Sources ?
Il sera aussi intéressant de les fournir à Alain Fischer, « monsieur vaccin » du gouvernement français qui a déclaré n’avoir que les documents marketing des labos
Et à Georges-Louis Bouchez délégué général d’un des principaux partis de gouvernement belge qui a dit qu’il s’étonnait de ne jamais avoir vu un rapport argumenter une décision gouvernementale (la Belgique ayant d’ailleurs le record du monde de mortalité.)
Pour les inoculations, la mortalité actuelle pour ceux qui font une réaction est de l’ordre de 3%, il y a 18 mois, n’importe quel médicament en autorisation temporaire avec de telles stats aurait été instantanément retiré. Là, l’IMA dit « on va rajouter çà aux effets indésirables… » (sic)
@dindoun : il est logique qu’un médicament d’usage étendu (des milliards de prescriptions) en pharmacovigilance soit documenté, le sujet c’est la fréquence et la gravité.
Selon l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, sur la base des effets secondaires de la chloroquine rapportés, comparés aux données de ventes (3 987 854 boîtes de trente comprimés dosés à 200 mg vendues en France entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019, les données de pharmacovigilance rapportent sur la période (72 mois) 312 cas signalés pour « au moins un effet indésirable », soit moins de 0,01 %. Sur ces 312 cas d’effets indésirables signalés, 21 (6,7 %) sont des effets cardiovasculaires dont quatre cas d’insuffisance cardiaque, huit cas de cardiomyopathie, huit cas de troubles du rythme au sens large et un cas d’hypertension pulmonaire. Deux cas sont des décès (dont un par intoxication médicamenteuse chez un sujet prenant en outre six psychotropes37). [WikiPedia]