Bonjour à tous,
Le Lycée, dans lequel je travaille, était tout prêt de passer à une utilisation massive d’openoffice.org, à la place la suite Microsoft office, il y a quelques années. Quelques postes auraient tout de même conservés cette suite pour des besoins particuliers (section STG, par exemple). J’avais effectué des réunions de présentation (Certains enseignants ont grincé des dents, mais dans l’ensemble, l’accueil avait été plutôt favorable). J’attendais la venue d’un nouveau Directeur pour lui demander si une formation des enseignants était envisageable.
Ce nouveau Directeur (féru d’informatique et de nouvelles technologies, sisi *) a décidé qu’il n’avait pas à imposer un type de logiciel. Il m’a également stipulé que La formation sur ces logiciels n’était pas du ressort de l’établissement, mais que chacun pouvait se former s’il le souhaitait. Une licence établissement “microsoft office” a donc été achetée. Pour information, à cette époque, Microsoft a dragué les enseignants en leur proposant une version gratuite pour leur usage personnel! Tout est tombé à l’eau!
Actuellement, Deux suites (LibreOffice et Microsoft Office) sont installées sur les postes. Le directeur ne souhaite pas divulgué le prix de cette licence (les enseignants n’ont pas à connaître le détail des dépenses).
J’aimerais relancer le débat, dans mon établissement. La circulaire Ayrault (linuxfr.org/news/le-senat-demand … e-educatif), pouvant être des arguments supplémentaires. Mais l’argument “massue” serait à mon avis le prix dépensé pour la licence.
Je n’arrive pas à trouver des informations sur les tarifs pratiqués par Microsoft office pour un établissement scolaire. Quelqu’un aurait-il cette information?
Merci d’avance.
* Il possède quelques portables, un téléphone dernier cri (iPhone, bien sûr)…J’ai eu l’occasion de discuter avec lui de GNU/Linux. Pour lui, GNU/Linux, Windows, c’est la même chose…c’est uniquement politique! (SIC) Devant un tel argument, je suis resté bouche bée…Je n’ai pas cherché à poursuivre la conversation devant la hauteur de ces propos.