Documentaire 52 minutes sur les dangers pour la santé des téléphones portables et antennes relais
“Téléphonie mobile, sommes-nous tous des cobayes ?” (2003 - 52 minutes) est le premier documentaire qui dénonce la nocivité des téléphones portables et des antennes relais.
Il est désormais visible et téléchargeable gratuitement sur Internet, sur le site next-up.org/jaquette3film0.php
Présentation du film : « Téléphonie mobile, sommes-nous tous des cobayes » synthétise, en moins d’une heure, tout ce qu’il faut savoir sur la dangerosité de la téléphonie mobile (antennes relais et téléphones portables).
La parole est donnée à tous les protagonistes du problème : riverains d’antennes relais, opérateurs de téléphonie mobile, scientifiques indépendants, experts officiels etc…
Depuis la fin des années 1990, la nocivité des ondes émises par la téléphonie mobile ne fait plus de doutes, comme en attestent une multitude d’études. Pourtant industriels et autorités publiques clament en chœur qu’il n’y a pas lieu d’appliquer le fameux « principe de précaution ».
La téléphonie mobile serait-elle encore trop rentable pour être nocive ?
Bien qu’aucune chaîne de télévision n’ait encore accepté de diffuser ce documentaire, le film a été présenté dans plusieurs festivals (Salon des Refusés au Forum des Images de Paris, Festival Résistances à Foix, Sciences en Bobines, Mois du film Documentaire à Belfort etc…)
Voix off : Rufus



Non, la disparition du trou d’ozone est la preuve que Tazieff (en admettant qu’il ait dit ça) se plantait le doigt dans l’oeil jusqu’au coude: L’interdiction des gaz fluorocarbonés à l’échelle mondiale -effective depuis un certain nombre d’années (10 en gros)- a coïncidé pile poil avec l’arrêt de l’expansion du trou puis sa régression. Ça a été le premier succès écologique mondial du à une coopération internationale et c’est cité en exemple pour le CO2. Par ailleurs, l’action du soleil est importante et même essentielle et effrectivement vaguement périodique (en gros 11ans) mais n’explique certainement pas les fluctuations du trou d’ozone.