Quitter Ubuntu

Bonjour,
Sur Ubuntu depuis un peu plus de 2 ans, j’envisage de quitter cet environnement pour passer à Debian (pour un tas de raisons qu’il n’est pas util de développer ici !).

Quel environnement graphique vais-je trouver ?
Gnome 3 ?
KDE ?
Cinnamon ?

Et côté logiciel, je vais retrouver mes logiciels comme sur Ubuntu (KdenLive, OpenShot, Rythmbox, LibreOffice…)
Vais-je galérer pour lire mes MP3 (comme avec Fedora…) ?

Ai-je intérêt à changer, ou bien cela ne m’apportera rien ?

Merci de m’éclairer.

Bonjour,

http://packages.debian.org/

Sachant que Wheezy devrait devenir la nouvelle stable d’ici quelques jours.

Bonjour,

Tous ceux que tu veux, sauf peut-être cinnamon disponible uniquement dans sid.

[quote=“dblv”]Et côté logiciel, je vais retrouver mes logiciels comme sur Ubuntu (KdenLive, OpenShot, Rythmbox, LibreOffice…)[/quote]Oui

[quote=“dblv”]Vais-je galérer pour lire mes MP3 (comme avec Fedora…) ?[/quote]Meuh non !

[quote=“dblv”]Ai-je intérêt à changer, ou bien cela ne m’apportera rien ?[/quote] Cela t’apportera beaucoup sur la compréhension d’un système gnu/linux et sur la distinction libre/non-libre.

De mon point de vue, la seule difficulté au changement est que debian n’inclut pas de non-libre par défaut.

Et débian est beaucoup moins permissif que Buntu.
Sur Debian, la sécurité prime.

Dommage, c’est celui que je préfère !!

[quote=“talogue”]

[quote=“dblv”]Ai-je intérêt à changer, ou bien cela ne m’apportera rien ?[/quote] Cela t’apportera beaucoup sur la compréhension d’un système gnu/linux et sur la distinction libre/non-libre.

De mon point de vue, la seule difficulté au changement est que debian n’inclut pas de non-libre par défaut.[/quote]

Je dois avouer que la distinction libre/non libre m’interpelle assez peu, mon seul soucis étant : puis-je l’installer simplement et l’utiliser gratuitement !!

oui, oui !

Alors reste sous Ubuntu.

Je te donne un lien quand même si cela peut faire évoluer ton avis http://www.debian.org/social_contract.fr.html et je sors.

Salut,

Alors on se demande pourquoi tu veux quitter les Buntus :017

Pour cinnamon, peut-être qu’il est backportable facilement, moyennant une compilation sous wheezy des sources sid.

Salut,

Si tu veux la facilité d’Ubuntu sans te sentir concerné par l’aspect libre de l’OS que tu utilises et avoir Cinnamon en tant que DE, je te conseille vivement de te pencher sur Linux Mint! http://www.linuxmint.com
La version 15 Olivia est prévue pour fin mai et la 14 correspondra très bien à tes besoins. Mint est compatible avec les dépôts Ubuntu. Si Debian t’intéresse quand même un peu, il existe une version semi rolling release de Linux Mint basée sur Debian et non sur Ubuntu, la LMDE.

Debian te permettra de faire tout ce que tu cites mais nécessite un peu plus d’investissement, technique et “idéologique” si je puis dire.

[quote]Je dois avouer que la distinction libre/non libre m’interpelle assez peu, mon seul soucis étant : puis-je l’installer simplement et l’utiliser gratuitement !!

[/quote]
on se demande pourquoi tu viens sur debian :017

Il faut quand même souligner que cela complique souvent la phase d’installation (il n’y a qu’à voir le nombre de sujets “mon wifi/carte son/carte graphique ne fonctionne pas”)

Et, sinon, côté Debian, y’a donc la LMDE, comme cela t’a déjà été indiqué … mais aussi :

C’est bien parce que nous sommes vendredi.

Suivant la définition de la FSF, Debian n’est pas une distribution libre (bien qu’elle soit en passe d’être reconnue comme telle)

[quote=“FSF”]Qu’est-ce que le logiciel libre ?
Définition du logiciel libre

Cette définition du logiciel libre a pour but de décrire clairement les conditions à remplir pour qu'un logiciel soit considéré comme libre. De temps à autre, nous la modifions afin de la clarifier ou pour résoudre des questions portant sur des points difficiles. Si vous souhaitez avoir un aperçu des changements que nous y avons apportés, veuillez consulter la section Historique.

L’expression « logiciel libre » veut dire que le logiciel respecte la liberté de l’utilisateur et de la communauté. En gros, les utilisateurs ont la liberté d’exécuter, de copier, de distribuer, d’étudier, de modifier et d’améliorer le logiciel. Avec ces libertés, les utilisateurs (à la fois individuellement et collectivement) contrôlent le programme et ce qu’il fait pour eux.

Quand les utilisateurs ne contrôlent pas le programme, c’est le programme qui les contrôle. Le développeur contrôle le programme, et par ce biais contrôle les utilisateurs. Ce programme non libre, ou « privateur »,1 devient donc l’instrument d’un pouvoir injuste.

Ainsi, « logiciel libre » [free software] fait référence à la liberté, pas au prix.2 Pour comprendre ce concept, vous devez penser à « liberté d’expression », pas à « entrée libre ».

Un programme est un logiciel libre si vous, en tant qu’utilisateur de ce programme, avez les quatre libertés essentielles :

la liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages (liberté 0) ;
la liberté d'étudier le fonctionnement du programme, et de le modifier pour qu'il effectue vos tâches informatiques comme vous le souhaitez (liberté 1) ; l'accès au code source est une condition nécessaire ;
la liberté de redistribuer des copies, donc d'aider votre voisin (liberté 2) ;
la liberté de distribuer aux autres des copies de vos versions modifiées (liberté 3) ; en faisant cela, vous donnez à toute la communauté une possibilité de profiter de vos changements ; l'accès au code source est une condition nécessaire.

Un programme est un logiciel libre si les utilisateurs ont toutes ces libertés. Ainsi vous êtes libre de redistribuer des copies, avec ou sans modification, gratuitement ou non, à tout le monde, partout. Être libre de faire ceci signifie (entre autres) que vous n’avez pas à demander ou à payer pour en avoir la permission.

Vous devez aussi avoir la liberté de faire des modifications et de les utiliser à titre privé dans votre travail ou vos loisirs, sans en mentionner l’existence. Si vous publiez vos modifications, vous n’êtes pas obligé de prévenir quelqu’un en particulier ou de le faire d’une manière particulière.

La liberté d’utiliser un programme est la liberté pour n’importe qui ou n’importe quelle organisation de l’utiliser sur n’importe quel système informatique, pour n’importe quelle tâche et sans être obligé de communiquer à ce sujet avec le développeur ou toute autre entité particulière. Dans cette liberté, ce qui compte est ce que veut faire l’utilisateur, pas le développeur ; en tant qu’utilisateur, vous êtes libre d’exécuter un programme comme bon vous semble et, si vous le redistribuez à quelqu’un d’autre, cette personne est libre de l’exécuter comme bon lui semble, mais vous n’êtes pas autorisé à lui imposer vos conditions.

La liberté de redistribuer des copies doit inclure les formes binaires ou exécutables du programme, tout comme le code source, que ce soit pour les versions modifiées ou non modifiées du programme (diffuser des programmes sous une forme exécutable est nécessaire pour installer commodément les systèmes d’exploitation libres). Il y a une exception s’il n’existe aucun moyen de produire de version binaire ou exécutable pour un programme déterminé (puisque certains langages ne le permettent pas), mais vous devez avoir la liberté de distribuer des versions de ce type si vous trouvez ou si vous concevez un moyen d’en produire.

Afin que les libertés 1 et 3 (la liberté de faire des modifications et la liberté de publier les versions modifiées) aient un sens, vous devez avoir accès au code source. Ainsi, l’accès au code source est une condition nécessaire pour qu’un logiciel soit libre. Du code source rendu illisible [obfuscated] n’est pas du vrai code source et ne compte pas comme code source.

La liberté 1 inclut la liberté d’utiliser votre version modifiée à la place de l’original. Si le programme est livré dans un produit conçu pour exécuter les versions modifiées de quelqu’un d’autre, mais pour refuser d’exécuter les vôtres – une pratique connue sous le nom de « tivoïsation », de « verrouillage » ou (dans la terminologie pernicieuse de ses partisans) de secure boot3 – la liberté 1 devient une fiction théorique plutôt qu’une liberté concrète. Ceci n’est pas suffisant. En d’autres termes, ces binaires ne sont pas libres, même si le code source à partir duquel ils ont été compilés l’est.

Un moyen important de modifier un programme est de lui incorporer des modules ou des sous-programmes libres disponibles. Si la licence du programme indique que vous ne pouvez pas lui incorporer un module existant régi par une licence appropriée, par exemple si elle impose que vous soyez titulaire du copyright4 sur tout code que vous ajoutez, alors la licence est trop restrictive pour être qualifiée de libre.

La liberté 3 inclut la liberté de distribuer vos versions modifiées en tant que logiciel libre. Une licence libre peut également permettre de les distribuer sous d’autres formes ; en d’autres termes, elle n’a pas à être un copyleft5. Cependant, une licence qui impose que les versions modifiées soient non libres ne peut pas être qualifiée de licence libre.

Pour que ces libertés soient effectives, elles doivent être permanentes et irrévocables tant que vous n’avez rien fait de mal ; si le développeur du logiciel a le droit de révoquer la licence ou de lui ajouter rétroactivement des clauses restrictives, sans que vous ayez fait quoi que ce soit de mal pour le justifier, le logiciel n’est pas libre.

Cependant, certains types de règles sur la manière de distribuer le logiciel libre sont acceptables tant que ces règles ne rentrent pas en conflit avec les libertés fondamentales. Par exemple, le copyleft (pour résumer très simplement) est une règle qui établit que, lorsque vous redistribuez le programme, vous ne pouvez pas ajouter de restriction qui nie les libertés fondamentales des autres. Cette règle n’entre pas en conflit avec les libertés fondamentales ; en fait, elle les protège.

« Logiciel libre » ne signifie pas « non commercial ». Un logiciel libre doit permettre l’usage commercial, le développement commercial et la distribution commerciale. Le développement commercial de logiciel libre n’est plus l’exception ; de tels logiciels libres commerciaux sont très importants. Vous pouvez avoir payé pour obtenir une copie d’un logiciel libre ou vous pouvez l’avoir obtenu gratuitement. Mais quelle que soit la manière dont vous vous l’êtes procuré, vous avez toujours la liberté de copier et de modifier le logiciel et même d’en vendre des copies.

Qu’un changement constitue une amélioration ou non est subjectif. Si votre droit de faire des modifications se limite, en substance, aux changements que quelqu’un d’autre considère comme une amélioration, ce n’est pas un programme libre.

Toutefois, des règles qui régissent la manière dont une version peut être modifiée sont acceptables si elles ne limitent pas de manière substantielle votre liberté de produire des versions modifiées, ou votre liberté de créer et d’utiliser des versions modifiées pour votre usage privé. Ainsi, il est acceptable que la licence vous impose de changer le nom de la version modifiée, d’enlever un logo, ou de marquer vos modifications comme étant de votre fait. Aussi longtemps qu’en pratique le poids de ces contraintes ne vous empêche pas de distribuer vos changements, elles sont acceptables. Vous avez déjà fait d’autres changements dans le programme, alors vous n’aurez pas de mal à en faire quelques-uns de plus.

Un problème particulier apparaît lorsqu’une licence exige qu’on change le nom sous lequel le programme sera invoqué par d’autres programmes. C’est effectivement gênant pour publier une version modifiée de manière qu’elle puisse remplacer l’original quand il est invoqué par ces autres programmes. Ce type d’exigence n’est acceptable que s’il existe une possibilité de spécifier le nom du programme original comme alias de la version modifiée.

Une règle spécifiant que « si vous rendez votre version disponible comme ceci, vous devez aussi la rendre disponible comme cela » peut aussi être acceptable, sous les mêmes conditions. Serait par exemple acceptable une règle stipulant que, si vous avez distribué une version modifiée et qu’un ancien développeur en demande une copie, vous devez la lui envoyer (notez qu’une telle règle vous laisse néanmoins le choix de distribuer votre version ou non). Les règles qui exigent la fourniture du code source aux utilisateurs pour les versions que vous mettez à la disposition du public sont également acceptables.

Au projet GNU, nous utilisons le copyleft pour protéger ces libertés légalement, pour chacun. Mais des logiciels libres non copyleftés existent aussi. Nous croyons qu’il y a de bonnes raisons de préférer le copyleft, mais si votre programme est libre et non copylefté, il est néanmoins fondamentalement éthique (consultez les catégories de logiciels libres pour une discussion des relations entre « logiciel libre », « logiciel copylefté », et encore d’autres catégories de logiciel).

Parfois les règles du contrôle des exportations, ou bien des sanctions économiques, peuvent restreindre votre liberté de distribuer des copies de programmes à l’étranger. Les développeurs de logiciels n’ont pas le pouvoir d’éliminer ou de passer outre ces restrictions, mais ce qu’ils peuvent et doivent faire, c’est refuser de les imposer comme conditions à l’utilisation du programme. De cette manière, les restrictions n’affecteront pas les activités et les personnes se trouvant hors de la juridiction des gouvernements concernés. Ainsi, les licences de logiciel libre ne doivent pas imposer d’obéir à un quelconque règlement sur l’exportation comme préalable à l’une des libertés essentielles, quelle qu’elle soit.

La plupart des licences de logiciel libre sont basées sur le copyright, or les types d’exigences que le copyright peut imposer ont des limites. Si une licence basée sur le copyright respecte la liberté de la manière décrite plus haut, il est peu probable qu’elle pose un problème d’un genre totalement imprévu (bien que cela arrive parfois). Cependant, certaines licences de logiciel libre sont basées sur le droit du contrat, et les contrats peuvent imposer un éventail bien plus large de restrictions. Cela signifie qu’il y a de nombreuses possibilités pour qu’une licence de ce type puisse restreindre de manière inacceptable la liberté des utilisateurs et ainsi devenir non libre.

Nous ne pouvons pas passer en revue tout ce qui pourrait se passer. Si une licence basée sur un contrat restreint l’utilisateur d’une manière inhabituelle à laquelle les licences basées sur le copyright ne peuvent pas se conformer, et qui n’est pas mentionnée ici comme légitime, nous devrons y réfléchir et nous conclurons probablement qu’elle n’est pas libre.

Quand vous parlez de logiciel libre, il est préférable de ne pas utiliser de termes comme « donner » ou « gratuit », car ils laissent supposer que la finalité du logiciel libre est le prix et non la liberté. Certains termes répandus comme « piratage » comportent des idées auxquelles nous espérons que vous n’adhérerez pas. Lisez « Termes prêtant à confusion, que vous devriez éviter », un essai sur l’utilisation de ces termes. Nous avons aussi une liste de traductions de free software dans de nombreuses langues.

Enfin, notez que des critères comme ceux qui sont développés dans la présente définition du logiciel libre demandent une réflexion sérieuse quant à leur interprétation. Pour décider si une licence de logiciel particulière peut être qualifiée de libre, nous la jugeons sur ces critères pour déterminer si elle convient à leur esprit tout comme à leur formulation précise. Si une licence inclut des restrictions inacceptables, nous la rejetons même si nous n’avons pas anticipé le problème dans ces critères. Quelquefois les exigences d’une licence soulèvent un problème qui nécessite des réflexions intenses, y compris des discussions avec un juriste, avant que nous puissions décider si l’exigence est acceptable. Quand nous arrivons à une conclusion concernant un nouveau problème, il est fréquent que nous mettions à jour ces critères pour qu’on sache plus facilement pourquoi telle licence s’y conforme, ou non.

Si vous voulez savoir si une licence particulière peut être qualifiée de « libre », reportez-vous à notre liste de licences. Si la licence qui vous intéresse ne fait pas partie de la liste, vous pouvez nous demander des précisions en envoyant un courriel à licensing@gnu.org.

Si vous envisagez d’écrire une nouvelle licence, veuillez auparavant contacter la Free Software Foundation, en écrivant à l’adresse ci-dessus. La prolifération de licences de logiciel libre différentes les unes des autres implique un surcroît de travail pour les utilisateurs voulant comprendre ces licences ; nous pouvons vous aider à trouver une licence de logiciel libre existante qui réponde à vos besoins.

Si ce n’est pas possible, si vous avez vraiment besoin d’une nouvelle licence, avec notre aide vous pouvez faire en sorte que cette licence soit vraiment une licence de logiciel libre, et éviter divers problèmes pratiques.
Au-delà du logiciel

Les manuels des logiciels doivent être libres, pour les mêmes raisons que les logiciels doivent être libres, et parce que les manuels font en fait partie des logiciels.

Les mêmes arguments peuvent aussi s’appliquer à d’autres types d’œuvres à finalité pratique, c’est-à-dire des œuvres qui intègrent de la connaissance utile, tels que le matériel pédagogique et les ouvrages de référence. Wikipedia en est l’exemple le plus connu.

Tout type d’œuvre peut être libre : la définition du logiciel libre a été étendue à la définition des œuvres culturelles libres, applicable à tout type d’œuvre.
Open Source ?

Un autre groupe a commencé à utiliser le terme « open source » pour exprimer quelque chose de proche, mais pas identique au « logiciel libre ». Nous préférons le terme « logiciel libre ». En effet, une fois qu’on a compris que ce terme se rapporte à la liberté plutôt qu’au prix, il appelle la notion de liberté. Le mot « open » ne renvoie jamais à la liberté. [/quote]

[quote=“teryvondelinck”]C’est bien parce que nous sommes vendredi.[/quote]Du coup j’en profite :mrgreen:

Mouais alors ça, de mémoire, c’est parce-que :

Le noyau incluait des petits bouts de micro-codes proprios pour faciliter l’installation sur certains matériels. Mais le noyau debian a été purgé depuis.

Toujours de mémoire, c’est aussi parce que debian n’empêche pas l’installation de soft proprio. Même si sur une install par défaut, il n’y en a aucun. Ma liberté c’est quand même de pouvoir installer CE QUE JE VEUX.

C’est vendredi …

Avec le recul, une debian, ça se mérite.
C’est à réserver aux libristes convaincus, ou à ceux comme moi qui ont besoin de s’adapter à du hardware exotique (plugcomputers par exemple).
Il faut pas mal mettre les mains dans la config.
Ca fait longtemps que je n’ai pas installé de debian sur un “simple” ordinateur de bureau, mais au vu des posts sur ce forum, il y a souvent des difficultés (“ça marchait bien sous ubuntu, ça marche plus sur debian”).
Donc, à moins d’être motivé, autant éviter debian et utiliser linux mint (base debian) comme déjà indiqué.

Vendredi :mrgreen:

[quote=“talogue”]
Mouais alors ça, de mémoire, c’est parce-que :

Le noyau incluait des petits bouts de micro-codes proprios pour faciliter l’installation sur certains matériels. Mais le noyau debian a été purgé depuis. Toujours de mémoire, c’est aussi parce que debian n’empêche pas l’installation de soft proprio.[/quote]

[quote=“FSF”]
Le contrat social de Debian affirme que son but est de rendre Debian entièrement libre, et elle met consciencieusement les logiciels non libres en dehors du système officiel Debian. Cependant Debian propose aussi un dépôt de logiciels non libres. Selon le projet, ces logiciels ne « font pas partie du système Debian », mais ce dépôt est hébergé sur beaucoup des serveurs principaux du projet, et l’on peut facilement prendre connaissance de ces paquets non libres en explorant la base de données des paquets Debian en ligne.[/quote]

C’est donc reconnu, et c’est bien la raison pour laquelle Debian sera à terme reconnue comme distribution libre.

Je suis d’accord avec ça, la liberté des uns ne commence pas ou s’arrète celle des autres (malgrès ce que dit l’adage) elle est la liberté de chacun…La suite n’est qu’une question de législation.

Et comme dit Piratbab, une Debian ça se mérite, ceux qui n’ont pas envie de mettre les mains dedans devraient passer leur chemin.

Salut,

Je ne suis pas vraiment d’accord, je ne trouve pas debian particulierement difficile à installer.Le wiki officiel est pas trop mal fait, on trouve facilement son bonheur dans les différents dépôt (libre ou non)
Je supporte pas vraiment le concept des logiciels propriétaires, mais je ne suis pas non plus à fonds dans le libre… et j’utilise débian… suis-je normal?
Et … je dois être bizarre, je trouve debian beaucoup plus “simple” qu’ubuntu, qui rajoute des surcouches logicielles dans tous les sens.

Hello le monde,

Je partage complètement l’avis de [b]Poliakov[b].
Pour moi Debian est plus simple qu’une ubuntu qui, d’une mise-à-jour à une autre, bousille la chose la plus importante pour l’utilisateur de base, je parle de l’interface graphique.
C’est simple, même pour des débutants, et à cause de son gestionnaire Debian est à utiliser.
Mon ordinateur, I7 et tout la bazar, fonctionne très bien avec Debian … et un noyau aptosid !

LeDub, 11 ans de Debian, 11 ans de plaisir !

debian est plus simple de conception qu’ubuntu, c’est une évidence, mais plus simple de conception, pas d’intallation.
Vous étes tous des utilisateurs avertis de debian, mais mettez vous à la place d’un novice. Aucun firmware d’installé par défaut, les dépots non-free pas activé par défaut … Si on ne le sais pas , on ne peux pas le deviner.
Avec une ubuntu, le matériel est bien mieux reconnu à l’install.
Autre écueil de debian pour un débutant: les versions. Un débutant ira naturellement vers la stable. Mais elle est ancienne (dans moins d’un an wheezy sera déjà dépassée), et l’installateur ne marche pas sur une config récente …
Non, vraiment, ne conseillez pas debian à un débutant non accompagné, il sera déçu, et en dira du mal sur la toile.