Ca c’est ce que tu vois au niveau “ministère de l’éducation”. Mais en réalité, 2 postes d’agrégés et des enseignements en moins coutent bien plus cher à l’état que de conserver le système tel qu’il est actuellement.
commence la dissert d’éco, en mode court et simplifié
On est dans un état libéral, en période de crise. Donc si on veut favoriser la croissance française, on ne peut le faire que via les services publics, pour le reste Bruxelles imposera son veto.
2 agrégés et des enseignements en moins, cela signifie moins de travail pour les éditeurs qui vont éventuellement licensier du personnel, et vont reduire leur volume d’impression auprès des imprimeurs. Moins d’impression pour les imprimeurs, c’est aussi une réduction des économies d’echelles, et ils vont donc devoir revoir leur prix à la hause, avec là encore des répercussions por les éditeurs, voire pour l’état, puisque les livres coûteront plus cher par conséquent (répercussion des prix) !
Nous voici donc face à un cercle vicieux évolutif , où l’état va devoir indemniser des chomeurs, en plus souvent bien qualifiés, prononcer des liquidations judiciaires etc. Et en dehors du marché, cela signifie moins de recettes fiscales pour les collectivités locales et l’état.
Tout ceci va donc couter bien plus cher à l’état que l’économie attendue par la suppression de 2 postes d’agrégés par 5 classes de seconde, surtout que dans mon raisonnement les effets néfastes à l’économie au niveau national ne sont pas tous détaillés.
La vraie question est donc: que font les bonzes du ministère de la relance pour empêcher ceci de se produire…