Présidentielles 2012 : je parie que

je parie une bière au comptoir de “Pause café” que …
La tranche d’imposition à 75 % restera dans les tiroirs une fois Hollande élu Président de la Répubique Française.
Qui tient ?

Tenu, mais si c’est une vraie bière bien fraiche, une blonde ambrée de pref, ou alors une trappiste :030
De toute façon, c’est un bouffon, il c’est dégonflé devant la City à London, " Je ne suis pas dangereux" dit-il !..Lèche-botte de trouduc de gauche caviar.

il ne sortira rien de bon ni d’innovant de ces grands bourgeois qui tous sortent de l’Ecole de la Pensee UNIque,certains autres ayant atteint le fond du gouffre creusé par les Chicago boys du libéralisme sauvage et dérégulé(Milton Friedman),ont opté pour une approche plus saine pour s’en sortir sans détruire leur propre peuple:

[quote]On est quand même pas plus bête que les Argentins !!!****

A moins que ce soit nos hommes politiques ****

(ça doit être ça)****


Tout n’est pas de la faute à la CRISE ! ! ! ! !****


Qu’ont fait nos chers gouvernants." qui ont laissé venir" ?****


  *«Nous avons sauvé les gens plutôt que les banques»* *L'ancien

ministre de l’Economie argentin, Roberto Lavagna, a sorti son pays de la
crise en 2002, en se passant des services du FMI. Il préconise la même
solution pour la Grèce.*****


L’ancien ministre de l’Economie argentin, Roberto Lavagna (REUTERS)****


L’ancien ministre de l’Economie argentin Roberto Lavagna, 69 ans, est le
principal artisan du redressement de l’Argentine engluée dans une terrible
crise économique il y a dix ans. Lorsqu’il prend ses fonctions, en avril
2002, le peso vient d’être dévalué de 70%, le pays est en cessation de
paiement, la dette privée s’élève à plus de 72 milliards d’euros,
l’inflation annuelle flirte avec les 125% par an, le chômage explose, les
petits épargnants sont ruinés et les troubles sociaux ont déjà fait plus de
30 morts dans le pays. Cet ancien ambassadeur auprès de l’Union européenne
décide immédiatement de se passer de « l’aide » du Fonds monétaire
international (FMI) et des marchés financiers. Quelques pistes à suivre
pour la Grèce.****


Quelles sont les grandes similitudes entre la crise argentine de 2001-2002
et la crise grecque ?
****

Au plan économique, tout est semblable. L’Argentine avait établi une parité
fixe entre le peso et le dollar, la Grèce est ficelée à l’euro, perdant
ainsi le contrôle de sa monnaie. Un taux de change fixe associant des pays
à forte productivité et d’autres dont la compétitivité est beaucoup plus
faible ne peut qu’engendrer une crise. La Grèce est déjà dans sa quatrième
année de récession, l’Argentine l’était également. Le déficit fiscal, le
déficit des comptes courants, la chute vertigineuse du PIB, l’endettement,
l’explosion du chômage… toutes les grandes données macro-économiques sont
similaires. En revanche, la situation sociale de la Grèce est bien
meilleure que celle de l’Argentine à l’époque. Au plan institutionnel,
l’Argentine était par ailleurs un pays isolé alors que la Grèce fait partie
de l’ensemble économique le plus puissant du monde.****

Comment avez-vous tiré l’Argentine du chaos ?****

Dès mon entrée en fonction, en avril 2002, j’ai décidé de changer
radicalement notre manière de penser la sortie de crise… Le mois suivant,
j’étais à Washington pour rencontrer les dirigeants du Fonds monétaire
international et leur expliquer que nos rapports allaient s’en ressentir.
Depuis le début du marasme économique, en 1998, nous avions déjà eu deux
programmes du Fonds pour un total de 51 milliards d’euros. Les deux ont été
des échecs retentissants et certaines voix s’élevaient pour demander une
troisième tournée de quelque 17 milliards supplémentaires.****

Je n’ai pas voulu suivre cette voie et j’ai expliqué au Fonds que nous ne
voulions plus de prêt et que nous sortirions seuls de la crise.
La
seule chose que j’ai demandé était un roll over partiel de toutes
les
échéances. Je me suis également engagé à payer les intérêts de la dette et
une partie du capital. Mais pas tout et pas tout de suite. Cette position
était tout simplement impensable pour le FMI car nous affichions notre
volonté de fixer nous même notre propre politique économique. J’ai du leur
expliquer trois fois de suite ma position avant qu’ils finissent par
comprendre. A partir de là nous avons arrêté de soutenir financièrement les
banques alors que le FMI nous l’imposait, exigeant même que nous
privatisions la Banque de la Nation. Mais comme nous étions sorti du
jeu, le Fonds n’avait plus de moyen de pression sur l’Argentine!****

Vous avez donc oeuvré contre le FMI et vos principaux créanciers ?****

Le sorties de crise se font en dehors des chemins tracés par le FMI. Cette
institution propose toujours le même type de contrat d’ajustement fiscal
qui consiste à diminuer l’argent qu’on donne aux gens - les salaires, les
pensions, les aides publiques, mais également les grands travaux publics
qui génèrent de l’emploi - pour consacrer l’argent économisé à payer les
créanciers. C’est absurde. Après 4 ans de crise on ne peut pas continuer à
prélever l’argent aux mêmes. Or c’est exactement ce qu’on veut imposer à la
Grèce! Tout diminuer pour donner aux banques. Le FMI s’est transformé en
une institution chargée de protéger les seuls intérêts financiers. Quand on
est dans une situation désespérée, comme l’était l’Argentine en 2001, il
faut savoir changer la donne.****

Selon vous les plans d’austérité et de rigueur ne sont pas nécessaires
mais c’est pourtant ce qu’on impose à la Grèce…
****

A tort car l’argent prêté risque de ne jamais être remboursé et le déficit
fiscal grec est plus élevé aujourd’hui qu’avant la première injection
d’argent frais. Ce sont les mêmes éternelles erreurs. C’est le secteur
financier qui impose sa manière de voir les choses au monde entier. On
préfère sauver les banques plutôt que les gens qui ont des crédits
immobiliers à rembourser. La première chose qu’on a faite nous, c’est de
rallonger les échéances pour les propriétaires endettés. Les fonctionnaires
du FMI nous ont alors dit que nous violions les règles essentielles du
capitalisme! Ils oubliaient simplement que des gens ruinés ne consomment
plus, ce qui obère une relance par la croissance.
Au
lieu de payer les banques, la Grèce devrait investir dans l’éducation,
les sciences et la technologie, financer des infrastructures et récupérer
ainsi une certaine productivité, ne serait-ce que dans les secteurs des
services ou du tourisme.****

Vous devez avoir beaucoup d’ennemis chez les banquiers…****

Ils me détestent! Ce qui ne les a pas empêché de frapper à notre porte pour
nous prêter de l’argent 48 heures exactement après que nous avons terminé
la restructuration de notre dette en 2005! Or j’ai refusé ces offres
intéressées en leur répondant que nous ne reviendrons pas sur le marché
financier avant 2014 car nous n’en avons plus besoin. Pourquoi 2014,
simplement parce qu’a cette époque la dette sera seulement de 30% du PIB,
la moitié des critères européens de Maastricht! Je pense qu’un pays comme
l’Argentine ne doit pas être tout le temps présent sur le marché financier.
C’est un risque beaucoup trop grand d’augmenter à nouveau la dette.
Le
problème c’est que ce sont les banquiers eux-mêmes qui estiment
qu’il est
positif pour l’image d’un pays d’emprunter à l’international. Il est clair
que si je vendais des tomates, je trouverai très bien qu’on en mange! Eux
ils vendent de l’argent.****

[/quote]

désolé,je ne retrouve plus le lien de l’original,j’avais copié/collé le texte sans sauvegarder le lien,mais on doit pouvoir le retrouver sur le moteur de recherches.

liberation.fr/economie/01012 … es-banques

y’a bon!

[quote=“tetrix”]Tenu, mais si c’est une vraie bière bien fraiche, une blonde ambrée de pref, ou alors une trappiste :030
De toute façon, c’est un bouffon, il c’est dégonflé devant la City à London, " Je ne suis pas dangereux" dit-il !..Lèche-botte de trouduc de gauche caviar.[/quote]
En parlant de gauche caviar, le plus à gauche des mentors du PS est bien Montebourg ?
Tu as vu où il habite avec sa souris ? (ils font d’ailleurs un très beau couple)

C’est bien Audrey Pulvar, ils se sont fait malmenés y’a pas longtemps…Non je sais pas ou ils habitent !

Edit : j’en ai franchement ma claque du sarkoland…Pour la première fois de ma vie, je dois avouer que mélenchon…est bien le seul qui ai l’air solide ! Putaing, je vais encore voter blanc pfffff ! Sarko/Hollande hors de question, Bayrou il me semble trop mou, allez a l’extrème, je l’ai jamais fait re-pffff Je vais finir par faire comme grhim, je vais quitter la France.

[quote=“tetrix”]C’est bien Audrey Pulvar, ils se sont fait malmenés y’a pas longtemps…Non je sais pas ou ils habitent !

Edit : j’en ai franchement ma claque du sarkoland…Pour la première fois de ma vie, je dois avouer que mélenchon…est bien le seul qui ai l’air solide ! Putaing, je vais encore voter blanc pfffff ! Sarko/Hollande hors de question, Bayrou il me semble trop mou, allez a l’extrème, je l’ai jamais fait re-pffff Je vais finir par faire comme grhim, je vais quitter la France.[/quote]

si il suffisait de quitter la France…

Me dit pas qu’il n’existe pas un pays au monde ou ce système de dictature économique n’est pas au pouvoir ? Les islandais ont pas l’air si malheureux…

les islandais aussi ont dit merde aux banquiers…entre les agioteurs et la morue ils ont choisi la morue.

S’il pouvait "péter la tronche à Le Pen ( sur le plan symbolique, bien entendu ) j’en serais bien content, parce qu’il me gonfle grâve celui là … Je l’ai entendu (Le Pen) sur France-inter Dimanche je crois, et il m’a foutu en boule !

J’en ai raz-le-bol de ces mecs mais de mon coté je fais rien, alors ça colle pas …

Peut-être faut-il relire “Le Prince” ? pour comprendre un peu mieux tout ça ?

fr.wikipedia.org/wiki/Le_Prince

ILs rentraient chez eux, à pieds et se sont fait agresser à l’angle du boulevard Murat et de la rue Molitor, dans un des plus riches quartiers du 16e arrondissement.
Arlette habite dans une HLM de banlieue, elle.

Ce serait bien de ne pas multiplier les topics sur le même sujet.

C’est vraiment n’importe quoi ce genre d’argument alors qu’on parle de conviction politique. Si on se situait sur l’échelle gauche/droite en fonction de nos revenu je ne vois pas pourquoi depuis le début de la 5iéme république on a si souvent vu la droite au pouvoir ! que je sache, les riches sont les moins nombreux.

Audrey Pulvar n’est pas responsable politique et est une journaliste connue qui doit bien gagner sa vie et a donc les moyens d’habiter un endroit proche de son lieu de travail, en plein Paris. Ils vont pas aller habiter à 1H de trajet en banlieue pour vous faire plaisir, c’est complètement con ! (et en plus, c’est pas écolo).

Avec ce genre d’argument, les noirs seraient toujours esclaves, vu que selon vous il fallait sûrement être noir pour sincèrement défendre leur cause.

+1
J’aurais préféré un fil sur l’utopie. :115

C’est peut-être du à l’indexation du fil que j’ai ouvert…Quand tu surf un lien posé dessus, de l’autre coté il peu y avoir un message du genre : merci de nous avoir rendu visite depuis debian-fr.org : un grand bordel de campagne ^^
Vous pouvez vérrouillé l’autre fil, on continu ici :slightly_smiling:

C’est peut-être du à l’indexation du fil que j’ai ouvert…Quand tu surf un lien posé dessus, de l’autre coté il peu y avoir un message du genre : merci de nous avoir rendu visite depuis debian-fr.org : un grand bordel de campagne ^^
Vous pouvez vérrouillé l’autre fil, on continu ici :slightly_smiling:[/quote]
Non, inutile de verrouiller, il faut le garder et laisser pourrir celui-là.
Mon idée de fil est partie en couille.
Je pensais que d’autres auraient fait des propositions à leur tour, de “promesses” qui leur semblent ne pas devoir être tenues.
Il faut croire que je me suis trompé et que tout le monde est d’accord pour croire que ça va être le paradis et que toutes les promesses seront réalisées.
J’ai honte, je suis un impitoyable incrédule :083

« Une fois nos passions satisfaites, nous comptons pour rien nos promesses et nos errements. » (Catulle)

[quote=“wetaskiwin”]« Une fois nos passions satisfaites, nous comptons pour rien nos promesses et nos errements. » (Catulle)[/quote]Je parie que tu n’oses pas l’envoyer aux candidats celle-là ! ^^

Imprimée façon diplôme, sur un joli papier un peu épais et couleur crème. Servi roulé et orné d’un ruban rouge amoureusement noué.
Tu crois qu’ils vont l’accrocher au mur des QG de campagne ? :laughing-rolling:

[quote=“ricardo”]
Je pensais que d’autres auraient fait des propositions à leur tour, de “promesses” qui leur semblent ne pas devoir être tenues.
Il faut croire que je me suis trompé et que tout le monde est d’accord pour croire que ça va être le paradis et que toutes les promesses seront réalisées.
J’ai honte, je suis un impitoyable incrédule :083[/quote]
C’est surtout une affirmation purement gratuite et qui n’a aucune importance, le problème de la fiscalité étant autrement plus complexe (lire les articles de Thomas Piketty à ce sujet). J’avoue que je suis plus déçu par ce genre de déclaration démagogique consistant systématiquement à désigner un responsable (ce qui est assez facile à sortir du circuit) alors que le problème est le système proprement dit. Sinon quelle différence entre désigner quelqu’un par son adresse ou le désigner par ses opinions, ou sa religion, ou autre chose? Ça me met toujours mal à l’aise…
Il en est de même du discours «tous pourris, grand capital, internationale de l’argent, etc» qui est la meilleure excuse pour ne rien proposer et ne rien changer.