J’ai une question : me direz-vous encore “bienvenue” après avoir lu ce qui va suivre ?
Je souhaiterai dire quelques mots avant de poster une autre question du genre de la première que j’ai postée sur ce forum. C’est à cause d’un certain espoir pour la raison et une façon de voir Linux-debian que je poste mes questions sous cette forme. Je ne fais pas de cette façon d’aborder les choses, une valeur supérieure. C’est juste que je ne peux pas m’empêcher d’exprimer et d’aborder les choses comme cela.
Alors voilà je souhaiterais vous faire part de l’idée qui va avec mon approche (questions bizarres, longues …). C’est qu’en tant que grande débutante, j’ai lu plein de tutos qui listent les commandes simples et leurs options principales : ce qui permet d’apprendre déjà beaucoup, c’est vraiment énorme c’est sûr, mais pourquoi ne pas aller plus loin encore, et œuvrer en vue de la possibilité d’apprendre par le biais du systématique aussi. Ceux qui veulent le fond des choses, les compliqués quoi! peuvent peut-être eux aussi apporter quelque chose aussi à Debian, et peut-être aussi aux gens tout court, mais au moyen de Debian. Je ne dis pas que savoir se servir d’une commande juste comme ça, ne sert pas les gens. Je dis qu’il faut les deux. Et aussi je dis que le moulinage de cervelle peut permettre à Linux d’être un rare et précieux moyen de rendre les gens meilleurs en tant qu’humain. En effet, j’ai trouvé sur internet beaucoup de tutos qui expliquent les commandes, mais très peu qui apprennent à lire Linux par un apprentissage systématique de la syntaxe des commandes. A part une qui explique, mais un peu rapidement “comment lire le synopsis des commandes” là, il est difficile d’entrer par la porte du systématique, et avec comme fil conducteur pour ne pas se perdre dans trop d’information sur internet, le man. Mais peut-être c’est que j’ai mal cherché. Ou pire, peut-être qu’un forum n’est pas là pour appuyer l’accès à une connaissance profonde et systématique. Mais je ne crois pas que je sorte des règles du forum, en posant mes questions avec leur forme longuette.
En tout cas n’ayant pas trouvé de quoi accéder à tout Debian par les commandes et le man, j’ai eu l’idée de poser mes questions un peu lourdes pour créer cela avec ceux qui le voudraient. Je ne crois pas que ma tard mérite le vouvoiement.
C’est qu’en tant que philosophe de métier-personnel, je souhaiterai que la simple raison, accompagnée de pratique, au moyen de l’anonymat donné par le collectif, permette un accès directe, et progressif vers une connaissance profonde, pour ceux qui le souhaite. J’ai découvert Linux en tombant, pour travailler mon anglais, sur une vidéo de Richard Stallman, puis en essayant Ubuntu (je ne dirais rien des raisons pour lequel j’ai changé de système d’exploitation, car je lui dois de m’avoir accompagné dans mes tous premiers pas). Bref pour aller à l’essentiel, pour apprendre Linux, j’ai juste voulu écrire avec vous quelque chose qui montre l’histoire d’une entrée dans Linux par la voie du rationnel. C’est l’idée que Linux et sa distribution debian sont tellement géniaux, qu’une entrée rationnelle de sa pratique est non seulement possible, mais qu’elle permette de progresser par son biais en informatique et en morale. En suivant cet écrit, peut-être un jour, cela pourra permettre à n’importe quel débutant (comme moi, un (une) vraiment zéro) de progresser rapidement, juste avec la raison et un forum, d’aller au fond des choses de Linux mais Linux : bref sans sortir d’Internet.
Pourquoi est-ce crucial pour moi que de pouvoir trouver sur internet un apprentissage systématique (en plus que pragmatique) de Debian ? Afin que l’association d’idée suivante soit rendue effective (si elle ne l’ai pas déjà, et si ces mots viennent d’un défauts de recherche de ma part je les retire, mais il me semble que la question que j’ai posée l’autre jour et celle que je vais poser juste après, montrent qu’il y a à travailler des tutos sur l’apprentissage systématique, simplement par ce que la question se pose à la lecture du man et des turos à son sujet). Alors me semble-t-il humblement, cette association ne serait plus une utopie :
Linux-debian = Nous <=> Raison <=> internet = chemin vers la paix
En effet, je pars de l’idée que si ceux qui savent faire plein de choses sont “collés” par une de mes questions, c’est que le systématique n’a pas la place qu’il mérite, et que la raison en prend un coup. Certes pour l’usage ce n’est pas grave mais pour faire de debian le sauveur de l’humanité et le fil de l’idéologie du libre, à moi, il me semble, que ce serait Beau d’aller jusque là, surtout si c’est désintéressé…
Je n’en fais pas une fierté, j’ai juste la croyance en cette idée indémontrable que la Raison et le plaisir de partager la compréhension de l’action en commun est la seule chance qui nous reste aujourd’hui contre la violence, et la bêtise. Pour moi, le libre c’est plus qu’un idéal de liberté, c’est une Forme de liberté qui peut apporter une éthique de l’action, apprise au moyen du virtuel pour l’appliquer dans la vie. Cela peut faire rire. Tant mieux. Le rire est un médicament contre la bêtise, et donc contre la violence aussi.
Ce qui indique qu’une telle idée est jouable, c’est de partir du principe que si la raison en laquelle Kant croyait, celle susceptible d’apporter son “Projet de paix universel” a échoué, c’est à cause d’un vice de forme dans la propriété intellectuelle. Attention, non pas au niveau de la Loi qui aboutie à la création de biens physiques, mais sur l’espace commun virtuel et sa création publique. Pour le dire simplement, si la raison échoue à rendre l’humain meilleur, c’est à cause de la temporalité produite par la propriété intellectuelle telle qu’elle inscrite dans les moeurs.
En effet, si la politique est mauvaise partout, vous savez, c’est l’idée qu’un dirigeant a le pouvoir non pas pour son propre intérêt (sous-sous dans la popoche et l’amour de la gloire) mais en principe pour la pérennité du Tout qu’il dirige. Mais cela reste un principe bafoué car en acte, aucun politicien ne peut appliquer cette règle du fait de la réalité politique… Je rêve un Linux qui à cause des linuxiens face de ce principe (je gouverne pour les autres et non pour moi) une réalité. En effet, toujours passer par un pseudo pour apprendre à s’exposer aux autres, pour soi-même en même temps que pour les autres, et faire don de ces minis contributions, parce qu’elles ne sont possibles que grâce aux autres, et bien cela pourrait à longs termes changer quelque chose de profond dans les moeurs. Mais me semble-t-il seulement en donnant à la raison et à l’apprentissage systématique une place, afin de remplacer la volonté d’en avoir jamais assez, par le plaisir de comprendre une chose qu’on ne peut jamais posséder parce que la posséder, c’est la créer… et donc plus d’ennui et donc moins de vices…
Empêtrée de ces platoniciennes idées je m’adresse principalement à MisterFreez, parce que je n’ai pas trop confiance en moi, et qu’il a écrit
[quote]Je suis Pitta, cartésien, irritable, irritant et névrosé (…).[/quote] Cela m’a donné confiance pour ce blablabla que je considère être une utopie de névrosée (tant qu’elle n’est pas partagée) mais que je ne peux pas m’empêcher d’avoir en tête.
Voilà je ferme cela et j’ouvre un autre sujet pour la nouvelle question de détail que j’ai annoncée plus haut.