.
Ils étaient en catégorie B, on les a monté en catégorie A, dans les mêmes années 90 que tu cites.
En a-t-on fait autant pour d’autres personnels de la fonction publique, pourtant pas moins méritants :question:
Je mesure mes mots car on va encore m’accuser d’anti enseignants.[/quote]
Là encore tu te goures complètement.

  1. Ces catégories de l’INSEE ne dépendent que du revenu, pas de la considération. En clair celui a baissé au point d’être rétrogradé de catégorie dans les années 90.

  2. Avant, les instits étaient des Bac+2, les professeurs des écoles sont des Bac+4 que tu le veuilles ou non. Un fonctionnaire Bac+4 est catégorie A, c’est automatique. Ça n’empêche pas le prestige de cette profession continuer à décroitre, ton discours le prouve. Un autre indice est la féminisation croissante de ce travail (le lien entre féminisation et baisse de prestige est avéré, scandaleux certes mais avéré).

[quote=“Num’s”]Les différences “notables” sont pour moi dérisoires… et si ils étaient vraiment “socialistes” les différences visibles seraient énormes… c’est vrai qu’il n’y a aucun sans-abri non pris en charge dans les ville “de gôche”, il n’y a aucun problème pour “les gens du voyage” de trouver un endroit pour y vivre (et quand ils trouvent, bien-heureux si ils ne sont pas soit à coté d’une déchetterie, d’une voie ferrée ou d’une autoroute, vers même deux ou trois de ces possibilités “en même temps”…), la liste est longue…

Pour répondre vraiment à tes remarques: non, sur le terrain, les socialistes ne sont pas “tout rose”… ils font des choses inadmissibles pour des personnes qui se disent “à gauche”… (je connais pas la vie politique parisienne… du coup, pour les villes cités je ne peux pas dire… mais je chercherai quand j’aurais un moment…)

:006[/quote]

Pour moi, ce qui sépare la droite et gauche, c’est essentiellement le coté sécuritaire…
D’ailleurs c’est sur ce point ce que la Droite a battue la gauche en 2002 et 2007.

Sinon Gauche et Droite s’alignent tous sur la social-démocratie qu’on voit departout en Europe.
On nous sert toujours la même lavasse Blairiste.

Toujours plus de libéralisation et on fait un peu de progrès social à coté pour mieux faire passer le gourdin néo-libéral.
De la vaseline en sorte comme le RSA, 35h, et autres aides.

Mais à coté de ça, on continue toujours a regarder les délocalisations et la désindustrialisation s’opérer, le chômage augmenter
en se disant, “c’est comme ça, on y peut rien.”

D’ailleurs c’est triste de voir actuellement DSK comme l’un des favoris de la gauche, le dirigeant du FMI en personne… faut le faire.
Après la crise qu’on a traversé, je ne pensais pas qu’on regarderait encore sur l’aile droite de la gauche.

Le FMI est tout simplement un super Shylock des temps modernes, il vous aide mais vous demande une saignée énorme en échange.
Je vous conseille les bouquins de Stiglitz sur le sujet.

Et DSK poursuit conscieusement cette oeuvre vu la cigüe passée à la Grèce en échange d’une aide.

@ Tommy :
Faut savoir ce qu’on veut dans la vie :
battre Sarkozy, seul DSK en est capable.
Se faire battre, une fois de plus, là, tu choisis tous les autres.
Il faut garder les pieds sur terre, l’utopie n’a jamais mené au résultat, sauf en rêve.
Tu comptes comme tu veux mais pour obtenir > 50% des voix au second tour, il faut avoir une partie des voix du Centre, partie qui acceptera de voter pour un homme de la gauche, disons “démocratique”.
A contrario, cette partie des électeurs Centristes, même si elle veut la perte de Sarkozy, n’ira pas jusqu’à voter pour un candidat de (ou allié à) l’extrème gauche.
Autrement dit :
Pourquoi penses-tu que Sarkozy l’ait placé au FMI, loin des affaires intérieures ? La réponse est simple, il sait parfaitement que c’est le seul à pouvoir le déssouder.
Conclusion pour le 2e tour :
1/ Sarkozy 48% ; DSK 52%
ou
2/ Sarkozy 52% ; Aubry 48%
C’est un choix mais le mien est fait : 1
Ne me dis surtout pas qu’il n’y a pas que ces deux-là à gauche :laughing:
Pour les autres, ça ne serait pas 48% mais maxi 40 :005

@ françois :
Tu penses réellement que pour “faire la classe” à des enfants de maternelle, il faille avoir Bac + 4 ?
Mes instits, que je vénère encore, contrairement aux PEGCs, qui étaient presque tous des connards, avaient le BEPC + une année d’École normale. Si on pouvait les comparer aux instits, soit disant Bac + 4 d’aujourd’hui :083 . On serait étonné du savoir qu’ils avaient et surtout de l’amour qu’ils portaient à leur métier, sans compter des résultats qu’ils obtenaient.

bah pour du DSK/Sarko, je ne sais pas si je ne me bougerais pas le cul… c’est la même politique économique en prespective.
Et c’est le seul truc qui m’intéresse vraiment.

Et puis vu le profil de hardeur du DSK, ça risque d’être trash et lourdingue aussi au niveau de l’image.

[quote=“Tommy”]bah pour du DSK/Sarko, je ne sais pas si je ne me bougerais pas le cul… c’est la même politique économique en prespective.
Et c’est le seul truc qui m’intéresse vraiment.

Et puis vu le profil de hardeur du DSK, ça risque d’être trash et lourdingue aussi au niveau de l’image.[/quote]
Je ne pense pas que ce soit la même politique, bien qu’il soit acquis qu’on ne tomberait pas dans un régime communiste (auquel cas d’ailleurs, je ne voterais pas pour lui).
Au niveau de l’image, je pense quand même qu’elle serait meilleure que celle qu’offre Sarkozy, au nom de la France.
Il ne faut pas non plus ignorer que DSK est réputé pour être un excellent économiste, et c’est un peu ce qui nous manque actuellement.

Désolé, mais l’image de DSK, pour ma par c’est un grand Bof !
Je le trouve aussi narcissique que son “compère” Sarko. :confused:

Le communisme, ça ne m’intéresse pas non plus…

Je suis juste anti-libéral, ça ne veut pas dire que je suis contre l’économie de marché pour autant. Tout comme une partie de la Gauche et même de la Droite aussi.(enfin à l’époque du Gaullisme)
Mais à Droite, Il ne reste plus que Dupont-Aignant comme représentant du genre. :slightly_smiling:

Sinon DSK, c’est un néo-libéral dans l’âme qui nous sert que la mondialsation est une chance blabla etc.
Toujours le même discours néo-libéral qu’on entend departout depuis 20 ans.

Chez les économistes, je préfère lire du Gréau, Sapir, Lordon, Allais.

Puis de toutes façons, la politique économique se joue surtout à l’échellon européen.
Et DSK comme Sarko emboitent toujours le pas de Bruxelles. (peut être pas pour les roms, cela dit).

Pour donner un exemple, voilà à qui on doit l’ouverture des marchés financiers qui a été si bénéfique, ces derniers temps :

[quote]
Ce sont Pascal Lamy et Jacques Delors, récemment devenus, le premier, relecteur de Marx, le second, pourfendeur de la finance dérégulée, qui à l’époque (1988) sont en charge, par la directive portant leurs noms (directive 88/361/EEC), de la réécriture du prudent article 67 du Traité de Rome (devenu art. 56 du Traité de Nice, puis 63 de celui de Lisbonne).

C’est que l’article 67 avait le mauvais goût d’indexer rigoureusement les transformations structurelles des marchés de capitaux européens sur les seules nécessités de l’économie réelle et du commerce intra-européen – en résumé : pas grand-chose. Or la directive Lamy-Delors a pour propos délibéré de mettre l’Europe des marchés de capitaux au goût du jour, c’est-à-dire à l’unisson du mouvement général de la déréglementation financière – dont il est maintenant possible de mesurer rétrospectivement tous les bienfaits [2] … Rien ne saurait retenir les mouvements de capitaux ni la dynamique de l’innovation financière, mais d’abord sur une base intra-européenne – au moins Lamy et Delors demeurent-ils dans un premier temps conformes au mandat implicite de l’Union. Ce sont les Allemands, en la personne de Hans Tietmeyer, alors président de la Bundesbank, qui saisissent l’opportunité pour imposer, contre toute logique proprement « européenne », une extension de la directive aux mouvements de capitaux entre l’Union et son extérieur. Car la directive ne sera définitivement actée qu’en 1990 et entre-temps, le mur est tombé, le projet d’Union économique et monétaire lancé et le rapport Delors qui la prépare écrit. L’idée d’une union monétaire n’est pas absolument neuve – le rapport Werner de 1970 l’évoquait déjà. Mais cette fois elle est plus concrète que jamais, et c’est pour la politique économique allemande un moment de vérité.[/quote]

blog.mondediplo.net/2010-03-29-C … re-c-est-l

[quote=“ricardo”]
@ françois :
Tu penses réellement que pour “faire la classe” à des enfants de maternelle, il faille avoir Bac + 4 ?
Mes instits, que je vénère encore, contrairement aux PEGCs, qui étaient presque tous des connards, avaient le BEPC + une année d’École normale. Si on pouvait les comparer aux instits, soit disant Bac + 4 d’aujourd’hui :083 . On serait étonné du savoir qu’ils avaient et surtout de l’amour qu’ils portaient à leur métier, sans compter des résultats qu’ils obtenaient.[/quote]
Ils ne sont pas «soit disant Bac +4», ils sont Bac +4. Regarde le programme des instits de ton époque et regarde le programme actuel, tu verras de grandes différences et de grands ajouts. Après libre à toi de penser ce que tu veux sur les compétences exigées d’un métier, regarde juste les exigences demandées aux instits de maintenant (où ils doivent rattraper n’importe quel élève) et à l’époque (où un élève qui ne suivait pas était envoyé en transition).

[quote=“ricardo”]
Tu comptes comme tu veux mais pour obtenir > 50% des voix au second tour, il faut avoir une partie des voix du Centre, partie qui acceptera de voter pour un homme de la gauche, disons “démocratique”.[/quote]
effectivement il faudra ma voix.
Il a été constaté que les gens ne passent pas directement d’un vote à droite vers un vote à gauche (ou le contraire de la gauche vers la droite)
Il y a entre les deux d’une phase d’abstention.
Un électeur qui a voté sarko et qui est déçu ne votera pas forcément à gauche mais s’abstiendra de voter ce qui fera monter la gauche.

[quote]@ françois :
Tu penses réellement que pour “faire la classe” à des enfants de maternelle, il faille avoir Bac + 4 ?
Mes instits, que je vénère encore, contrairement aux PEGCs, qui étaient presque tous des connards, avaient le BEPC + une année d’École normale. Si on pouvait les comparer aux instits, soit disant Bac + 4 d’aujourd’hui :083 . On serait étonné du savoir qu’ils avaient et surtout de l’amour qu’ils portaient à leur métier, sans compter des résultats qu’ils obtenaient.[/quote]tu débloques complétement là :mrgreen:

Merci ! :smiley: Je ne savais pas comment le dire.
A quoi serviraient les professeurs de n’importe quelle matière si les instits n’avaient pas d’abord inculqué les bases en lecture/écriture/calcul/etc. ?
En plus, BEPC à 15 ans + 1 an d’Ecole Normale = tout juste la période de scolarité obligatoire. Faut pas avoir un an d’avance !
Et j’imagine mal un gamin de 16 ans prendre en charge une classe, même de Maternelle Petite Section avec toutes les responsabilités que ça représente, ne serait-ce qu’au niveau de la sécurité des bouts d’chou.

Vote utile à gauche, insécurité à droite ; ça innove pas trop…

Mais Westa, où m’as-tu vu écrire du mal des instits ? J’ai même écrit que je les vénérais, il me semble.
J’ai seulement dit que ce metier ne nécessitait pas bac + 4.
Par contre, je vous dois des excuses quant au niveau des instits de mon époque, en effet, il y avait deux ans d’ÉN après le bepc, et non un an. Je me suis renseigné auprès de ma cousine, née 6 mois avant moi, càd en avril 1936. BEPC en 1951, ÉN en 1952 & 1953, stagiaire en 1954 (classe préparatoire), titulaire en 1955, avec le second Bac. Par la suite, elle est devenue PEGC Français et histoire/géo, puis elle a terminé comme prof d’Anglais, après un détour en fac et une licence.
Je ne peux pas mettre son nom ici mais si vous voulez vérifier, je vous le donne en MP.
Un peu plus récent : un ami qui a pris sa retraite en 1999 à l’âge de 55 ans (ça vous donne une idée de l’époque), est lui, entré à l’ÉN après le 1er bac, a passé le second bac à la fin de la première année et a commencé à enseigner comme stagiaire à l’âge de 19 ans.
Un troisième, plus récent encore : 1980 Bac, 18 ans ==> ÉN, 2 ans, service militaire, 1 an, retour, première classe d’enseignant à 21 ans. S’il avait été une fille, donc pas de SM, il aurait enseigné à 20 ans. Il est aujourd’hui dirlo d’une des deux écoles primaires de … ma ville et il fait encore classe.

Maintenant, il faut ptet comparer la maturité des jeunes de 18 ans dans les années 50/60 avec celle des jeunes d’aujourd’hui, où à 18 ans, ils ne savent même pas écrire trois lignes sans faire deux ou trois fautes.

Vote utile à gauche, insécurité à droite ; ça innove pas trop…[/quote]
Ben faut savoir ce qu’on veut : sarko encore 5 ans de plus ou en essayer un autre ?
Il est évident que DSK ne sera pas le sauveur des petits mais je continue de penser qu’il sera meilleur que ne l’a été Sarko.
Libre à vous de ne pas voter pour lui, s’il se présente et si les socialistes le désignent, mais ensuite, ne venez plus gueuler contre Sarkozy, puisque vous aurez voté pour lui, directement ou indirectement.

[quote=“ricardo”]
Maintenant, il faut ptet comparer la maturité des jeunes de 18 ans dans les années 50/60 avec celle des jeunes d’aujourd’hui, où à 18 ans, ils ne savent même pas écrire trois lignes sans faire deux ou trois fautes.[/quote]
Si tu savais le nombre de choses que eux savent faire à 18 ans et dont toi tu n’avais pas la moindre idée à leur age… La seule différence est que eux, avec leur bagage, ne sont pas surs d’avoir un boulot.

On verra pour le duel virtuel DSK/Sarko en 2012…
Faut voir si les sondages dicteront encore le choix du PS comme en 2007.

Et pour la Droite, moi je n’exclus pas un éventuel naufrage de Sarkozy.
Si on retrouve avec lui De Villepin, Morin au Centre-Droit et Bayrou au centre-central :119 .
Et aussi Marine Le Pen qui a l’air d’insufler une nouvelle dynamique au FN, sans oublier que le coup du siphonnage, ça ne marchera pas 2 fois.

Il peut y avoir de la casse…