matez donc ca c’est tres drole … et en meme temps assez pathétique …
Faut etre gonflé quand meme je trouve.
y’en a qui ont encore du mal avec le mot “libre” et les acronymes du type “GNU” j’ai l’impression 
[quote=« Hoshin »]matez donc ca c’est tres drole … et en meme temps assez pathétique …
Faut etre gonflé quand meme je trouve.[/quote]
c’est pas drôle…
encore un escroc
oui généralement quand on essaye de faire payer des gens pour quelque chose qui devrait etre gratuit c’est pas tout a fait de l’escroquerie … mais par contre de l’arnaque ca oui carrément =)
Pour ce qui est du tarif du lien que j’ai donné, je trouves que 4€90 pour 4CD prégravés certifiés (à priori), c’est pas malhonète.
Fin bon. En ce moment, j’ai fait des installs avec les disquettes, et c’est pas mal non plus. Ca permet d’épuiser les disquettes en les retestant. Ca fait de la place dans les bacs. Et c’est presque gratuit. 
oui c’est sur qu’on peut y voir un avantage si on paye juste les cds (meme si quand on les achete en spindle ca revient bcp moins cher de graver soi meme et qu’une fois les frais de port ajoutés bah ca revient plus a si peu cher en général ^^)
je ne vois pas le mal… bon certes les prix sont peut-être excessifs.
Debian propose même sur son site une liste de revendeurs.
encore à l’heure actuelle tout le monde n’a pas accès au haut-débit et ne peut donc télécharger les isos de notre chère distro favorite. il ne s’agit pas ici de vendre un produit (linux) mais bien un service (le telechargement et la gravure).
dans le cas de la boutique de matt pas de doute … mais vendre une distro aux enchères … elle finit par revenir cher la gravure ^^.
Apres oui bien sur dans la mesure ou on ne paye que la matière première pourquoi pas si effectivement on n’a pas acces a une connection internet suffisament conséquente pour rappatrier des isos sur son hdd.
tout est la…
il pourrait préciser que si tu as une connexion haut débit, t’as pas besoin de lui!
et autrement te faire payer les cd, le port et un pourboire pour la gravure… 
bah tu sais il y a des c*ns partout… y’en a bien qui achètent des XP à 400€ 
pourquoi pas des Debian à 30 ? 
voler bill c’est de la récupération…
vendre du libre de l’exploitation…
Charges les DVD et grave les. Regarde le temps passé et demande toi après si c’est de l’escroquerie… Je te rappelle que Debian refuse de considérer SCILAB comme libre parce que la licence SCILAB demande à toute personne voulant vendre un produit incluant SCILAB de les avertir. Ce point n’est pas conforme à la charte Debian. Encore une fois, libre <> gratuit. Le libre est né du constat que le coût doit résulter du service et non du produit.
[quote=“Hoshin”] … mais vendre une distro aux enchères … elle finit par revenir cher la gravure ^^…[/quote]C’est pas aux enchères, mais en achat immédiat.
Enfin, quitte à payer (c’est vrai que quand on débarque on peut avoir du mal à télécharger une image iso et tout), autant rajouter 10 euros et avoir un cd d’install sous la main et le bouquin de debian qui va avec. C’était mon choix (cahiers de l’admin).
Je développe ma vision du libre, tout à l’heure je n’avais pas eu le temps:
Beaucoup considère que libre=gratuit. Les entreprises le pensent aussi et ne voient du coup pas pourquoi c’est économiquement viable en tant que auteur (comment en vivre?) et client (comment investir dans quelque chose qui ne semble dépendre que de la bonne volonté d’idéalistes?). Cette vision est d’ailleurs encouragée par Microsoft, Vivendi, etc.
Le principe du libre consiste à dire que le produit “logiciel” a une valeur négligeable en informatique, seul compte en fait le service. En clair par exemple ça n’est pas l’OS qui coute cher mais l’installation de l’OS, son entretien et son suivi. De même ça n’est pas Openoffice qui coute cher mais l’investissement nécessaire pour savoir l’utiliser. En poussant cette logique, on met donc tout ce qui est le produit en accès libre: binaires, sources. Par contre, les auteurs espèrent bien rentabiliser (au sens arriver à en vivre correctement) la connaissance qu’ils ont du produit en “vendant” cette expérience. C’est le principe des sociétés comme RedHat, Ubuntu, Suse qui vendent leurs services aux entreprises mais aussi de beaucoup de développeurs (Raphaël Hertzog a bien tiré profit de sa connaissance de Debian par son livre dans la collection “Les cahiers de l’admin” et je trouve déplacées les critiques qu’on a pu lui faire à ce sujet). L’intérêt est multiple:
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Le libre est donc rentable financièrement et donc viable y compris en tant qu’investissement. En tant qu’auteur, on peut en vivre et plus le produit est répandu, plus on aura de clients. En tant que client, on a l’assurance d’un produit à jour qui peut être repris par d’autres en cas d’abandon, on ne paye que le service, on a la possibilité d’adapter le produit à ses besoins et d’y mettre des fonctionalités exotiques.
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Le libre est moral. N’importe qui peut accéder au produit, il devra cependant travailler pour savoir l’utiliser. C’est ce que je réponds aux gens qui gueulent en disant que Linux est compliqué à installer (en leur faisant remarquer qu’ils n’ont jamais installé un Windows sur une machine neuve). Si ils payent, ils trouveront quelqu’un qui leur fera l’installation sans pbm et le tout leur reviendra moins cher que Windows.
Donc le libre n’est pas gratuit, loin de là. Ce qui est gratuit c’est le produit. L’obtenir sur un CD est un service, ça ne me choque pas que des gens fassent payer pour cela. Je souhaite d’ailleurs que de plus en plus, on voit apparaître des boutiques avec des produits libres vendus ET maintenus contre rétribution (l’équivalent de Suse, RedHat, … pour les particuliers, RedHat faisait cela il y a un temps puis a arrêté). Je ne considère pas les clients des ces boutiques comme des gogos mais comme des gens qui ne veulent pas perdre du temps à s’investir dans l’informatique et qui ont assez de sens moral pour acheter à la bonne porte. De la même manière, je fais mon électricité tout seul, je ne considère pas pour autant un électricien comme un escroc. Par contre, alors qu’il était possible à un particulier de réparer sa voiture seul il y a 20 ans, cela est devenu quasiment impossible maintenant à cause de la nécessité de posséder des outils spécifiques, ça je trouve ça scandaleux et à leur manière, les constructeurs automobiles se comportent comme Microsoft en verrouillant le service attaché à l’achat d’un véhicule.
quote="fran.b"Par contre, alors qu’il était possible à un particulier de réparer sa voiture seul il y a 20 ans, cela est devenu quasiment impossible maintenant à cause de la nécessité de posséder des outils spécifiques, ça je trouve ça scandaleux et à leur manière, les constructeurs automobiles se comportent comme Microsoft en verrouillant le service attaché à l’achat d’un véhicule.[/quote]+1.
Achetez des voitures en inde ou au bresil: vous financerez leur économie, il n’y aura pas d’electronique, et vous pourrez accèder à vos durites et même boucher les fuites avec du chewing gum…
Pour ce qui est du libre, l’incomprehension du modèle qu’en a la plupart des gens est à rapprocher de ma femme qui râle systématiquement contre le prix de la bouffe dans un restaurant: “Ouais, il y en a pour à peine 2€ de matière première, et on nous vend ça 20€”. J’ai beau lui expliquer que l’essentiel du prix paye le salaire des cuistots, elle râle à chaque fois.
Le libre, c’est comme la bouffe, sauf que la matière première est gratuite. Faut juste pas oublier de payer les cuistots pour leur boulot, sauf quand on fait la bouffe soit même.
[quote=“MattOTop”]
Le libre, c’est comme la bouffe, sauf que la matière première est gratuite. Faut juste pas oublier de payer les cuistots pour leur boulot, sauf quand on fait la bouffe soit même.[/quote]
Bravo.
et ouais c’est comme la bouffe une fois que t’as gouté à la bonne bouffe, ben tu peut plus t’en passer.
souvenir: le jour ou je suis passé au dessus de la marque top budjet dans un super marché. ca a changer ma vie, l’odeur de mes pets également…
oui, ça change tout…
oui, ça change tout…
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