La rigueur

C’est pour toutes ces raisons que je pense réellement que nous ne sommes pas en démocratie, mais plutôt dans une sorte d’« argentocratie ».

Les gouvernements plient face aux banquiers, fonds d’investissement et pas devant leurs citoyens.
La valeur d’un citoyen se mesure à son pouvoir d’achat.
On évalue tout par la valeur pécuniaire, on évalue la santé de la population à la consommation des ménages.
Chaque achat a plus de valeur que notre passage dans l’urne.

C’est ça qui me dégoûte le plus dans le capitalisme, l’objectif ultime c’est d’engranger du capital et tout doit tourner autour du capital. Là où le socialisme (au sens PS) pense qu’il est possible de changer les choses avec quelques mesures, je ne pense pas qu’il puisse y avoir de changement fondamental avec de simples mesures.

Bien pour ça que politiquement je suis un peu perdu, car dès qu’on pense que le capitalisme est mauvais et dois être détruit on est soit communiste soit anarchiste et directement catalogué.

[quote][size=150]Vers le suicide altruiste[/size]
par ddacoudre vendredi 31 décembre 2010

Tous les systèmes clos conduisent au suicide altruiste, ils ne survivent que tant qu’ils détruisent les autres modèles. Nous connaissons cela avec une maladie qui s’appelle le cancer. Mais nous savons aussi que cette capacité de régénérescence est une porte vers l’avenir.

Cette capacité de régénérescence peut permettre à tous les divers organismes de retarder leur vieillissement.

Etrange parallèle entre la biologie et l’économie dont je veux parler.

Qu’en disait Durkheim, il stipule que tout individu trop fortement intégré dans un groupe, peut être amené au suicide altruiste s’il considère que la vie du groupe est plus importante que sa propre existence.

C’est quoi un modèle clos, c’est un modèle qui se mort la queue pour rester fermé, et rejette toutes hypothèses qui altéreraient sa circonvolution si ce n’est d’avoir la souplesse d’un ressort.

Le système capitaliste est un système clos, son élasticité n’est dû qu’aux différentes applications du « libertarien » au communisme.

Ce n’est pas une philosophie c’est la seule application du désir de posséder pour être soi, édifié sur la valeur travail.

Il s’est construit autour de cela des modèles mathématiques dont les livres d’économies regorgent, et dont le plan comptable est le meilleur exemple.

Il explique que pour satisfaire au désir de possession, toute distribution est une charge, et toute réception une ressource.

Le salaire, la taxe, l’impôt sont des charges et le paiement du client une ressource. Les plus futés ont établi une carte de la circulation de la monnaie qui change d’appellation suivant son usage. Démontre si besoin était que nous tournons en rond, et que la quantité de monnaie disponible permet sa souplesse, ce circuit acquiert ainsi des valeurs différentes et forme un effet ressort.

Nous savons aussi que sa souplesse comporte des limites et parfois il casse, ce sont les crises.

A la cassure, nous appliquons une « soudure », et le ressort retrouve son élasticité.

Mais nous sommes bien d’accord, c’est toujours un ressort, nous ne l’avons pas transformé en un élastique

Ce modèle s’applique au monde industrialisé, y compris dans les pays communistes.

Il a, on peut le noter au passage, atomisé le don, qui lui-même est devenu source d’exonération.

Avec ce système nous pouvons dire que la gratuité a disparu.

Nous pouvons comprendre que pour développer notre activité sociale, il faut compter notre activité économique, afin ne pas échanger un yacht contre une sucette par une appréciation subjective.

Mais nous pouvons aussi comprendre que cette comptabilisation modifiera notre appréciation subjective et la normalisera sur une échelle standard, résultat d’un modèle clos qui est le plan comptable, avec sa litanie de mesures analytiques ; nécessité me direz-vous certes, mais

modèle clos tout de même, modèle cancérigène car si vous avez une appréciation subjective il la standardisera, il la formatera à son image.

Nous pouvons comprendre que si de nos contacts avec le monde nous en retirons une perception et une vision singulière, si ceux-ci ne sont pas compatibles avec le modèle standard, nous serons rejetés jusqu’à ce que celles-ci soient standardisées par lui.

Pire nous instruisons ses propres gardiens, qui une fois formés deviennent ses meilleurs agents. Nous les choisissons même pour leurs compétences, tel DSK.

C’et un peu comme si un prisonnier instruisait son gardien et qu’ensuite il lui demande la liberté.

Les modèles clos sont le fruit de nos sens que la raison structure comme reflet inexact de ce que nous pensons vrai, applicable à tous.

Tous ceux qui s’en feront le guide de leur existence sont condamnés au suicide altruiste, car individuellement ils formeront un groupe uniforme qu’ils maintiendront, inconscients et incapables de comprendre que ce qu’ils prennent pour leur propre existence n’est que leur formatage au groupe.

L’avenir nous apprendra peut-être à faire cohabiter différents modèles, comptables économiques, fruit de la diversité qui nous habite suivant les territoires où nous naissons.

Pour le moment nous avons à solutionner les oscillations de notre ressort qui absorbe tous les modèles.

Journaux et médias nous disent comment penser et les marchés dirigent les états, il ne nous reste que le choix d’élire nos « tyrans » ou de s’abstenir.

Je pourrais résumer notre difficulté comme cela.

Avec une monnaie forte, l’on achète tout à l’extérieur. Avec une monnaie faible, nous produisons tout, le ressort est la déclinaison entre les deux.

La question est comment trouver une source de revenu si j’achète tout à l’extérieur, ou si je produis tout.

Réponse modifier la notion de valeur travail sur laquelle repose nos existences.
Ce n’est donc pas une question de mécanismes économiques, mais une question philosophique.
Tous les systèmes clos conduisent au suicide altruiste, qu’ils soient économique, politique, religieux. Pouvons-nous y échapper, l’éternelle question.[/quote]

source : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/vers-le-suicide-altruiste-86363?utm_source=feedburner&utm_medium=twitter&utm_campaign=Feed%3A+agoravox%2FgEOF+(AgoraVox±+le+journal+citoyen)

C’est de la bouillie ce texte, illisible.
Pas de structure dans la pensée, aucun développement, pas d’argumentation, pas de conclusion. Foutaise!

[quote=“lol”]C’est de la bouillie ce texte, illisible.
Pas de structure dans la pensée, aucun développement, pas d’argumentation, pas de conclusion. Foutaise![/quote]
C’est intello-philosophique… Mais il y a quand moi de quoi en discuter, et je trouve que l’idée globale au travers de la pensée de Durkheim tel que ; “tout individu trop fortement intégré dans un groupe, peut être amené au suicide altruiste s’il considère que la vie du groupe est plus importante que sa propre existence.” me paraît digne d’intérêt !

Donc le bourse va aller mieux, et il faudra s’en réjouir même si nous devrons nous simple gogo’s citoyen européen moyen continuer de nous serrer la ceinture… Au fait, la finance mondiale en 2010, elle allait si mal que ça ?

[quote][size=150]L’économie mondiale se redresse, la Bourse va sûrement en profiter en 2011[/size]
Claire Gatinois pour Le Monde.fr | 31.12.10

Faut-il y croire ? Après trois années redoutables sur les marchés d’actions, faites de confusions, d’espoirs et de déceptions, l’année 2011 sera-t-elle enfin celle de l’embellie ?

Les signaux d’amélioration se multiplient. L’économie mondiale se redresse : un peu partout, la reprise se confirme et le spectre d’une rechute s’éloigne. Pas de quoi susciter l’euphorie, mais assez pour faire renaître l’enthousiasme sur des marchés boursiers délaissés, jusqu’ici, au profit de placements plus sûrs, comme l’or ou les emprunts obligataires.

“A partir de maintenant, ceux qui se détournent des actions font une erreur”, a prévenu Abby Joseph Cohen, l’analyste star de la banque d’affaires Goldman Sachs, à propos de Wall Street, dans USA Today, le 17 décembre. La plupart des experts partagent cet avis, et prédisent un rebond des marchés occidentaux de l’ordre de 10 % à 15 %, parfois même 20 % pour les plus optimistes.

LA CRISE DE L’ENDETTEMENT PUBLIC N’EST PAS TERMINÉE

La remontée des cours a d’ailleurs déjà commencé. La fin de l’année se solde ainsi par des performances plus qu’honorables. Aux Etats-Unis en particulier, l’indice Dow Jones a presque gommé les pertes engrangées depuis la crise, et termine 2010 sur un plus haut depuis mi-2008, avec une progression de l’ordre de 11 % . En Europe, en revanche, le paysage est beaucoup plus contrasté. La crise de l’euro et des dettes souveraines a laissé des traces.

Certains s’en sortent bien, comme l’Allemagne, le bon élève aux finances saines et à la croissance robuste. Le DAX a gagné 16 %, quand d’autres places sont mal en point, comme la Grèce (- 35 %), maillon faible de l’Union, qui a frôlé la banqueroute. Entre deux, le CAC 40 limite la casse (- 2 %).

Pour les experts, en dépit des efforts des dirigeants européens, la crise de l’endettement public n’est pas terminée. Après la Grèce et l’Irlande, ce sont l’Espagne, l’Italie, et même la Belgique qui les inquiètent. “Ça va swinguer” sur les marchés, prédit Franklin Pichard, directeur de Barclays Bourse. En Bourse, cela signifie que l’Europe – Allemagne mise à part – restera un sujet de défiance.
[/quote]

source : http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/12/31/le-retour-en-grace-de-la-bourse-est-attendu-en-2011_1459434_3234.html#xtor=RSS-3208001?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

Tu es sûr, là? Kerviel et la Société Générale, par exemple.[/quote]

Il y a la Société Générale Banque d’investissement qui serait différente de la Société Générale banque de dépot. La première peut se mettre dans la panade sans y entrainer la seconde (Comme Natexis et Les Banques Populaires). Mais encore une fois c’est à vérifier.

[quote=“fran.b”]
Il y a la Société Générale Banque d’investissement qui serait différente de la Société Générale banque de dépot. La première peut se mettre dans la panade sans y entrainer la seconde (Comme Natexis et Les Banques Populaires). Mais encore une fois c’est à vérifier.[/quote]
De ce que j’ai compris se sont des filiales qui ont des activités différentes, mais l’une peut être amené à répondre des dettes de l’autre via la holding qui les associes. En fait, le truc, c’est d’essayer de se séparer de la société en défaut avant le naufrage - La société reprenante ayant plus de marge de manoeuvre. J’ai lu un exemple concernant General Motors qui était à peu près de cette ordre.

[quote=“lol”]C’est de la bouillie ce texte, illisible.
Pas de structure dans la pensée, aucun développement, pas d’argumentation, pas de conclusion. Foutaise![/quote]
Pas d’accord !
Si le pavé est un peu indigeste, je te l’accorde, la pensée est réfléchie.
Je ne connais pas l’auteur, ni sa couleur politique, et je ne veux pas le savoir, pour ne pas influencer mon idée.
Je réponds même avant d’avoir lu les autres réactions, pour la même raison : je suis humain, donc influençable.
Je retiens surtout les 6 dernières lignes, qui sont éclatantes :

[quote]Je pourrais résumer notre difficulté comme cela.

Avec une monnaie forte, l’on achète tout à l’extérieur. Avec une monnaie faible, nous produisons tout, le ressort est la déclinaison entre les deux.

La question est comment trouver une source de revenu si j’achète tout à l’extérieur, ou si je produis tout.

Réponse modifier la notion de valeur travail sur laquelle repose nos existences.
Ce n’est donc pas une question de mécanismes économiques, mais une question philosophique.
Tous les systèmes clos conduisent au suicide altruiste, qu’ils soient économique, politique, religieux. Pouvons-nous y échapper, l’éternelle question.[/quote]

[quote=“ricardo”][quote=“lol”]C’est de la bouillie ce texte, illisible.
Pas de structure dans la pensée, aucun développement, pas d’argumentation, pas de conclusion. Foutaise![/quote]
Pas d’accord !
Si le pavé est un peu indigeste, je te l’accorde, la pensée est réfléchie.
Je ne connais pas l’auteur, ni sa couleur politique, et je ne veux pas le savoir, pour ne pas influencer mon idée.
Je réponds même avant d’avoir lu les autres réactions, pour la même raison : je suis humain, donc influençable.
Je retiens surtout les 6 dernières lignes, qui sont éclatantes :

[quote]Je pourrais résumer notre difficulté comme cela.

Avec une monnaie forte, l’on achète tout à l’extérieur. Avec une monnaie faible, nous produisons tout, le ressort est la déclinaison entre les deux.

La question est comment trouver une source de revenu si j’achète tout à l’extérieur, ou si je produis tout.

Réponse modifier la notion de valeur travail sur laquelle repose nos existences.
Ce n’est donc pas une question de mécanismes économiques, mais une question philosophique.
Tous les systèmes clos conduisent au suicide altruiste, qu’ils soient économique, politique, religieux. Pouvons-nous y échapper, l’éternelle question.[/quote][/quote]
Tout à fait d’accord avec toi !
Le texte est confus, mais pertinent pour qui se donne la peine de le lire. Assez neutre politiquement dans son analyse à mon avis, et ne s’arrête pas au problème de l’économie - Bref, même si l’humanité doit construire un modèle relationnel différent elle devra faire en sorte de ne pas retomber dans les mêmes travers.

[quote=“sebiseb”]Donc le bourse va aller mieux, et il faudra s’en réjouir même si nous devrons nous simple gogo’s citoyen européen moyen continuer de nous serrer la ceinture… Au fait, la finance mondiale en 2010, elle allait si mal que ça ?

[/quote]

La journée n’est pas encore terminée, mais à cette heure, l’année n’est pas des plus bénéficiaire pour ces pauvres boursicoteurs du Cac40 :

1 semaine 	1 mois 	1er janvier 	1 an
-1,55% 	     4,95%      -2,17% 	 -2,17%

Personnellement, je ne comprends pas ce qui suit:

[quote]Réponse modifier la notion de valeur travail sur laquelle repose nos existences.
Ce n’est donc pas une question de mécanismes économiques, mais une question philosophique.
Tous les systèmes clos conduisent au suicide altruiste, qu’ils soient économique, politique, religieux. Pouvons-nous y échapper, l’éternelle question.[/quote] ni le rapport avec la notion de suicide altruiste.

Une phrase comme

[quote]Les modèles clos sont le fruit de nos sens que la raison structure comme reflet inexact de ce que nous pensons vrai, applicable à tous.
[/quote] me laisse perplexe, c’est sûr ça jette mais ou je comprends ce que ça veut dire et c’est une porte ouverte (en gros «les modèles sont un reflet imparfait issu de la comprehension de ce que nous voyons») où je n’y comprends rien.
Quant à la suite

[quote]Tous ceux qui s’en feront le guide de leur existence sont condamnés au suicide altruiste, car individuellement ils formeront un groupe uniforme qu’ils maintiendront, inconscients et incapables de comprendre que ce qu’ils prennent pour leur propre existence n’est que leur formatage au groupe.
[/quote]c’est une affirmation qui me parait purement gratuite, sans grand sens précis avec des oxymores («individuellement ils forment un groupe» me parait crétin!).

Mais bon, j’avoue de pas avoir fait un grand effort pour comprendre, ce genre de texte fumeux me gonfle un peu…

Il y a la valeur et les fonds propres, cela signifie que Natixis ne peut puiser dans les fonds propres des banques populaires (les dépots) pour spéculer. Les dépots sont protégés de la spéculation (du moins si j’ai bien compris, en effet ces dépots ne peuvent être utilisé pour garantir la solidité de la banque d’investissement et se retrouver ainsi «gagés»).
(PS: J’ai replacé ta réponse dans le bon fil, elle était dans l’émission du jour)

Et c’est bien là le problème, les deux voies capitalisme/communisme (et tous leurs dérivés), ont montré leur incapacité à rendre le monde un peu plus juste et vivable, il faut donc trouver une troisième voie.
Cette voie ne sera pas totalement nouvelle (impossible de refaire le monde) mais elle devra prendre le “bon” des deux précédentes, tout en en laissant le mauvais sur le côté.
Le grand problème, que dis-je “grand”, l’immense problème, c’est de décider ce qui est “bon” pour tous et “mauvais” pour tous … sans le “dicter” :mrgreen:
“That is the question” comme disait mon chat avant d’expirer.

Et c’est bien là le problème, les deux voies capitalisme/communisme (et tous leurs dérivés), ont montré leur incapacité à rendre le monde un peu plus juste et vivable, il faut donc trouver une troisième voie.[/quote]
Bof c’est du novlang, comme personne n’a encore trouvé, on ne vois pas d’autres solutions, mais il y en a. Au passage associé communisme et anarchisme c’est un non-sens

Ça c’est si elle prête sur leur capitaux, le problème étant qu’elles achètent à bas prix des dettes (la fameuse titrisation des emprunts immobiliers américains: un prêt est possédé par 30 personnes morales…), et fort de leur valeur théorique empruntent de l’argent (pas cher, ce sont des banques) pour le reprêter voire racheter des dettes pourris qui permettront etc. À l’heure actuelle, une banque ne peut prêter plus d’argent que ses fonds propres si elle veut être considérer comme solide, il ne reste plus qu’à définir ce que sont les fonds propres. Les dépots ne peuvent être comptabilisés comme fonds propres chez Natexis et cela limite la hauteur des engagements de Natexis dont le crash possible. Aux USA, cela a cessé en 1999 (ce serait donc Bush et non Reagan) et cela explique l’effondrement de certaines banque de dépots. Je crois que ça n’est pas possible en France.

C’est bien pour ça que les procédures de controle de la SG aurait du «tilter», mais tu sais il n’est pas du tout exclus que je me goure complètement (sauf sur les USA, là j’en suis sur, c’est le «Banking Act» fait en 1933 par Roosevelt (et non après la guerre comme je l’ai dit)). Ce à quoi je fais référence est là: http://www.securitization.net/international/europe/France/Gide/Marc_Kergommeaux051501-2.asp ou peut être là http://www.banque-france.fr/gb/instit/sebc/page5.htm du moins je crois.

Une faillite de banque style pour les raisons qu’il y a eu aux USA, non ça ne devrait pas être sous cette forme exacte(toujours sous réserve que j’ai bien compris). Une faillite de banque tout court, si ça peut arriver, surtout si ces mêmes banques continuent à spéculer sur la faillité de certains états européens dans lesquelles elles sont lourdement impliquées ou pour une toute autre raison. La crise a montré la fragilité du système et il reste les fragilités qu’on ne voit pas parce qu’elles sont cachées ou incompréhensibles.

La troisième voie serait peut-être de construire une économie sur le modèle du développement du libre, et enterrer définitivement l’idée que tout se monnaye. Ce sera mon dernier mot de l’année 2010 - Bon réveillon à toutes et à tous !

Oh! Le petit joueur ! :laughing:

Cela pourrait être si “simple” pourtant :slightly_smiling:

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@ l’année prochaine :006