Voilà. En ce moment plus qu’à d’autres, il y a un truc que je ne comprends pas.
On nous tond dans tous les sens, on invente des interdictions de fumer qui énervent n’importe quel libertaire, pensés par des obsessionnels orthobiotiques dans le but de racketter un peu plus. Les flics se transforment en surveilleurs de dispositif automatique de production de PV (càd de radar automatiques). Tout ça fait à juste titre râler de plus en plus de gens.
Pourtant je n’entend personne râler au sujet des parcmetres: ça m’a paru hallucinant de racket gratuit il y a trente ans quand on les a généralisés en France, mais en plus maintenant…
En cette époque de réduction tous azimuts des prélèvements ou on essaye de recuperer des clopinettes de baisse d’impots, à un moment ou on emmerde les pauvres chomeurs qui, en refusant sans honte les 2 emplois de merde qu’on leur propose, nous pompent notre cher argent difficilement gagné en travaillant plus, quand je vois les cadeaux qu’on fait aux riches pour economiser leur bon argent privé au detriment du financement des légitimes investissements collectifs, et quand je constate que personne ne râle contre les parcmètres, je me dis que je dois passer à coté d’une justification evidente: quelqu’un peut il me dire en quoi les zones de stationnement racketé sont utiles et justifient une telle tolérance ?
Chez moi, par exemple, la gestion des parcmètres à été délèguée à un privé qui récupère les rentrées, y compris les PVs (ceux qui les mettent etant bien sur des agents municipaux payés avec mes impots). La gestion privée à declenché le remplacement des parcmètres par des horodateurs qui obligent à un détour moyen de 50m pour aller se faire racketter, et je ne vois toujours personne râler.
Pourquoi cette pratique engagée il y a à peine 30 ans en France par des enculés profond de leur mère perdure t elle, à votre avis ?
Sinon, serieusement, quelqu’un a t il entendu un jour une justification aux parcmètres ?
Anecdote pour savoir qui remercier à ce sujet: l’inventeur du parcmètre s’appelait Carl Magee.

