Je ne suis pas d’accord: va dire ça aux personnes victimes du tabagisme passif… La liberté s’arrête là où commence celles des autres, ce qui n’est pas le cas de la fumée…[/quote] Par contre, moi je suis d’accord avec toi: la liberté d’une minorité de non fumeurs intolérants (minorité d’intolérants, pas de non fumeurs) ne doit pas empièter sur la liberté de se tuer à ça plutôt qu’à travailler plus.
Faut vraiment être naïf pour penser que la dernière mesure concernant les bars protège beaucoup de monde contre le tabagisme passif: crois tu que beaucoup de non fumeurs ont passé suffisament de temps dans des bars enfumés pour que ça leur provoque une maladie ?
Quelqu’un qui passe tant de temps dans un bar, c’est la cirrhose qui le tue, pas la tabagie. Je veux bien comprendre qu’à un endroit ou on est obligé de cohabiter comme au bureau, il soit légitime de donner un droit de veto aux non fumeurs quant au tabac, mais pourquoi aller jusqu’à l’interdiction si tous les individus qui cohabitent sont d’accord entre eux ?
Non, ces mesures sont concues par des intolerants qui ne voient pas plus loin que leur bien pensance d’emmerdeurs.
Si ma cigarette est dangereuse pour eux, pourquoi ne m’evite t’il pas plutot que de venir dans mon bar ou nous sommes majoritairement fumeurs et d’accord pour le rester pour m’y imposer leur vision des choses ? Mais c’est trop compliqué dans leur petite tête de comprendre que si les bars etaient fumeurs, c’etait parceque les gens le souhaitaient.
Tu connais beaucoup de fumeurs qui imposent aussi violemment (consciemment et contre l’avis du propriétaire) chez les autres leur tabagie ? Tu fréquentes beaucoup de gens qui te disent d’aller te faire foutre quand tu leur demande de ne pas fumer à table ou dans ton environnement ?
Que ces enculés crèvent de leur cancer de l’anus, pour ma part je continuerais à cultiver celui de mes poumons. Ce que ça change pour moi, c’est que j’enverrais désormais se faire foutre les non fumeurs qui me demanderont d’arrèter à un endroit ou j’ai le droit, et que je leur soufflerait la fumée à la gueule en guise de réponse: c’est un droit qui me reste.