comme vous avez peut-être vu, ces temps ci, je teste la virtualisation.
il m’est arrivé un truc de …de nul.
le 1er qui rigole, gare !
le win virtualisé a planté, j’ai redémarré la machine 
comme vous avez peut-être vu, ces temps ci, je teste la virtualisation.
il m’est arrivé un truc de …de nul.
le 1er qui rigole, gare !
le win virtualisé a planté, j’ai redémarré la machine 
Mais de quoi te plains tu ?
C’est la preuve que ton windows fonctionne normalement, non ?
Ah oui bien vu !
Tu te rends compte, t’as même virtualisé un plantage windows ! Moi j’dis qu’c’est la classe ! ![]()
[ma vie]Sinon, parenthèse pause café sur les virus, si je peux squatter le fil: j’ai un zona !
Mais alors figurez vous que c’est un total feeling si je le sais, parceque ça me gratouille à peine donc je ne croyais pas que c’était ça. C’est uniquement parceque j’ai profité d’une visite de quelqu’un à l’hopital pour passer aux urgences inoccupées, et leur demander si ça ne les ennuyait pas d’examiner ce que je pensais être une gâle (sous le bras) parcequ’un mathématicien (en l’occurence mon popa) avait cru reconnaitre comme un zona.
Ben il avait raison, et du coup, si les antivirus que j’avale (sisi, ça existe pour l’homme) font leur effet avant que la douleur ne monte, j’aurais vécu ça sans rien sentir, et je pourrais jeter le stock de codeine qu’on m’a obligé à acheter.
Cool…
Pour l’instant.[/ma vie]
ton antivirus fonctionne mieux que norton j’espère 
j’admet que j’ai fait une sacré boulette avec mon reboot, mais je ne pense pas (du moins je l’espère
) être le seul à en avoir commis, donc je propose de renommer ce post en “Gaffux” pour qu’on nous puissions y raconter nos boulettes.
C’est toi le chef: c’est ton fil “pause café” ![]()
Bonsouère bonsouère, j’attaque parce que je suis trop honteux là…
Tout à l’heure au boulot :
Avoir passé deux bonnes heures avec une p’tite débutante à essayer de débugguer la classe qu’elle avait écrite (module de calcul assez costaud) et qui renvoyait des résultats incohérents…
à grands coups de :
“pfff comment ça tu sais pas d’où peut venir cette erreur ?”
“on dirait que tu maîtrise pas bien ton code toi…”
(oui j’étais de mauvaise humeur pour une toute autre raison…)
tout ça pour qu’on finisse par se rendre compte que c’est le programme de tests (que j’avais écris
) qui appelait sa classe en inversant deux paramètres 
je lui ai payé un café… 
[edit] moralité du soir : même de mauvaise humeur, ne pas oublier de douter de soi avant de douter des autres… ah oui et aussi : commencer par écrire des tests pour les tests avant d’écrire les tests 
merci Matt.
t’as pas un stik ? heu pardon une boulette ? ![]()
Boulette de la semaine ? Ne pas mettre de protections en skate -> entorse du poignet gauche 
C’est long d’écrire avec une main 
Je joue régulièrement dans une formation de 4 musicos. Le tout premier plan que j’ai fait avec eux et en pleine soirée, je me suis pris les pieds dans le câble d’alimentation et j’ai tout débranché.
Ma dernière belle gaffe date de la semaine dernière quand j’ai fait un rm -rf * dans mon rep de développement, en me trompant de console et en pensant que j’étais dans un autre répertoire.
Dans le même genre, sous win 3.1, un soir entre noël et le nouvel an, que je me réjouissais autour d’une liqueur d’avoir terminé un boulot à livrer pour la rentrée, alors je me décide à faire un peu de ménage avant de livrer, et je fais un suppr mal placé dans le gestionnaire de fichier. J’avais tous messages de confirmation désactivés et j’étais suffisament confiant pour ne pas surveiller ce qui se passait ensuite (j’avais un diner à surveiller), et j’ai avec horreur découvert en revenant que j’avais tout supprimé sur C: partition unique.
Je n’avais pas de quoi reinstaller, pas de sauvegarde de mes deux mois de boulot, tous les magasins fermés (on était encore une toute petite ville de province à l’époque) et moins d’une semaine pour solutionner tout ça. Je ne sais plus si j’ai livré à temps.
Mové ![]()
Ma dernière connerie c’est cette semaine à un démarrage de ma Debian, X plante avec les pilotes NVidia.
Après plusieurs manips de modifs xorg.conf et gdm restart, X plante une enième fois, je mets un coup de poing rageur sur le clavier de mon portable.
Maintenant, j’ai la touche entrée en pente, il est gondolé… 
Voilà pourquoi les anciens racontent que l’élément le moins fiable d’un ordi est entre le clavier et la chaise !
[quote=“mattotop”]Ma dernière belle gaffe date de la semaine dernière quand j’ai fait un rm -rf * dans mon rep de développement, en me trompant de console et en pensant que j’étais dans un autre répertoire.
Dans le même genre, sous win 3.1, un soir entre noël et le nouvel an, que je me réjouissais autour d’une liqueur d’avoir terminé un boulot à livrer pour la rentrée, alors je me décide à faire un peu de ménage avant de livrer, et je fais un suppr mal placé dans le gestionnaire de fichier. J’avais tous messages de confirmation désactivés et j’étais suffisament confiant pour ne pas surveiller ce qui se passait ensuite (j’avais un diner à surveiller), et j’ai avec horreur découvert en revenant que j’avais tout supprimé sur C: partition unique.
Je n’avais pas de quoi reinstaller, pas de sauvegarde de mes deux mois de boulot, tous les magasins fermés (on était encore une toute petite ville de province à l’époque) et moins d’une semaine pour solutionner tout ça. Je ne sais plus si j’ai livré à temps.
Mové
[/quote]
Qui n’a jamais fait de boulette de ce genre ? Pas moi ![]()
En voulant installer Debian avec une clé usb : http://d-i.alioth.debian.org/manual/fr.amd64/ch04s03.html
J’ai fais # zcat boot.img.gz > /dev/sda sans réflechir au lieu de /dev/sdb1 qui est ma clé usb. Evidemment /dev/sda contenait toutes mes partitions. Au démarrage suivant plus rien 
Heuresement que Testdisk fait des miracles.
Alors, je me demandais si je pouvais qualifier mes mésaventures de chanteur à moi, mais je n’arrivais pas à décider si c’était vraiment des gaffes. Quoi qu’il en soit, c’est marrant donc, je raconte.
Mois aussi j’ai fait de la scène avec un groupe de 4, et on a fait >tout comme les blues brothers<.
Première anecdote, quand au bout de 4 mois de répèt’ (malgré le fait que deux d’entre nous étaient des débutants totaux, et un troisiême débutait dans son instrument, nous pensions que nous étions prets à conquerir les oreilles du monde entier par les tripes) pour notre troisiême ou quatriême concert, on décroche une date dans un troquet à Bayeux. Cool, on prévient plusieurs centaines (milliers ?) de personnes pour ne pas avoir l’air trop ridicules devant trois pelés et deux tondus, et on part faire le concert. Début du soirée, on s’échauffe un peu au bar en accueillant les pôtes. Notre bassiste disparait à l’autre bout du bar dans une discussion enflamée avec des pôtes à lui, et nous on révise à trois en flippant un max malgré la détente des quelques verres de >trés sec< qu’on s’enquille histoire de se détendre les cordes vocales. Le concert se passe bien, je me souviens de plus de la moitié des paroles, et on ne dépasse pas les trois pains par morceau. Nos verres de pastaga sur les enceintes se remplissent seuls tout le concert, qui se passe bien: pogos aux premiers rangs, slam dans la foule, grosse ambiance…
Bon, on dit au revoir à tout le monde à la sortie du bar, puis on va chercher notre cachet auprés de la tenancière, qui fait les comptes:
"Alors, si je compte les 4 cognacs, les 22 pastis, les 17 bières,…"
Punaise, on avait complètement oublié que ce n’était pas openbar… Il ne restait même pas de quoi payer l’essence.
Leçon numéro un: faire le plein >avant< de prendre l’autoroute.
Une autre fois, dans la Manche, notre batteur, originellement Jazzeux, le seul vrai pro de l’équipe avec ses 15 ans de batterie et de multiples formations, nous trouve une super date dans un bar blues/rythm’n blues qu’il nous annonce comme un “lieu ou on voit passer du beau monde”, et “dans lequel il faut absolument qu’on passe”. Il nous avait vendu sur la base de notre playlist trés colorée “rock des origines” sur le papier (“johnny b goode”, “stand by me”, “sitting on the dock of the bay”, etc…) mais en omettant de dire au gars que les autres reprises qu’il ne connaissait pas (Père UBU, Iggy Pop, ramones) n’étaient pas tout à fait dans l’ambiance “cool” qu’il aimait donner à son bar.
Bref, on y va, et effectivement, on voit sur les murs des photos: “le patron avec BB king”, “le patron avec Mick Jagger”, etc, et même, “le patron avec Bashung”, ou du super violent, “le patron avec Johnny”, ainsi qu’un mur complet d’inconnus tous plus ou moins à stetson et à frange plus quantité d’harmonica et de violons.
Bref, de belles signatures qui font des boeufs dans le bar quand ils passent enregistrer dans le coin, mais pas franchement l’ambiance punk qu’on avait dans notre manière de >réinterprèter les classiques<. On fait la balance, en choisissant finement ce qu’on reprend pour que ça n’ait pas l’air trop violent, puis on va manger dans l’arrière cuisine. Je ne donnerais pas le détail de la scène ou nous avions tous compris dans le groupe combien nous étions déplacés dans ce bar là, moi à raconter n’importe quoi sur la manière dont on choisissais nos reprises et les timides essais qu’on faisait pour produire des compos, devant le patron tiquant à peine devant mon crane rasé et le maquillage new wave du guitariste, nous expliquant que “ça allait renouveler l’ambiance un nouveau petit groupe rythm’n blues”, et qu’on allait être un beau cadeau d’anniversaire pour un de ses clients fidèles qui venait fêter ses cinquante ans ce soir là, et un tourneur qui nous demandais si on était dispos pour toute une série de dates dans des lieux tous plus connotés blues les uns que les autres. Bref, la méprise totale. Le concert commence, et on décide de bouleverser totalement la playlist, et de jouer dans le premier set tout ce qu’il y a de plus cool dans notre répertoire en ralentissant au maximum de ce qu’on savait faire. On se met d’accord sur une chançon d’anniversaire cool dont on avait par hasard les partoches et les paroles (fr.youtube.com/watch?v=m_Nz9B1XFio) et on y va. On a été bons. Enfin je veux dire: pour nous, on a été parfaitement adapté à la situation, et on a bien joué, cool et tout, on était satisfait de ce qu’on avait fait. J’avais eu un peu peur que ça passe mal quand j’étais allé, torse nu et dégoulinant, crane rasé et collier de chien, me rouler au milieu des bières du gars qui fêtait ses 50 ans en beuglant “It’s your birthday”, mais c’était passé.
Donc, le patron remet une cassette de blues pour la pause, on va se désecher le gosier auprés du patron pour avoir ses impressions sur ce premier set:
“Bon, les gars, ça ne va pas du tout, il va falloir sortir les morceaux calmes, parceque vous avez attiré votre public, bon, et ils consomment, bon, OK, mais j’ai mes clients habituels aussi, et ils aimeraient une musique un peu moins… Un peu plus… Enfin vous voyez quoi ? Et vos pôtes, si vous continuez à les chauffer, ils vont tout casser”.
Bon, ben on s’est libèré et on y est allé à fond pour le second set, et malgré tout le patron a fait son chiffre sans casse. On a été payé, mais on a jamais réentendu parler du tourneur, et en repassant plusieurs années aprés incognito pour voir s’il y avait notre photo sur le mur, on a déclenché l’hilarité en tentant d’évoquer le passage des “iguanes verts”.
Leçon n°2: ne pas essayer de se faire passer pour les “good ol’ boys” quand on n’est pas les “good ol’ boys”… :smt003
Salut
Je viens d’en faire une plutôt nunuche.
Depuis ce matin je tentais de faire des sauvegardes par rsync/ssh entre le boulot (où je suis en ce moment) et mon serveur chez moi.
Bien entendu mon super FAI a décidé de faire du yoyo avec ma connexion aujourd’hui aussi. Du coup j’ai du relancé le truc 12 fois.
En me loggant par ssh chez moi pour voir si tout allait bien là-bas, hormis le rsync, j’ai vu qu’il y avais un paquet d’instances de sshd, les courantes et des vieilles qui résultaient de toutes les coupures de la journée.
Et comme un crétin j’ai fait un magnifique :
Maintenant j’attends que ma femme rentre à la maison pour relancer le service parce que je suis à la porte.

J’imagine fort bien ces 2 situations. 
Ça, j’aurais vraiment aimé le voir :smt003 :smt003 :smt003
Bon aller… Gaffux… on va complèter la collection…
![]()
Première grosse gaffe en info:
Dans un atelier d’info (je n’ose pas nommer ça une salle “serveur”
mais celà y ressemblait…
), je remontais un PC et j’avais besoin d’un lecteur de CD-Rom… je regarde autour de moi, et mes yeux se posent sur un superbe lecteur x52 (rare à l’époque) tout beau tout neuf qui traînait sur une table… Certe une nappe et un cable d’alim étaient branchés mais bon, un bref regard circulaire ne m’indiquant “qu’une veille carcasse” qui semblait endormie, je décide de jetter mon dévolu sur ce dernier… Et hop… on enlève l’alim et la nappe et là… un bruit bizard… genre ventilo qui s’arrête brusquement…
… heu…
… il était branché sur quoi ce lecteur… heu…
… je crois que c’est le lecteur que tu avais laisssé, tu sais, sur le truc que tu appelais… “serveur” (sert même pas d’bierre ce truc… je vois pas pourquoi tu t’obstines à l’appeler “serveur”…
…)… et vlan … un serveur un vrac… ben vi… l’IDE n’est pas très “débranchement à chaud”… 
Première “leçon”: avant de débrancher quoi que ce soit petit scarabé, vérifie si il n’y a pas quelque chose “qui tourne” utilisant ce “quoi que ce soit”…
Deuxième grosse gaffe en info:
Bon là… c’est sous windo’… je dépanne des serveurs win (ben vi ça existe!!!) pour le taf… je le prends en main à distance via RDP… je fais la maintenance… et hop… je clique sur démarrer/arrêter pour fermer la session (option sélectionnée d’habitude lors du “arrêter”…) et hop… “ok” sans regarder… et là…
le “client” au bout du fil: “heu… c’est normal là? il est en train de s’arrêter… c’est prévu?”…
moi (merdeu à l’autre bout
): “heu… voui voui… y’a eu une MàJ… fallait redémarrer…” …
(intérieurement: “ben heureusement que t’es là pour appuyer sur le bouton mon gars”… sinon… ‘fin bon… vive windo’ et ces redémarrages à chaque MàJ… ou presque…
)…
Deuxième leçon: avant d’appuyer sur “OK” petit scarabé… non seulement lis la question, mais surtout… comprends la!!!
Troisième grosse gaffe en info ('fin celle-là c’est pas vraiment la mienne… quoique…
…):
Juste après une install de serveur, le dit-serveur n’étant pas encore passé en exploitation, le “client” me demande “comment je peux tester le fonctionnement de mon onduleur?”…
ben heu… “du tac au tac…” je lui répond “ben, en débranchant l’alim” (de l’onduleur pensais-je…)…
et lui de s’exécuter en débranchant l’alim… du serveur…
… “heu… ben ça marche pas… il s’est arrêté brusquement mon serveur”…
moi: “ben quel cable vous avez dans la main? celui du serveur ou celui de l’onduleur?” …
le “client”: “ben celui du serveur… pourquoi???”…
moi (intérieurement): “quel c** mais quel c**”
…
moi (sérieusement et en “réponse”): “c’est celui de l’onduleur qu’il faut débrancher, celui qui relie l’onduleur à la prise murale… sinon c’est normal que celà ne marche pas…” … comme je l’ai dit …le serveur n’était pas encore en exploitation (heureusement
)…
Troisième leçon: Quand tu demande à quelqu’un de faire quelque chose, assures-toi que cette personne a bien compris ce que tu lui demandes de faire, avant qu’elle ne passe à l’action!!!
Voili voilou…
… ![]()
Ben je suis tout petit à côté de ça…
J’ai bien perdu quelques trucs pas enregistrés, mais rien de méchant en comparaison !
Bravo à vous !
Une machine avec une connexion internet et un disque dur de 40Go, bref pas de quoi avoir une solution redondante avec un second OS ou autre. Décidé d’installer debian. La netinstall c’est pour les noob, moi je me fais un debootstrap et pour faire encore plus classe après mon reboote je veux qu’il y ai tout de configuré. Le système qui me sert à faire l’installation est une live CD de gentoo (oui oui), un bidule minimal avec juste ce qu’il faut pour partitionner, formater et chrooter comme il faut.
Une fois tout bien comme il faut le classique rm -rf * sur le répertoire de travail. Le mieux c’est d’entendre le disque dur faire un petit bruit pour buriner ton travail.
Sinon il y a le projet de dev bien gros bien lourd qui compile en 2 ou 3H. Un gars qui s’amuse à renommer un namespace dans l’une de tes dépendances. Toi tout fier tu veut montrer la puissance unix (que tu crois maîtriser) donc un truc du style find . -name “*.cpp” sed -i -e ‘s/machin/toto/g’ {} et hop tu recompile tout bien comme il faut.
(Petite explication : le sed va au moins faire un touch à tout les fichiers donc make va les trouver modifier à la prochaine compilation. Solution : faire un test avec grep avant pour ne modifier que ce qu’il faut.)
Sinon avec sed il y a le fameux sed -i -e ‘s/truc/bidule/g’ quand tu veut renomer tout tes “trucs” en “bidule” et que tu as oublié que tu as des “trucmuches” à ne pas changer…
j’ai perdu tous les document de l’ordinnateur de travail de ma soeur en formattant une partion, bonne nouvelle ma soeur etait d’accord pour formater cette partition et elle m’avait conforter dans mon idée de ne pas faire de sauyvegarde.
leçon avant de faire un operation irrevessible verife qu’il n’y a pas de dangers.
la première fois que j’ai installer un linux j’ai tout ecraser, je savais pas faire des partitions.
ET SURTOUT LA BOULETTE DE MA VIE
j’ai déjà utilisé windows.
leçon : toute ta vie tu regrettera
ps j’avais même la license (cet argent me fait mal au coeur)